background preloader

#Infographie : Le big data et son influence sur le quotidien des consommateurs en un coup d'oeil

#Infographie : Le big data et son influence sur le quotidien des consommateurs en un coup d'oeil
Les données issues du big data enregistrent une croissance exponentielle. Véritable source d’opportunités business, le big data permet aussi d’apporter des améliorations au quotidien des consommateurs. Vouchercloud, spécialiste du coupon et de l’offre de réduction géolocalisés, publie une infographie, comme une photo de la réalité du big data aujourd’hui. Le big data, cette nouvelle monnaie née de l’ère du web conversationnel, est un sujet surveillé comme le lait sur le feu. Un déluge informationnel… Véritable « déluge informationnel » aux multiples applications, le sujet est donc tout sauf une tarte à la crème. 90% des données existant actuellement ont en effet été produites ces deux dernières années seulement, nous apprend l’infographie. Problème, 90% de ces données sont non structurées, ce sont des images, des tweets, de l’historique d’achat des clients etc. … au service des marques mais aussi des consommateurs Crédit photo : Shutterstock

Fiscalité du numérique (26) L’économie numérique présente quatre spécificités – la non-localisation des activités, le rôle central des plateformes, l’importance des effets de réseau et l’exploitation des données – qui la distinguent de l’économie traditionnelle, en particulier par la modification des chaînes de création de valeur qu’elles induisent. Ces spécificités sont à l’origine des difficultés à appliquer le cadre fiscal actuel. Dès lors, la nécessaire adaptation de ce cadre demande une analyse économique de celles-ci et, à travers elles, du fonctionnement des entreprises du numérique. L’étude La fiscalité du numérique : quels enseignements tirer des modèles théoriques ?, réalisée par des économistes pour le compte de France Stratégie, répond à cette demande. Il en ressort qu’à court terme, de nouveaux outils fiscaux spécifiques pourraient être envisagés, au niveau européen ou d’un noyau de pays, dans l’attente d’une refonte du cadre fiscal international. Sommaire de la note d'analyse - Fiscalité du numérique

Pourquoi la France a une carte à jouer dans le tourisme connecté 7,4% du PIB français a été réalisé grâce au tourisme en 2013, selon la Direction générale des entreprises. En termes d’emploi, le secteur représente 8,3% des effectifs salariés en équivalent temps plein. Il faut dire qu’avec 84,7 millions de touristes internationaux cette année-là, l’Hexagone a conservé sa place de pays le plus visité au monde, devant les Etats-Unis et l’Espagne. Pourtant, à 42,7 milliards d’euros en 2013, la France génère moins de recettes que ces deux pays qui affichent respectivement plus de 130 milliards d’euros et 47 milliards d’euros de revenus. Du coup, face à ce potentiel de croissance, de nouveaux acteurs souhaitent développer des services à destination des touristes étrangers… et font le pari du 100% numérique. «Les guides traditionnels sont très bons sur le papier, mais mauvais sur le digital. Quels sont les enjeux en matière de tourisme connecté ? Journaliste : Olivier Harmant.

Infographie : les internautes français gèrent en moyenne près de 100 comptes en ligne Dans la boîte email d’un internaute français, on dénombre en moyenne 95 mots de passe, et cela augmente rapidement tous les ans, c’est ce que révèle une étude réalisée par Dashlane. Le service a en effet analysé sous forme agrégée et anonyme les données de 23 000 utilisateurs de l’outil Dashlane Scan en juillet 2015. L’analyse révèle que le nombre de comptes dans les boîtes email a augmenté en moyenne de 14% par an depuis 2010. A ce rythme, les internautes français auront donc en moyenne 184 mots de passe dans leur boite email en 2020. Les internautes français ne sont pas les plus grands collectionneurs de comptes. Les américains et les britanniques font mieux avec respectivement 130 et 118 comptes en moyenne. Bien sûr cela pose des problèmes. Si l’on en reste là, la situation risque de s’empirer pour les générations futures. Au-delà du temps perdu à gérer tous ces comptes, l’enjeu de sécurité est réel.

Enseignement supérieur: l'impact économique de la vague numérique Cet article est le dernier de notre série consacrée à la révolution de l’éducation. Les changements induits par le numérique sont exacerbés par trois autres dynamiques qui impactent profondément l’éducation. L’imbrication est telle qu’on ne peut les ignorer. Premièrement, la révolution du numérique arrive à un moment de mondialisation de l’éducation, de « l’irruption d’une logique d’internationalisation et donc de concurrence dans un secteur longtemps organisé sur une base quasi exclusivement nationale », comme le formule l’économiste Jean Pisani-Ferry. Deuxièmement, la révolution du numérique intervient alors que la demande d’éducation supérieure progresse à grande vitesse, ce qui pose des défis en termes d’augmentation des coûts et de modèle économique, notamment dans les pays où l’éducation est très majoritairement un service public. L’expert Bob Goddard estime ainsi que le nombre d’étudiants de l’enseignement supérieur atteindra 262 millions d’ici 2025 contre 178 millions en 2010.

