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Hipster: The Dead End of Western Civilization

Hipster: The Dead End of Western Civilization
Update Required To play the media you will need to either update your browser to a recent version or update your Flash plugin. Audio version read by George Atherton – Right-click to download I’m sipping a scummy pint of cloudy beer in the back of a trendy dive bar turned nightclub in the heart of the city’s heroin district. In front of me stand a gang of hippiesh grunge-punk types, who crowd around each other and collectively scoff at the smoking laws by sneaking puffs of “fuck-you,” reveling in their perceived rebellion as the haggard, staggering staff look on without the slightest concern. The “DJ” is keystroking a selection of MP3s off his MacBook, making a mix that sounds like he took a hatchet to a collection of yesteryear billboard hits, from DMX to Dolly Parton, but mashed up with a jittery techno backbeat. “So… this is a hipster party?” “Yeah, just look around you, 99 percent of the people here are total hipsters!” “Are you a hipster?” “Offensive?”

The Accidental Hipster Non, les hipsters ne créent pas de croissance C’est un coup dur pour les bobos et les jeunes branchés qui leur dament désormais le pion dans les médias, les hipsters. «Non, écrit Will Doig sur Salon, les coffee shop sympa et le vélo-partage ne constituent pas une politique d’urbanisme en soi». Et les jeunes à moustache qui roulent en vélo fixie ne sont pas les sauveurs de l’économie américaine. Le modèle selon lequel «la coolitude va nous sauver» est une pyramide de Ponzi, poursuit Thomas Frank dans The Baffler. Pourquoi tant de haine? Le modèle de la classe creative a eu tellement de succès que de nombreuses collectivités territoriales se sont inspirées de la théorie. Schéma de la hipstérisation de quartier par Ian David Moss Autour de la théorie de Florida, s'est popularisé aux Etats-Unis un discours de transformation urbaine un peu tarte à la crème sur la «vibrancy» («sonorité», «résonance», «vitalité») des villes, d’où naîtrait automatiquement le renouveau et la prospérité.

Why do people hate hipsters? | Fashion There was a party going on in London E5; a house party in one of the Victorian terraces that line the streets in this modest area of east London. There had been parties on the street before, only on this particular Friday evening two months ago, guests wore Ray-Bans, deep-cut v-neck T-shirts and skinny jeans. They were also, according to one partisan report, in possession of "a sound system louder than the big bang". Quite an event, yet not everyone in the street appreciated the loud music and louder fashions. "I only put 'hate' in the title of the blog," explains annoyed neighbour and anonymous author of Hackney Hipster Hate photo-blog, "because, on the night I wrote it, I was watching floods of hipsters arrive in the early hours at a terrace house and having an Ibiza-style party. It drove me insane." Though it began in a moment of sleep-deprived abhorrence, Hackney Hipster Hate now posts images of fashionable east Londoners accompanied by a scornful commentary. Apparently not.

Design Hipsterism? Why Do We Stop Liking What's Popular? I was at a coffee shop this past weekend when I overheard two 20-somethings discussing a music festival taking place in Chicago. This is a festival that has grown in popularity over the past few years, and the gist of their conversation was that they used to go back when it was "good", but now it's just "too popular". It wasn't the music that made the festival bad, it was the perceived change in who liked the music. More broadly, this is the response so many of us seem to have once something we like becomes popular. So what gives? If we once liked it, why do we stop once it becomes popular? In the realm of design, I'm constantly seeing decor darlings that are now routinely dissed. As for me, I'm trying to keep calm and keep liking what I like, even if it becomes mainstream. PS - If you are up for a good laugh, check out Urban Dictionary's definition of Hipster. (Images: 1.

Tendance: Les hipsters s’incrustent à Genève - News Genève: Actu genevoise Tendance Un nouveau style vestimentaire s'impose en Ville chez les 20 à 30 ans. Décodage. 1/8 Les Genevois Palina Vinitski et son compagnon Anthony Leuba, amoureux des fifties et créateurs du blog ForeverHipster. Quelques codes du hipster Une niche : les écoles d’art (HEAD, ECAL) Une couleur : toutes, de préférences mélangées, fluos parfois, vintage souvent Une musique : l’électro Une capitale : Berlin Un animal fétiche : le loup et le cerf. Signaler une erreur Vous avez vu une erreur? Veuillez SVP entrez une adresse e-mail valide Partager & Commenter Votre email a été envoyé. Au vestiaire les skaters, exit les gothiques, ciao les «yo», basta les «rasta». Ces jeunes de 20-30 ans pullulent depuis quelques temps dans les milieux «hype» (soit branchés) de la cité de Calvin. Lui porte un slim, des lunettes à la Brejnev vissées sur un nez souligné d’une fine moustache. L'effet de mode de l'ultra-élitisme Rétro mais pas trop USA, Berlin et la Suisse alémanique Mon hipster mal-aimé

De nouveaux bobos dans les journaux… Peu de mots De nouveaux bobos dans les journaux… Peu de mots se sont installés aussi rapidement et durablement dans le langage courant que le mot “bobo”. Dix ans après sa création, le terme inventé par David Brooks à New York s’est aussitôt propagé de notre côté de l’Atlantique. La grève dans la distribution des kiosques parisiens vous auront aussi peut-être fait râter l’avant-dernier numéro de Courrier International dont la couverture se penche sur Le Phénomène hipster : “décalés, esthètes, écolos, nomades, geeks”. Bobos et hipsters ont néanmoins en commun la revendication d’une certaine idée du cool. Cette gentrification, on la retrouve également dans le magazine Ideat qui consacre plusieurs sujets aux bobos, “la nouvelle modernité”. Une théorie que l’on fait nôtre avec ce site dessinant, au fil des semaines, un rapport moins coupable à notre condition sociale, assumée et revendiquée. Bobo Bix 6revue de presse, vu dans la presse, autopromo, magazines

Le hipster décortiqué | À la mode Montréal Les médias s'intéressent aux hipsters. Les journalistes de grands quotidiens emploient de plus en plus le terme hipster. Les magazines leur consacrent des pages entières. Le hipster se fait décortiquer de la tête aux pieds. Le grammairien du New York Times, Philip Corbett, a même demandé à la rédaction du quotidien de cesser d'utiliser le mot hipster après avoir répertorié le mot 250 fois dans les pages du New York Times au cours de l'année précédente ! D'après lui, la signification du terme est trop floue. Les autres générations cherchent à comprendre le hipster. Qu'on l'analyse, qu'on l'imite ou qu'on le ridiculise, le hipster fascine encore. Couverture du Courrier International Courrier International: Le phénomène hipster Cette semaine, le Courrier International signe une série complète sur la montée du phénomène hipster partout dans le monde. On explique son origine et sa rapide propagation. Via www.weltbranding.com La culture hipster aurait un lien avec la bulle Internet. L'annonce:

LE PHÉNOMÈNE HIPSTER • Une avant-garde chic mais sans art Il y eut d’abord les hipsters blancs, au début des années 2000. Puis les verts, plus écolos. Ces derniers temps, la tribu est devenue planétaire, explique Mark Greif, exégète du mouvement. A Paris, le mot hipster* a gardé un parfum d'Amérique. L'exemple nord-américain est incontournable, car c'est là qu'apparaît pour la première fois ce mouvement culturel, qui s'est aujourd'hui propagé aux quatre coins du monde. Un mythe que l'on répète à l'envi en Amérique à propos du hipster, c'est qu'il échappe à toute définition. Nous autres, habitants de l'Amérique urbaine, savons pourtant parfaitement ce que "hipster" signifie - en tout cas, nous devrions le savoir. Dans sa forme la plus extrême, le mouvement hipster serait la première contre-culture - inspirée du modèle antiautoritariste des hippies et des punks - à procéder du néolibéralisme, cette infâme tendance à prôner la redistribution des richesses vers le haut. Pour tout savoir sur le phénomène Hipster, consultez notre dossier spécial.

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