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La mauvaise réputation de Noam Chomsky, par Jean Bricmont

La mauvaise réputation de Noam Chomsky, par Jean Bricmont
Le New York Times, qui n’aime guère Noam Chomsky (c’est réciproque), admet néanmoins qu’il compte au nombre des plus grands intellectuels vivants. En dehors des départements de linguistique, et des colonnes du Monde diplomatique, il reste néanmoins ignoré en France. Quand son nom est évoqué, c’est trop souvent pour y associer ceux de Robert Faurisson ou de Pol Pot. Chomsky serait l’archétype de l’intellectuel passant son temps à minimiser ou à nier divers génocides dont l’évocation risquerait de servir l’impérialisme occidental. Il n’a d’ailleurs trouvé qu’un éditeur marginal, Spartacus, pour publier en 1984 ses Réponses inédites à mes détracteurs parisiens, compilation de lettres et d’un entretien, non publiés ou de façon tronquée et adressés à des journaux comme Le Monde, Le Matin de Paris, Les Nouvelles littéraires, pour répondre, entre autres, à des attaques de Jacques Attali et de Bernard-Henri Lévy. D’où l’importance de la publication récente de certains de ses textes (1).

Manufacturing Consent: Noam Chomsky and the media Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Chomsky, les médias et les illusions nécessaires (en anglais « Manufacturing Consent: Noam Chomsky and the media ») est un documentaire canadien de 1992[1] sur l'intellectuel américain Noam Chomsky, réalisé par Mark Achbar et Peter Wintonick. D'une durée de 167 minutes, le documentaire repose sur une « narration "composite" »[2] faite d'interviews, d'extraits de conférences, de documents d'archives, et d'interventions télévisées. L'édition DVD comporte en suppléments notables le débat intégral de 1969 avec le journaliste américain William F. Description[modifier | modifier le code] Ce documentaire a fait l'objet d'un livre d'accompagnement, édité séparément en 1994 par Mark Achbar, comportant l'intégralité du script, des compléments sur les échanges entre Chomsky et ses détracteurs, des informations bibliographiques et historiques plus complètes, les notes des réalisateurs ainsi que 300 photos provenant du film.

4 projets créatifs de réappropriation des données C’est une démarche anti-cloud, bref anti-nuages que présente et décrit la journaliste Marie Lechner dans l’édition du 26 février 2013 du quotidien Libération avec la volonté de reprendre en main les données qui s’hébergent de plus en plus sur Internet et de moins en moins sur des supports physiques possédés et échangés entre des particuliers. L’ère du cloud, c’est être « partout et nulle part à la fois. Bienvenue dans l’ère du cloud, l’informatique « dématérialisée » qui permet à nos portables, smartphones et tablettes de se connecter à tout moment au nuage pour profiter d’une vaste gamme de services et d’applications à distance. » Face à cet emballement industriel et donc mercantile, des initiatives citoyennes montrent que la réappropriation des données est un possible avec des initiatives créatives aussi bien techniquement qu’inventives dans le dispositif mis en place. Pirate Box, le partage : « Posée dans un lieu public, la Pirate Box créé autour d’elle un réseau autonome ».

Blog sur Noam Chomsky (en français) | « Peut-être l’intellectuel vivant le plus important… » [New York Times] Les solutions de coffre-fort numérique pour stocker en ligne vos papiers et Juin122011 Vous avez apprécié cet article? Partagez-le! Les solutions de coffre-fort numérique ou coffre-fort virtuel sont différentes des traditionnels solutions de sauvegarde en ligne (Dropbox, Mozy, etc). Elles offrent un espace de stockage et d’archivage en ligne dédié à vos documents importants: carte d’identité, passeport, factures, contrats, relevés de compte, bulletins de paie, etc. Le coffre-fort numérique, comme son nom l’indique, est un espace très sécurisé. Les différentes prestataires proposent de multiples fonctionnalités, dont le transferts de fichiers vers des tiers. Certaines solutions téléchargent automatiquement les factures ou relevés de vos fournisseurs (téléphone, banque, assurance, abonnement TV, …) et offrent donc la possibilité de centraliser vos documents dans un espace numérique. Les coffres-forts numériques donnent à vos documents numérisés une valeur probante, c’est-à-dire qu’ils ont une valeur légale identique aux documents papiers originaux.