Le « deep learning », une révolution dans l'intelligence artificielle Cette technologie d'apprentissage, basée sur des réseaux de neurones artificiels, a complètement bouleversé le domaine de l'intelligence artificielle en moins de cinq ans. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual « Je n'ai jamais vu une révolution aussi rapide. On est passé d'un système un peu obscur à un système utilisé par des millions de personnes en seulement deux ans. » Yann LeCun, un des pionniers du « deep learning », n'en revient toujours pas. Après une longue traversée du désert, « l'apprentissage profond », qu'il a contribué à inventer, est désormais la méthode phare de l'intelligence artificielle (IA). Ce système d'apprentissage et de classification, basé sur des « réseaux de neurones artificiels » numériques, est, pêle-mêle, utilisé par Siri, Cortana et Google Now pour comprendre la voix, être capable d'apprendre à reconnaître des visages. Qu'est-ce que c'est ? « Comment reconnaître une image de chat ? Concrètement, ça donne quoi ? Et demain ?

Cédric Villani: «La programmation est - presque - la seule discipline où l’enfant réalise son auto-correction» Héraut de la mathématique, Cédric Villani fait le parallèle entre monde de la recherche et start-up et revient sur la programmation informatique en tant que discipline fondamentale Médaillé FIELDS en 2010, directeur de l’Institut Henri Poincaré, Cédric Villani, mathématicien de renom, arpente, quand il n’est pas dans une frénésie de recherche, plateaux médiatiques ou conférences pour poser la question de la place de la mathématique dans notre société. Et à lire son ouvrage paru en 2012, chez Grasset, Théorème vivant, on se souvient – on avait oublié, qu’au même titre que le poète ou le philosophe, loin de l’imagerie courante, le mathématicien est surtout dans une quête de compréhension, d’explication du monde. Signes distinctifs? Un œil noir sondeur. Une mine réjouie d’enfant curieux. L'Atelier : Vous êtes intervenu à l’USI sur « la naissance de l’idée ». Cédric Villani : Oui, on a cette impression parfois, voire souvent. Pas d’informatique sans mathématiques !

Le big data prédit très bien vos comportements (ceci n’est plus de la fiction) Vos comportements sont (très) prévisibles. Désolé ! Ils sont tellement prévisibles que l’intelligence artificielle connait déjà votre personnalité, votre capacité à occuper un emploi et quand vous allez le quitter. Finis les CV, les longues séries d’entrevues ou les évaluations formelles. Ces progrès fulgurants nous offrent déjà quelques exemples appliqués et édifiants dans le domaine des RH. 4 exemples d’application Big Data dans les sciences du comportement #1 Watson Personality Insight dresse la carte de votre personnalité IBM vient de commercialiser aux tiers développeurs son service Watson IBM Developer Cloud BlueMix. Vous pouvez donc lui soumettre gratuitement l’analyse de votre personnalité avec un de vos textes de plus de 600 mots (en anglais seulement). Watson PI Visualization BlueMix IBM Offre IBM Watson BlueMix API Cloud Developer #2 L’Oréal China recrute via la reconnaissance du langage Le marché du recrutement de jeunes diplômés en Chine est immense. L’avantage ? J'aime :

Carlos Diaz: « le modèle d’entrepreneur aux États-Unis n’a strictement rien à voir avec le modèle français » Du mois d’avril au mois de juillet 2014, l’équipe de FrenchWeb est partie à la rencontre des entrepreneurs Français de la Tech à travers la France et les Etats-Unis pour réaliser un documentaire sur l’entrepreneuriat dans le numérique. Ce film est disponible en streaming gratuitement depuis mi-janvier. Carlos Diaz faisait partie de la soixantaine d’acteurs interviewés à cette occasion. Voir aussi: >> [We Love Entrepreneurs] Jacques-Antoine Granjon «Il y a un vrai génie français dans les entreprises» >> [We Love Entrepreneurs] Quentin Vacher, Birchbox « On ne valorise pas la prise de risque en France »

