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Pourquoi utiliser un autre moteur de recherche que Google

Pourquoi utiliser un autre moteur de recherche que Google
90% des recherches effectuées par la population mondiale passent par Google. La firme de Mountain View essuie pourtant de nombreuses critiques : l'utilisation d’une bulle de filtres, l'affichage publicitaire, la collecte et l'enregistrement de nos données personnelles, la situation de quasi-monopole sur le marché et l'empreinte écologique de ses data centers… Face à ces critiques, de nombreuses initiatives sont nées avec l’ambition d’être une alternative viable au moteur de recherche américain. Ni publicité, ni collecte de données Framabee (1) est un métamoteur qui agrège les résultats de Google et Bing puis les retransmet dans une interface unifiée. Seul bémol, « les résultats sont moins performants ». Outre ce problème, « le fait de confier toutes nos recherches à un moteur américain soumis au Patriot Act peut remettre en cause notre souveraineté nationale ». Certains métamoteurs ont d'ailleurs fait de la protection des données leur cheval de bataille. (1) framabee.org (6) ecogine.org

Bientôt plus de morts que de vivants sur Facebook : l’avenir des données post-mortem en question Par Elise Koutnouyan, Social Media Club. Billet invité Chaque minute, trois personnes inscrites sur Facebook meurent dans le monde. À ce rythme, le réseau social aux 2 milliards d’utilisateurs comptera bientôt plus de membres morts que vivants. En filigrane, ce constat dévoile des nouvelles problématiques complexes : que deviennent nos données post-mortem ? Pour en discuter, le Social Media Club a invité Lucien Castex (Université Sorbonne Nouvelle, ANR ENEID), Olivier Desbiey (CNIL), Fanny Georges (Université Sorbonne Nouvelle, ANR ENEID), Morgan Jerabek (Neuron Partners) et Frédéric Simode (Grantwill). Avec le Web est né le concept d’identité numérique. À ces deux facettes de l’identité en ligne s’ajoutent les données collectées par les systèmes informatiques à l’insu de l’utilisateur, comme sa géolocalisation. Les données qui parlent à la place du défunt Selon le règlement de Facebook, il est interdit de modifier ou publier sur le profil d’un défunt. Black Mirror

Modéliser l’évolution des opinions Avec l’essor des réseaux sociaux en ligne, jamais nos opinions n’ont été autant sollicitées, diffusées, observées… et parfois manipulées. Comprendre la manière dont elles se forment et évoluent est ainsi devenu un enjeu tant scientifique que démocratique. Les travaux de trois chercheurs font aujourd'hui l’objet d’une présentation lors de la conférence internationale sur les communications informatiques, Infocom, qui se tient jusqu’au 19 avril à Honolulu (États-Unis). Entre fake news, marketing légitime et manipulations de données, les nouveaux outils et techniques de communication mis à la disposition du public par les plateformes de diffusion en ligne comme Facebook ou Twitter, ont bouleversé en une quinzaine d’années la manière dont nous nous informons et forgeons nos opinions. La stabilité des opinions « Chaque fois que deux personnes interagissent, explique Constantin Morărescu, leurs opinions se rapprochent. Pourquoi ? Un modèle de probabilités Les stratégies collectives

RGPD : CGU, il va falloir écrire plus gros "Eleanor Margolis a utilisé PayPal pendant plus d'une décennie" rapporte Bloomberg. Mais voilà que Paypal a décidé en janvier dernier de supprimer son compte. La raison: Elle avait 16 ans quand elle s'est inscrite, et PayPal affirme qu'elle aurait dû savoir que l'âge minimum est de 18 ans. "Ils n'avaient aucun contrôle en place pour s'assurer que j'avais plus de 18 ans" assure Eleanor Margolis, maintenant âgé de 28 ans. De fait, les sites Web ont longtemps obligé les utilisateurs à parcourir des pages de CGU pour valider tout cela d'un clic sur un bouton. Place au "langage intelligible" "La déclaration de finalité de la collecte des données doit désormais être faite dans un langage intelligible" explique Jean-Michel Livowsky, Directeur Général de DPO-Avocats. Il faut dire que le sujet a récemment explosé sur la place publique. "Je ne pense pas qu'une personne lambda lise tout ce document" a acquiescé Mark Zuckerberg. Vers une rationalisation des CGU De quoi restaurer la confiance ?