À l’ère numérique, renouer avec la solitude bienfaisante La solitude offre de nombreux avantages. Elle permet d’agir et de penser en toute liberté, stimule la créativité et l’imagination. Elle enrichit également nos relations aux autres, en favorisant l’intimité et le sentiment d’empathie. Évidemment, la solitude n’est pas toujours vécue de façon positive. Pour certains, elle peut même mener à un sentiment d’isolation douloureux. Mais, de même que nous pouvons veiller au quotidien à ce que nous ingurgitons, il peut être bénéfique de prendre conscience de la quantité et de la qualité de solitude que nous expérimentons au jour le jour. Qu’il s’agisse d’une solitude délibérée ou de celle qui nous tombe dessus sans prévenir, les bénéfices potentiels sont les mêmes, mais en réalité, la solitude « subie » devient peu à peu une espèce en voie de disparition, en tous cas pour certains d’entre nous. « Si un arbre tombe dans la forêt et que personne ne l’entend, est-ce que sa chute fait du bruit quand même ? Que signifie être seul ?

Trois idées reçues sur Internet - Antonio Casilli, article — Idée reçue n°1 : Les internautes forcenés n’ont pas de relations sociales Hacker sur le retour, Jay habite la ville de San José, en Californie. La quarantaine venue, il parle de son passé de programmeur avec les accents d’un ex-sportif de haut niveau : « Quand j’avais du code à écrire j’y allais à fond. Il est évident que tous les internautes sont loin de se définir ainsi. Mais pour peu que l’on mette à distance cette idée reçue, une image bien différente se dessine. Reste à connaître l’impact des technologies numériques sur la vie personnelle des usagers. Internet, comme l’affirme Manuel Castells, « ne remplace ni la sociabilité en face à face ni la participation sociale, mais il s’y ajoute (1) ». — Idée reçue n°2 : Internet, territoire de la jeunesse Après une carrière internationale bien remplie, l’acteur suédois Bo Brundin, 74 ans, décide de se retirer dans un cottage et de le décorer pour qu’il reproduise exactement l’appartement qu’il avait à Manhattan dans les années 1960.

Le NRA au coeur des réseaux ADSL : qu'est-ce qu'un un central téléphonique, Ecrit par François Le Gall Mis à jour le 22 mai 2017 Le NRA (Noeud de Raccordement d'Abonnés) est un local technique sécurisé dont on entend souvent parler mais qui reste à la fois mystérieux et méconnu. Ariase a eu le privilège de pénétrer au coeur d'un répartiteur (central téléphonique) et vous détaille le fonctionnement du réseau qui relie les abonnés ADSL à leurs opérateurs. Une occasion de mieux comprendre la complexité qui se cache derrière les offres ADSL des FAI. Les NRA sont les centraux téléphoniques de l'opérateur historique France Télécom dans lesquels aboutissent les lignes téléphoniques des abonnés, quel que soit leur fournisseur d'accès ADSL. Le répartiteur est un élément important du NRA puisque c'est ici que va se faire le premier tri entre les lignes des abonnés. La paire de cuivre Les technologies xDSL, comme l'ADSL ou le ReADSL, reposent toutes sur l'utilisation de la paire de cuivre utilisée pour le téléphone. Le DSLAM Le NRA se compose lui-même de plusieurs parties.

