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Lucien Febvre

Lucien Febvre

Le juif international, Par Henry Ford, Ford Motor Company, The World's Foremost Problem. Abridged from the original as published by theworld renowned industrial leader HENRY FORD, SR. Chapitre premier L'histoire des Juifs en Amérique commence avec Christophe Colomb, fort probablement Juif lui-même. Le 2 août 1492, plus de 300 000 Juifs furent expulsés d'Espagne et, le 3 août, le jour suivant, Colomb faisait voile vers l'Ouest, emmenant avec lui quelques-uns de ces expulsés. Ceux-ci n'étaient pas des réfugiés, car les plans prophétiques du navigateur avaient depuis longtemps déjà suscité la sympathie de Juifs influents. (N. de l'éd : Christophe Colomb était-il juif ? Ainsi le vieux marin revenait-il à sa foi originelle au moment où il sentait la mort s'approcher. Salvador de Madariaga, Christophe Colomb, Calmann-Lévy, Paris, 1952, page 595 Faut-il voir en Christophe Colomb un prophète inspiré ? Colomb lui-même nous dit qu'il fréquentait beaucoup les Juifs. Cinq Juifs au moins s'étaient associés à Colomb dans cette aventure : Luis de Torres, l'interprète ; Marco, le chirurgien ; Bernal, le médecin ; Alonzo de la Calle et Gabriel Sanchez. Citoyen, réveille-toi !

Pierre Chaunu Pierre Chaunu, né le 17 août 1923 à Belleville-sur-Meuse et mort le 23 octobre 2009 à Caen[2], est un historien français. Spécialiste de l'Amérique espagnole et de l’histoire sociale et religieuse de la France de l'Ancien Régime (XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles), grande figure française de l'histoire quantitative et sérielle, cet agrégé d'histoire et docteur ès lettres a été professeur à l'université Paris IV, membre de l'Institut et commandeur de la Légion d'honneur. Protestant engagé à l'extrême droite[3], il a dénoncé le déclin démographique de l'Occident. Il a longtemps écrit dans Le Figaro. Biographie[modifier | modifier le code] Son enfance[modifier | modifier le code] Il vit au Ban-Saint-Martin près de Metz jusqu'à ses quinze ans. Chaunu a dit avoir été passionné par l'histoire dès sa jeunesse, entourée par presque toutes les périodes historiques. Mais l'élément décisif qui le mène à s'intéresser sérieusement à l'histoire est dans son enfance la mort de sa mère. Alexandre le Grand.

Il y a cinquante ans, les États-Unis décrétaient le blocus de Cuba 8 février 2012 Article en PDF : Au nom de la « lutte contre le communisme » d’abord, puis de « la défense des droits de l’homme », la plus grande puissance au monde, les États-Unis, livre à une toute petite île, Cuba, une guerre économique sans pitié. Washington châtie tout un peuple pour crime de lèse-empire. Dès le 1er janvier 1959, les États-Unis ne supportent pas que dans leur « jardin » ait lieu une révolution et la considèrent comme un dangereux foyer de sédition. « Plus jamais un nouveau Cuba. » En avril 1960, le sous-secrétaire d’État aux Affaires interaméricaines, écrit : « La majorité des Cubains soutiennent Castro. Le 3 février 1962, le président Kennedy décrète les sanctions totales, l’interdiction des exportations et importations : le blocus. Cuba n’est pas une situation virtuelle. Les États-Unis auront tout tenté pour faire plier la révolution. Cuba « réinvente » Cuba vit des changements structurels importants. Source : L'humanité Dessin : Carlos Latuff

Marc Bloch Marc Bloch. Biographie[modifier | modifier le code] Famille et formation[modifier | modifier le code] Il est reçu à l'agrégation d'histoire et géographie en 1908[6]. La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code] Carrière universitaire[modifier | modifier le code] Marc Bloch est nommé en tant que maître de conférences en 1919, professeur sans chaire en 1921 puis professeur d'histoire du Moyen Âge en 1927 à la faculté de Strasbourg, redevenue française ; ses qualités professorales et sa rigueur méthodologique contribuent alors au prestige de l'Université française[10]. Premiers pas d'historien[modifier | modifier le code] Il soutient une thèse de doctorat allégée, au propos déjà neuf, sur l'affranchissement des populations rurales de l'Île-de-France au Moyen Âge : Rois et Serfs, un chapitre d'histoire capétienne (1920). Marc Bloch publie en 1924 son œuvre magistrale, Les Rois thaumaturges. L'aventure des Annales[modifier | modifier le code] Résistance[modifier | modifier le code]