L’expérience lycéenne des réseaux sociaux numériques 1En 2016, 79 % des 12-17 ans ont participé à des réseaux sociaux sur Internet (Croutte, Lautié et Hoibian, 2016), utilisant principalement Facebook, Twitter, Snapchat et Instagram (Schmutz, 2015). Cette appétence pour les réseaux sociaux numériques (RSN) se traduit par des usages s’inscrivant notamment dans des logiques de constructions identitaires et d’échanges entre pairs, un mode de communication qui constitue pour Dominique Pasquier une « scène sociale particulière » (2005) où les adolescents cheminent entre volonté d’autonomie et désir d’appartenance, curiosité et recherche d’intensité. 2À la faveur d’équipements en smartphones qui ne cessent de croitre (85 % des 12-17 ans possédaient un smartphone en 2016 (Croutte, Lautié et Hoibian, 2016), les usages en mobilité se développent et les lycéens incorporent également ces réseaux dans leur sphère scolaire. 3L’institution scolaire est ambivalente à l’égard de ces usages. 14Notre enquête se développe sur deux terrains. Fig. 1.

« FOMO », Fear Of Missing Out ou la peur de louper une information sur la toile | Syndrome 2.0 Devant l'immensité des informations déversées quotidiennement sur la toile, l'internaute développe une angoisse à l'idée de louper quelque chose. Ce syndrome décrit comme le nouveau mal... 13 JANV. 2014 · Lecture : 2 min. Ce syndrome décrit comme le nouveau mal du siècle a aujourd'hui un nom « FOMO », Fear of missing out, soit la peur de passer à côté d'une information à l'importance exacerbée par les réseaux sociaux. L'addiction aux réseaux sociaux Facebookeurs, twitteurs et bloggeurs payent de leur liberté, qu'ils chevillent à leurs tablettes, smartphones, ordinateurs et autres dispositifs numériques leur permettant de se connecter à la toile ... le lourd tribut de l'innovation permanente. À choisir entre passer toute une nuit en prison ou délaisser les réseaux sociaux, un sondage a révélé que la majorité des Américains interrogés envisageaient le premier choix comme un moindre mal. La peur de passer à côté de quelque chose... Photos : Shutterstock

Vaincre le cyberharcèlement en cinq étapes À l’heure où plusieurs rédactions sont en ébullition suite aux révélations sur les agissements de la « Ligue du LOL », nous republions l’analyse de Nadia Naffi, qui offre des solutions pour combattre le cyberharcèlement. Jamais le cyberharcèlement n’a été si inventif et donc destructeur. Les cyberharceleurs utilisent le Web sciemment et à répétition pour terroriser ou causer du tort à autrui. Ils harcèlent des personnes qu’ils jugent faibles et sans défense, les dénigrent ou entachent leur réputation, un comportement typique des propagateurs de discours haineux. Toutefois, bien que le cyberharcèlement semble incontrôlable, il existe des techniques pour le combattre. Pris d’un sentiment d’impuissance et d’isolement face à de cruels cyberharceleurs, Megan Meier, Amanda Todd, Todd Loik et de nombreux autres jeunes se sont donné la mort pour fuir la douleur émotionnelle inhumaine qu’ils éprouvaient. Ils ne sont pas les seuls. Ce chiffre est alarmant. Tentatives pour arrêter le cyberharcèlement

Pourquoi il est si difficile de quitter Facebook Et c’est reparti pour une nouvelle controverse sur Facebook, qui viole à nouveau notre vie privée en permettant à d’autres de recueillir nos renseignements personnels. Certes, cette flambée-ci est importante et amène certains à envisager de quitter complètement Facebook. Mais, soyez-en sûrs, l’entreprise et la plupart de ses 2 milliards d’utilisateurs se réconcilieront. Des décennies de recherche ont montré que notre relation avec tous les médias, qu’il s’agisse du cinéma, de la télévision ou de la radio, est toujours de nature symbiotique : les gens les apprécient en raison des gratifications qu’ils tirent de leur consommation – évasion, relaxation, illusion d’une compagnie… Plus les gens les utilisent, plus ils recherchent et obtiennent ces gratifications. En plus de nous fournir du contenu, Facebook, Twitter, Google – en fait, tous les médias sociaux – nous offrent de nouvelles possibilités d’interaction sur la plateforme qui peuvent satisfaire certaines de nos envies innées.

