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Site officiel de Jean-Claude Mourlevat

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Biographie et Bibliographie de Jean-Claude Mourlevat - Wikipedia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Œuvres principales Jean-Claude Mourlevat est un auteur français né à Ambert (Puy-de-Dôme) le 22 mars 1952. Il est particulièrement connu pour ses romans destinés à la jeunesse, pour lesquels il est multiprimé, notamment par le prix commémoratif Astrid-Lingren. Biographie[modifier | modifier le code] Jean-Claude Mourlevat passe son enfance en Auvergne[1]. Il poursuit ses études supérieures à Strasbourg, Toulouse, Bonn et Paris. Il choisit à cette époque de se consacrer au théâtre et crée alors deux solos clownesques, joue des tours de magie plus de 600 fois en France et un peu partout dans le monde[2]. Il passe ensuite à la mise en scène de pièces de Brecht, Cocteau ou Shakespeare, avant de se consacrer à l’écriture. En 1997, il publie son premier roman Histoire de "l'enfant et de l'œuf". Œuvres[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Adultes[modifier | modifier le code] Décorations[modifier | modifier le code]

Antoine Guilloppé L’Imagier Vagabond présente: Antoine Guilloppé est né en 1971 à Chambéry et vit actuellement à Montrouge, dans la région parisienne.Il a perfectionné son coup de crayon à l’école Emile Cohl de Lyon dont il n'obtiendra pas le diplôme. Il se dirige donc vers l'édition jeunesse et y trouve là un moyen d'exprimer ce qu'il ressent. Il publie des albums jeunesse en tant qu’auteur-dessinateur depuis 1998, parmi lesquels la série des "Akiko" (éditions Philippe Picquier), "Prédateurs" (Thierry Magnier), "Loup Noir" et "Grand blanc" (éditions Casterman) ou encore "Pleine lune", "Plein soleil" et "Ma jungle" (éditions Gautier-Languereau). Depuis 2010, il développe une nouvelle forme d'illustrations avec l'aide de la technique de découpe au laser.

Anne-Laure Bondoux & Jean-Claude Mourlevat - [Et je danse, aussi 01] - Et je danse, aussi (2015) Le site de Géraldine Elschner L’arrivée à Comines, petite ville du Nord, un jour d’automne - pluie et vent dans les peupliers le long de la rivière-frontière qui borde mon jardin et sépare la France de la Belgique. Première maison de France – ou la dernière – et un pont mille fois franchi entre les deux pays. L’enfance au Plat Pays de Brel que l’on dit gris, dans une vieille maison entourée d’un grand terrain vague - un vrai paradis où vivent moutons, cochons, chiens, chats, des dizaines de poules et dans la cuisine, un canari qui chante malgré les barreaux, des poissons rouges, des souris blanches... ma sœur et moi. Une gloriette de sureaux, des ruines devenues navires de pirates, des heures à regarder passer les péniches, perchée sur le mur du jardin. Une porte toujours ouverte. Trois petits coups au carreau - chacun entre et s’installe. Le début du voyage Un père allemand, une mère française d’origine belge (l’autre côté du pont) : de quoi mêler les cultures et donner la bougeotte. Sac-à-dos et 2 CV... Les traductions

Anne-Laure Bondoux & Jean-Claude Mourlevat - [Et je danse, aussi 02] - Oh Happy Day (2020) Le Blog de Sylvie Deshors Kitei Son ou Sohn Kee-Chung ? Japonais ou Coréen ? du dossier « Les jeux olympiques : des enjeux multiples » - Pour mémoire - CNDP Le vainqueur du marathon des Jeux de Berlin possède la particularité de porter deux noms et de participer à de nouveaux Jeux olympiques douze, puis cinquante-deux années après sa victoire. L’histoire olympique de ce coureur de grand talent est indissociable de celle de l’Asie pendant les années trente. Après la guerre russo-japonaise de 1905, le traité de Portsmouth permet au Japon d’instaurer un protectorat sur la Corée, qui devient annexion en 1910, désignée par les Japonais sous le nom de fusion nippo-coréenne. La politique coloniale conduite est très dure et suscite des résistances. Sohn Kee-Chung est né en août 1914. Sur le podium olympique, les deux Coréens médaillés baissent la tête lors de l’hymne japonais. En 1948, il est porte-drapeau de la Corée aux Jeux de Londres et l’un des porteurs de la flamme olympique entrant dans le stade de Séoul lors des Jeux de 1988, sous les applaudissements interminables de la foule sud-coréenne du stade olympique.

Son Ki-chong Son Ki-chong (en kr: 손기정, né le 29 août 1912 à Sinuiju, mort le 15 novembre 2002 à Séoul[1]) est un athlète sud-coréen, spécialiste du marathon, également connu sous son propre nom transcrit en japonais Son Kitei (孫基禎). Éducation et carrière sportive[modifier | modifier le code] Né dans la Corée occupée par le Japon, il fait des études à Yangjung (양정고등학교) puis à l'université Meiji au Japon, et devient un coureur de fond exceptionnel. Sur douze marathons courus avant 1936, il en remporte neuf. Il établit un nouveau record du monde en 2 heures 26 minutes 42 secondes au marathon de Tokyo (3 novembre 1935). Le Japon le pousse à courir dans l'équipe japonaise afin de participer aux JO de Berlin. Le marathon de 1936[modifier | modifier le code] Le recordman olympique Zabala part très vite et mène presque toute la course, avec l'espoir de battre son record. Son Ki-chong remporte le marathon en 2 heures 29 min 19 s, nouveau record olympique, avec deux minutes d'avance sur le Britannique Harper.

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