Gilad Atzmon : un livre, deux éditions -- Histoire Secrète Gilad Atzmon est un musicien de jazz, né en Israël et vivant à Londres, qui a petit à petit compris ce qu'était vraiment le sionisme et vers quoi il pouvait mener le monde. Se définissant lui-même comme un « Palestinien parlant hébreu » ou comme un « fier Juif-ayant-la haine-de-soi », il a écrit de nombreux articles et accordé de nombreux entretiens, essayant sans cesse de décortiquer l'idéologie qui soutient aussi bien les actes belliqueux ou racistes d'Israël que les postures de ceux qui, à travers le monde, se proclament Juifs antisionistes. Ce livre est ainsi le fruit de dix ans de réflexion sur les questions de l'identité face au regard de l'autre, sur le paradoxe dans lequel s'enferment les Juifs laïcs, et sur le retour au ghetto auquel a finalement abouti la création d'Israël. Editions Kontre Kulture Editions Demi Lune

Pierre Nora Pierre Nora en 2011. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Juif ashkénaze[1], Pierre Nora est le fils du médecin Gaston Nora et de Julie Lehman, et le frère du haut-fonctionnaire Simon Nora. Formation[modifier | modifier le code] Carrière universitaire[modifier | modifier le code] Il est professeur au lycée Lamoricière (aujourd'hui lycée Pasteur) d'Oran (Algérie) jusqu'en 1960 ; il en rapporte un essai publié sous le titre Les Français d'Algérie (1961). Il est pensionnaire de la Fondation Thiers de 1961 à 1963, et assistant, puis maître-assistant à l'Institut d'études politiques de Paris de 1965 à 1977. Carrière dans l'édition[modifier | modifier le code] Chez Gallimard, Nora publie dans les collections qu'il dirige des travaux importants qui constituent généralement des références incontournables[réf. nécessaire] dans leurs champs de recherche, notamment : Fonctions administratives[modifier | modifier le code] Distinctions[modifier | modifier le code]

national-trotskysme Aux origines du trotskysme français En 1929, un groupe de communistes français dont Pierre Frank et Raymond Molinier rend visite à Trotsky, exilé alors à Prinkipo, en Turquie. Le groupe trotskyste français se structure autour de la revue La Vérité et, en avril 1930, naît la Ligue Communiste de France. Le trotskysme français, jusqu’en 1934, comptera moins d’une centaine de militants. De Juillet 1932 à Avril 1933, Pierre Frank est secrétaire de Trotsky. En Août 1934, sur conseil de Trotsky lui-même, la Ligue adopte une stratégie de double jeu. Mais revenons aux origines du trotskysme français. Le Parti Communiste Internationaliste (PCI) est fondé par le « groupe Molinier » en mars 1936. Pierre Boussel et le trotskysme pendant la guerre 39-45 Pierre Boussel, né le 9 juin 1920, est avant la guerre un jeune militant de la CGT. Pourquoi cette adhésion du PCI, (qui prend l’appellation de CCI, Comité Communiste internationaliste, à partir de 1943) à la Collaboration ?

Fernand Braudel Pour les articles homonymes, voir Braudel. plaque commémorative Vue de la sépulture. Fermement convaincu de l'unicité profonde des sciences humaines, il est l'un des représentants les plus populaires de « l'École des Annales » et a marqué durablement les historiographies française et internationale[2] par la définition de concepts « braudéliens » : l'étagement des temporalités, la longue durée, ou encore la civilisation matérielle sont des prismes à travers lesquels il observe le monde et dépasse très largement l'histoire traditionnelle en ouvrant sur des sciences telles que la géographie, l'économie, l'ethnologie, la sociologie, ou encore l'archéologie[3]. Sommaire Biographie[modifier | modifier le code] Enfance, formation et influences[modifier | modifier le code] Il passe son enfance chez sa grand-mère à Luméville-en-Ornois, en Lorraine. Il étudie au lycée Voltaire, à Paris, fait de bonnes études. L'Algérie, le début de la thèse, le Brésil et Dubrovnik[modifier | modifier le code]