Filtrage collaboratif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le filtrage collaboratif (de l’anglais : collaborative filtering) regroupe l'ensemble des méthodes qui visent à construire des systèmes de recommandation utilisant les opinions et évaluations d'un groupe pour aider l'individu. Il existe trois principaux axes de recherche dans ce domaine, dépendant chacun des données recueillis sur les utilisateurs du système : le filtrage collaboratif actifle filtrage collaboratif passifle filtrage basé sur le contenu Description[modifier | modifier le code] Systèmes de filtrage actifs[modifier | modifier le code] Ce système utilise pour ses prédictions les gouts explicites de ses utilisateurs. On peut facilement reconstruire l'historique d'un individuOn évite d'agréger des informations qui ne correspondent pas à un unique utilisateur (plusieurs personnes sur un même poste ou une personne agissant pour le compte d'autrui) Systèmes de filtrage passifs[modifier | modifier le code] Méthodologie : Portail de la société

Système de recommandation Les systèmes de recommandation sont une forme spécifique de filtrage de l'information (SI) visant à présenter les éléments d'information (films, musique, livres, news, images, pages Web, etc) qui sont susceptibles d'intéresser l'utilisateur. Généralement, un système de recommandation permet de comparer le profil d'un utilisateur à certaines caractéristiques de référence, et cherche à prédire l'« avis » que donnerait un utilisateur. Ces caractéristiques peuvent provenir de : l'objet lui-même, on parle « d'approche basée sur le contenu » ou content-based approach ;l'utilisateur ;l'environnement social, on parle d'approche de filtrage collaboratif ou collaborative filtering. Exemple de recommandation. Résumé[modifier | modifier le code] Lors de la construction du profil de l'utilisateur, une distinction est faite entre les formes explicites et implicites de collecte de données : Exemples de collecte explicite de données : Exemples de collecte implicite de données :

Comment vous êtes suivis sur Internet En quelques années, les technologies développées pour la publicité ont considérablement renforcé le suivi des individus sur Internet. Voici comment elles fonctionnent. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gary Dagorn L’affaire Cambridge Analytica autour des fuites de données utilisateurs de Facebook le montre : la protection des données personnelles sur Internet est devenue un enjeu majeur de ces dernières années. Les cookies tiers : un pistage automatique d’un autre site que celui que vous visitez Si vous passez du temps sur Internet, vous avez forcément lu un message de sites vous indiquant qu’ils utilisent (et vous demandent d’accepter) des « cookies » pour fonctionner. Lorsque vous ouvrez une page, disons www.lemonde.fr, votre navigateur va envoyer une demande (que l’on appelle une requête) au serveur sur lequel est stocké le site du Monde. Un serveur est – pour résumer – un ordinateur connecté à Internet et chargé de rendre des services lorsqu’on lui en fait la demande.

Paramétrer son compte pour mieux protéger ses données Il est quasiment impossible d’échapper à Facebook, mais quelques mesures peuvent être prises pour limiter les infos fournies au réseau social. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Perrine Signoret Depuis le début de l’affaire Cambridge Analytica, de nombreux utilisateurs de Facebook s’inquiètent : les données de plusieurs millions d’entre eux ont été collectées à leur insu, et les équipes de Donald Trump sont soupçonnées de les avoir utilisées pendant la campagne électorale. Lire : Comment une entreprise proche de Trump a siphonné les données de millions d’utilisateurs de Facebook Pour protéger leurs données, certains ont appelé au boycott du réseau social, en utilisant le mot-clé #DeleteFacebook (« supprimez Facebook »). Il est impossible d’utiliser Facebook sans lui fournir de données personnelles : le simple fait d’interagir avec vos proches est riche d’enseignement pour le réseau social. Gérer les informations de son profil Limiter le ciblage publicitaire Désactiver la géolocalisation

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