Tor : un anonymat tout relatif ? Si Tor fonctionne parfaitement. Mais comme d'hab, il ne faut pas faire n'importe quoi... Le premier PC (proxy) de la chaine de proxy Tor pourrait être celui de sarko, qu'il ne pourrait décrypter complètement les paquets qu'il reçoit car ces derniers sont cryptés avec la clé publique de chaque proxy qu'il va traverser pour atteindre sa destination. Le client Tor réalise le chemin de la chaine des proxys en récupérant la liste des noeuds (proxys) au près d'un serveur d'annuaire Tor. Si vous ne croyez pas l'équipe Tor et les mécanismes qu'elle dit mettre en place, contrôlez vous même l'code (merci open-source) et recompilez. Toute fois il existe quelques désagréments, tous provenant du point de sortie (P5) si et seulement si la communication entre la source (PCsource) et la destination (SERVERdestination) n'est pas cryptée. - Le propriétaire du point de sortie peut snifer les paquets qui partent vers la destination. Pour conclure Tor marche très bien malgré ce qui peut en être dit.

Comment internet modifie notre cerveau "Mon vieux cerveau me manque." Nicholas Carr, 52 ans, essayiste américain, n'a rien d'un réac allergique au web. Les nouvelles technologies, au contraire, c'est sa spécialité. Entre son blog, son Twitter, son Facebook, Carr était même un accro. Pourtant, en 2007, "le serpent du doute s'est inséré dans [son] éden numérique". Carr avait l'impression désagréable que "quelqu'un ou quelque chose bricolait (...) son cerveau ". Au Ve siècle av. Google rend-il Alzheimer ? "Le cerveau humain est un ordinateur obsolète qui a besoin d'un processeur plus rapide et d'une mémoire plus tendue." Surfer nous rend-il hyperactifs ? Scène de famille ordinaire. Tous hyperactifs, hyperconnectés... et hyper-impatients ? "Je ne supporte plus d'écouter des messages vocaux sur mon téléphone, je n'utilise plus que les SMS. Mais où se réfugierait aujourd'hui un moine copiste irlandais ? "Notre mémoire de travail est souvent en surchauffe, dit Jean-Philippe Lachaux. Internet drogue-t-il notre cerveau ? Eh oui !

Colloque Max/MSP Colloque Max/MSP Institut de Musique Electroacoustique de Bourges Juin 2000 Roland Cahen 29/05/2000 Publication IMEB 2000 Max/MSP un mécano. électroacoustique "Tout tend à prouver qu'au sein des Temps Modernes, exaltés avec tant d'enthousiasme, était en gestation un monstre à trois tètes : le rationalisme, le matérialisme et l'individualisme. Ernesto Sabato (Avant la fin) Depuis l'apparition de l'informatique, et de ses applications multimédia, on n'a de cesse, dans les média comme dans les cercles bien pensants de l'art contemporain, de vanter les promesses radieuses du 'multimédia', de 'l'interactivité' et de l'informatique musicale. Ne soyons pas dupes, l'économie de la culture, n'a de culture que l'économie qu'elle en fait. Reste à l'être humain qui a la chance de pouvoir renoncer au suicide immédiat le choix suivant : - Se propulser éperdument dans le rêve technologique - S'isoler pour cultiver son jardin - Lutter idéologiquement sachant déjà la lutte inégale… Bref! Signé : MaxLaMenace …etc.

Vers une définition de la Médiation numérique J'ai été sollicité pour assurer un conférence introductive lors des Assises de la médiation numérique qui se dérouleront à Ajaccio du 19 au 21 septembre 2011. Voici en avant-première quelques éléments de définition afin de proposer les bases d'un cadre de réflexion commun. image via KJB de signets graphiques par Loic Hay Définir la médiation numérique, pour quoi faire ? Ce travail de définition contribue à construire une identité professionnelle pour les personnes chargées d'accompagner les usages des technologies, services et médias numériques. Ces personnes peuvent être, La médiation numérique : un enjeu d'équité Il existe une catégorie de personnes qui ne sont pas familières avec les technologies numériques, qui ignorent les services et contenus auxquelles elles permettent d'accéder, qui peinent à s'adapter aux évolutions rapides des matériels, au point de se trouver défavorisées, voire handicapées, dans leur vie quotidienne du fait de leur manque d'autonomie dans l'usage de ces outils.

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