Karl Polanyi, le marché et le socialisme - La vie des idées Recensé : Karl Polanyi, Essais, Paris, Seuil, 2008, 589 p., 29 €. Édités par Michèle Cangiani et Jérôme Maucourant, traduits par Françoise Laroche et Laurence Collaud, avec une postface d’Alain Caillé et Jean-Louis Laville. On prend aujourd’hui la mesure de la postérité intellectuelle de Karl Polanyi, dans des domaines aussi divers que l’anthropologie (Marshall Sahlins, Louis Dumont), l’histoire de la Grèce antique (Moses Finley) ou la sociologie économique (Mark Granovetter). Un courant de sciences sociales comme le MAUSS (Mouvement anti-utilitariste en sciences sociales, auquel appartiennent Alain Caillé et Jean-Louis Laville, auteurs de la postface) revendique son influence. Il n’en reste pas moins que la réception française a longtemps souffert des retards et de la rareté des traductions de l’œuvre prolifique du grand penseur hongrois. Karl Polanyi (1886-1964) Économiste d’origine hongroise, il émigre dans les années 1930 en Grande-Bretagne puis aux États-Unis.

Jacques Le Goff Annonce de sa mort à l'université de Varsovie (cliché du 11 avril 2014). Jacques Le Goff est un historien médiéviste français, né le 1er janvier 1924 à Toulon et mort le 1er avril 2014 à Paris[1]. Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Son père, Jean Le Goff, né en 1878, est issu d’une famille modeste et bénéficie de la politique de la IIIe République qui permet l’ascension sociale des classes populaires. Après avoir étudié à Rennes, il devient professeur certifié d’anglais. La mère de Jacques Le Goff, Germaine Ansaldi, est née en 1891 en Provence, mais est d'origine italienne[4]. Jacques Le Goff décrit son père comme étant « droit, honnête, dévoué et intègre ». Homme de gauche[modifier | modifier le code] En 2013, il signe le manifeste du Laboratoire d'esprit civique[9]. Études supérieures[modifier | modifier le code] Il parle couramment l'anglais, l’italien, le polonais et l'allemand[12]. Carrière universitaire[modifier | modifier le code]

L’histoire secrète Entre 1994 et 1997, au Québec, en France et en Suisse, au cours de cinq carnages, soixante-quatorze membres de l’Organisation du temple solaire meurent dans des conditions nébuleuses. Suicides ? Assassinats collectifs ? Infos-Paranormal, 11 février 2009 Le 18 novembre 1978, 914 personnes sont retrouvées mortes à Jonestown au Guyana (ancienne Guyane Britannique, près du Vénézuela). Réseau Voltaire, 19 septembre 2010 par Wayne Madsen Dans la seconde partie de son enquête, Wayne Madsen s’intéresse à la biographie de la mère et du beau-père du Président Barack Obama. Mecanopolis, 14 septembre 2010 Depuis plusieurs mois, les affaires de pédophilie au sein de l’Eglise catholique en Belgique défrayent la chronique et commencent tout doucement à faire revivre au peuple belge les sombres années de l’affaire Dutroux. ReOpen 911, 18 août 2010 D’un Pearl Harbor à l’autre… Ce jeudi 12 août, avez-vous regardé pour la Xième fois “Pearl Harbor“, la superproduction mièvre de Disney tournée en 2000?

Histoire Mecanoblog, 25 octobre 2010 par Peter Dale Scott et Robert Parry « Contre-insurrection » et « Guerre psychologique » Note de l’éditeur : Beaucoup d’Etasuniens voient leur pays et leurs soldats comme les « bons » qui propagent la « démocratie » et la « liberté » dans le monde entier. Quand les Etats-Unis infligent mort et destruction […] En France (et ailleurs), on est toujours prompts à faire des « rétrospectives », à faire amende honorable du passé. Sacro-saint « devoir de mémoire » ? Plutôt entreprise bien commode de diversion destinée à faire oublier les scandales sanitaires actuels – comme ces milliers de fausses-couches dues à la vaccination anti-H1N1. La population sert […] Discours de John F. Mecanopolis, 05 octobre 2010 L’UE d’aujourd’hui a une double histoire. Info Paranormal, 30 septembre 2010 Une équipe internationale d’archéologues a trouvé une lettre, sous une pile de briques dans une église qui s’étaient effondrée près de Trujillo, à 400 km au nord de Lima.

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