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Piller la Grèce

Piller la Grèce
L’accord demande au gouvernement grec d’annuler tous les projets progressistes légiférés par Syriza depuis son arrivée au pouvoir il y a 6 mois; de recevoir l’approbation de la troïka avant de décider de nouvelles lois; d’adopter des mesures d’austérité automatiques en acceptant des “coupures de dépenses gouvernementales quasi-automatiques” au cas où les objectifs de surplus budgétaires ne seraient pas atteints; d’accélérer la saisie et la liquidation de commerces et de résidences qui ne peuvent pas payer leurs dettes; et d’affaiblir, ou même éliminer, les normes du travail protégeant les recours collectifs par des employés. Mais la clause peut-être la plus humiliante est celle qui force la Grèce à privatiser la somme effarante de €50 milliards de biens publics. Ceux-ci seront vendus à des investisseurs privés, dont plusieurs seront des étrangers. Le fonds qui gèrera le processus de privatisation se trouvera en Grèce, mais en pratique sera contrôlé par la troïka. Voici un échantillon. 1.

Atrocités allemandes Ce pays doit certainement davantage à ses poètes qu’à ses créanciers. “La Liberté ou la mort”. Nous sommes en guerre contre les élites mafieuses de l’Allemagne néo-impériale. L’Europe comprend, la France est à l’étroit, le monde observe. Des milliards volatils sont dépensés pour maintenir artificiellement en ce moment le cours de la monnaie allemande (euro), cependant officiellement c’est le silence. Le café grec de ce matin se boit amer et l’euro est dans le marc. Ce même TAIPED que SYRIZA allait supprimer aussitôt au pouvoir, d’après ce que j’ai entendu une semaine avant les élections de janvier, lors de la présentation du livre de Nadia Valaváni (actuellement ministre déléguée aux Finances). Lundi matin, les medias annonçaient que malgré tout, “l'accord serait en vue”. Lettres de créance. L’Europe européiste n’est plus. Dans ce même café, les équipiers d’une flottille de voiliers loués par nos touristes suivent les instructions de leur pilote et guide quant au parcours du jour.

Face aux créanciers, effronterie argentine et frilosité grecque, par Maurice Lemoine (Le Monde diplomatique, avril 2012) Tout commence par une idée éblouissante. Pour mettre un terme à l’inflation qui ravage le pays à son arrivée au pouvoir en 1989 (1), le président péroniste Carlos Menem — flanqué de son superministre de l’économie Domingo Cavallo, formé à Harvard et ancien fonctionnaire de la dictature (1976-1983) — fixe le taux de change de la monnaie argentine de manière rigide : 1 peso pour 1 dollar. Il grave ce système dit du « currency board » dans la Constitution. Qualifiée de « big bang » et encouragée dès l’origine par le Fonds monétaire international (FMI), cette politique réussit dans un premier temps : l’inflation disparaît, la croissance s’affermit. Le 1er janvier 2001, la Grèce remplit les critères de Maastricht et rejoint la zone euro. Après la crise mexicaine (1994-1995), l’Argentine peine à se financer sur les marchés : la hausse des taux d’intérêt — qui atteignent 20 % — pèse sur son budget. Quand, le 24 octobre 1999, M. Septième grève générale ! Le 31 octobre 2011, M.

Le secret des banques derrière la tragédie grecque Maria Lucia Fatorelli, membre de la Commission Vérité sur la Dette Publique Grecque [1] et coordinatrice de l'audit citoyen de la dette du Brésil, analyse les faits pour revèler la supercherie du bailout grec de 2010. La Grèce est confrontée à l'énorme problème de la dette et à une crise humanitaire. La situation est maintenant pire que ce qu'elle a connue en 2010, lorsque la troïka – le FMI, la Commission européenne et la BCE – a imposé son « plan de sauvetage », justifié par la nécessité de soutenir la Grèce. En fait, ce plan a été un désastre complet pour la Grèce, qui n’a tiré aucun avantage des conventions d'emprunt douteuses mises en œuvre depuis. Ce dont personne ne parle est qu'un autre plan de sauvetage réussi a effectivement eu lieu à ce moment-là en 2010, mais pas au bénéfice de la Grèce, mais au profit des banques privées. Derrière la crise grecque, il y a un énorme plan de sauvetage illégal pour les banques privées. [4] LE TRAITÉ DE LISBONNE. [9] Déclaration faite par M.

Comment sauver vraiment la Grèce (Le Monde diplomatique, juillet 2015) En apparence, le projet est simple. Depuis cinq mois, les créanciers d’Athènes s’emploieraient à sauver la Grèce de la banqueroute. Au fil des négociations, une autre ambition s’est toutefois dessinée : discréditer un projet politique identifié comme « radical ». En conditionnant leur soutien à de nouvelles mesures d’austérité, les interlocuteurs de M. Il existe pourtant deux solutions durables au problème européen, dont la crise grecque est l’un des symptômes : une transformation de la zone euro, substituant les logiques de solidarité et d’investissement à celles de concurrence et de prédation — une idée que défendent Gabriel Colletis, Jean-Philippe Robé et Robert Salais ; ou la désagrégation d’une union monétaire mal conçue, qui débuterait par la sortie de la Grèce — une perspective que présente Costas Lapavitsas.

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1459 Le cortège des rois mages Benezzo Gozzoli Géopolitique et FLE : parler du dessin de presse en cours de français Jump to navigation Formulaire de recherche recherche avancée Liberté de la presse : le dessin comme arme absolue ? Une émission ni bête, ni méchante sur l'art de la caricature. Réfléchir à l'impact d'un choix visuel. Connectez-vous pour sélectionner une ressource. Publié le 04/07/2012 - Modifié le 20/03/2017 Error loading player: No playable sources found À propos Liens Transcription Partager Durée : 15:47 La presse, la liberté de la presse, le journalisme, les caricatures, les médias, le pouvoir des images. Chaîne d'origine : RTS Présentation : Xavier Colin Production : RTS / TV5MONDE Site de l'émission Le contexte Bienvenue sur Geopolitis. « On peut rire de tout, mais pas avec n'importe qui ! Le reportage Liberté de la presse : la parole aux dessinateurs ? L’édito Il nous faut l'admettre, même si cela nous coûte ! Médias / Adultes / Éducation aux médias / Français des relations internationales / Géopolitis alexandria searching ...

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