Le krach annoncé des centres commerciaux Montée du e-commerce et évolution des magasins de la grande distribution et des centres commerciaux, c’est la tendance inéluctable. Consommateurs, comme le e-commerce vous a changés… et comme vous faites changer la grande distribution et les centres commerciaux! Actuellement 35 millions de français achètent en ligne pour près de 60 milliards d’euros, qui devraient passer à 90 en 2020, soit environ le tiers des ventes actuelles de la grande distribution. Se déplacer vers la périphérie des villes pour circuler entre de longs rayons puis vider des caddies dans des voitures après une queue aux caisses va de moins en moins de soi : livraisons à domicile, drives en voiture… et à pied, magasins relais, casiers de retrait « click and collect »: les solutions se multiplient et évoluent, en particulier sous l’impulsion d’Amazon : prix forfaitaire annuel pour les livraisons, « uberpop » de la livraison (en test)… Les drives conduisent le mouvement Un sous-produit d’activité de loisirs JG.

Mid-year report: The newspaper industry’s billion dollar challenge US Newspaper Advertising Revenue(Newspaper Association of America published data) Here is one way to look at the business-model challenge for newspaper organizations: every year that print advertising revenues fall a billion dollars or more, the companies need to generate a billion or more in other revenue growth to stay even. Mid summer, 2015 is shaping up as another such year, and it again seems unlikely that that much new revenue can be found. Consider paywalls. Project that 10 percent industry wide on total circulation revenue of about $11 billion and that’s enough to cover a billion or more in print advertising losses. Companies will begin reporting second quarter/first half financial results later this month, and the tea leaves do not form a pretty pattern: There is a counterpoint to this big picture gloom. But the payoff appears years away as well. Tags: Business, Business Journalism, newspaper advertising

La France talonne les Etats-Unis dans l'internet des objets connectés Dans un article du Financial Times, réputé pour sa séverité, Jonathan Margolis relève que les Français réussissent particulièrement bien dans l’internet des objets. Le journal liste même les raisons de ce succès inattendu, tant notre pays a manqué le virage des smartphones il y a 15 ans. Une position favorable L’internet des objets représente une opportunité économique considérable pour le secteur de l’électronique en France, et toutes les autres industries qui utilisent l’électronique pour moderniser leur activité, gagner en productivité, en sécurité ou en confort. Et ce dynamisme français semble être parti pour durer : au CES 2015 de Las Vegas, le rendez-vous mondial de l’innovation Hardware, près de 100 PMEs françaises avaient fait le déplacement dans le Nevada (1/3 des startups non-américaines) bien aidées par les efforts mis en oeuvre par Business France. Les facteurs de succès Via – image : shutterstock

Big data : le physicien, le philosophe et le peintre «Quand on parle, l’abondance de la mitraille ne compense pas l’imprécision du tir », disait Paul Dirac, éminent physicien au verbe rare. Difficile de ne pas penser au « big data » et à son déluge de données qui, malgré tout l’intérêt qu’il peut avoir pour nourrir une réflexion, un projet ou une décision, ne saurait constituer, à lui seul, la décision qui s’impose sans que l’homme n’y dépose son intelligence, sa compréhension du contexte dans lequel les données ont été créées ainsi que les enjeux auxquels il envisage de répondre. Il existe pourtant un risque que le volume, la variété et la vélocité des données n’imposent leur loi, ne déterminent (au sens propre du terme, à savoir le fait d’être la cause ou la condition de l’existence d’un phénomène) à l’excès, à moins que nous ne fassions preuve simultanément d’un quatrième « V », la vigilance. Or le « big data » constitue un risque de construire un monde dans lequel le passé se regarde dans un miroir.

L'internet libre est-il devenu l'internet du divertissement? Ça commence par l’histoire d’un texte qui beaucoup tourné sur les réseaux sociaux. Ce texte est signé Hossein Derakhshan, blogueur iranien qui est sorti de 6 ans de prison en novembre dernier. Dans ce texte, publié par la plateforme Medium et traduit en France par Libération, il décrit sa redécouverte du web après 6 ans sans connexion. Le logo de facebook © REUTERS Un choc pour lui, pour ce blogueur qui voyait dans le web un mode de partage libre, de débat ouvert, une nouvelle grammaire en marche, décloisonnée, déhiéarchisée… Et qu’il a donc pratiquée comme telle au point d’être condamné pour ça en Iran. Ce qu’il a trouvé en lieu et place, c’est Facebook. L’internet libre est-il devenu l’internet du divertissement ? Nicolas Demassieux, Benoit Thieulin, Philippe Aigrain et Titiou LecoqMV © Radio France

Related: