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Unnamed pearl

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theconversation Nous vous proposons cet article en partenariat avec RetroNews, le site de presse de la Bibliothèque nationale de France. Le 23 octobre 1941, partout en France, les quotidiens publient une liste de 48 otages fusillés par les autorités d’occupation allemande. Dans Le Matin : Dans Le Réveil du Nord : Dans Le Petit Parisien : Ces exécutions correspondent à une accélération dramatique de la répression menée par l’occupant allemand et plus spécifiquement à la mise en œuvre de la « politique des otages » [Sur le sujet, voir l’article de Dominique Tantin]. Femmes Résistantes - Colloque organisé à l'occasion de la première journée nationale de la Résistance - Sénat Présidence : Mme Rose-Marie ANTOINE, directrice générale de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONAC) Mme Christine BARD, professeure d’histoire contemporaine à l’Université d’Angers : « Des oubliées de l’histoire ? » Des résistantes en politique : Mme Sabrina TRICAUD, docteure en histoire, chercheure associée à Sciences po : « Des sénatrices issues de la Résistance : portrait de groupe » Présentation, par des sénateurs et sénatrices de la délégation aux droits des femmes, de l’action au Sénat de sénatrices issues de la Résistance :

Carte: Guerre, Persécutions Et Massacres 1er SEPTEMBRE L'Allemagne attaque la Pologne le 1er septembre, c’est le début de la Seconde Guerre mondiale. Le 3 septembre, le Royaume-Uni et la France, se tenant garants des frontières polonaises, déclarent la guerre à l'Allemagne. Le 17 septembre, l'URSS envahit l’est de la Pologne. Varsovie se rend le 27 septembre et le pays est divisé en trois régions. Auschwitz : un laboratoire grandeur nature de l’idéologie nazie Pour célébrer la date anniversaire de la libération du camp, Arte propose le documentaire “Auschwitz Projekt”, qui révèle qu’Auschwitz ne fut pas seulement un camp de concentration mais un gigantesque complexe avec ses usines, mines et exploitations agricoles, ce qui en fit un laboratoire grandeur nature de l'hubris nazie. Arbeit macht frei (le travail rend libre). Le monde entier connaît cette devise d'un cynisme démoniaque surplombant le portail d’Auschwitz qui trône au seuil de l’Anus mundi. Pour célébrer comme chaque année la libération du camp, le 27 janvier 1945, Arte propose un documentaire qui prend en quelque sorte de la hauteur face à ces images ultra célèbres, et nous révèle, cartes et plans aériens à l'appui, qu’Auschwitz ne fut pas seulement un lieu destiné à détruire les “races inférieures” et les ennemis du Reich mais, comme l'évoque le titre du film, un “projet” conçu pour donner corps à la dystopie hitlérienne. Un cauchemar industriel Un puzzle concentrationnaire

Sonderkommando – Google Cultural Institute Le Sonderkommando était affecté aux tâches suivantes, toutes liées à l'extermination : • Dans les salles de déshabillage des chambres à gaz : les membres du Sonderkommando aidaient les déportés tout en essayant de les mettre à l'aise pendant qu'ils se débarrassaient de leurs vêtements pour ce que l'on nommait “la douche”. Par ailleurs, sous les ordres des SS, ils emmenaient les personnes montrant des signes d'anxiété à l'arrière du bâtiment et les maintenaient pendant leur exécution. Ensuite, lorsque tout le monde était entré dans la chambre à gaz, ils ramassaient les effets personnels des victimes dans les salles de déshabillage et les mettaient dans des camions qui formaient la colonne de transport et stationnaient à proximité. • Dans la chambre à gaz : une fois les locaux ventilés, ils débarrassaient les cadavres des déjections dont ils étaient couverts, recherchaient parmi les corps des objets de valeur et arrachaient les dents en or, ainsi que les prothèses.

Carte: Déportation Et Centres De Mise À Mort Ouverture du camp de concentration d'Auschwitz près de la ville d'Oswiecim, Pologne. Les détenus sont assignés aux travaux forcés. Le gaz Zyklon B est utilisé pour la première fois à Auschwitz pour tuer 600 prisonniers de guerre soviétiques et 250 autres prisonniers considérés comme malades ou faibles. Les derniers Compagnons de la Libération Cliquez pour naviguer Sur les 1 038 Compagnons de la Libération, ils ne sont plus que 10 à être encore en vie, âgés de 96 à 103 ans. Cet ordre national, le deuxième après la Légion d’honneur, a été créé par le général de Gaulle au cours de la Seconde Guerre mondiale, le 16 novembre 1940. Il est destiné “à récompenser les personnes ou les collectivités militaires et civiles qui se seront signalées dans l'œuvre de libération de la France et de son Empireˮ.

8 mai 1945 à Vire. La vie avait repris son cours dans les ruines Publicité Vire a été libérée le 8 août 1944 par les troupes américaines du 116e RI. Dès lors, la vie dans les ruines et les baraquements a repris son cours petit à petit. À l'annonce de la fin des hostilités en Europe, le 8 mai 1945, les cloches de l'église Notre-Dame ont résonné à 15 h. Quelques bals ont été improvisés en soirée dans certains quartiers de la ville. La Seconde Guerre mondiale vue par le peuple allemand Comment les Allemands ont perçu et vécu 1939-1945 et ont adhéré au conflit. Professeur d'histoire à l'université d'Oxford, Nicholas Stargardt a rédigé avec La Guerre allemande un ouvrage majeur dans l'historiographie de la Seconde Guerre mondiale. Unanimement salué par les spécialistes de cette guerre (à l'image de Saül Friedlander ou Ian Kershaw), le travail de Stargardt va au fond des choses pour essayer de comprendre pourquoi et comment les Allemands se sont lancés à corps perdu dans ce conflit qui a causé près de 60 millions de morts et détruit la majeure partie de l'Europe.

Hiroshima après la Bombe Contexte historique Montrer Hiroshima L’assemblage de Little Boy, son installation dans la soute du B-29 Enola Gay, le décollage de l’appareil, le raid aérien, le largage, l’explosion et ses conséquences : les images du bombardement d’Hiroshima, le 6 août 1945, sont nombreuses. Pour impressionner définitivement les Japonais mais également signifier qu’elles ont « gagné la course à la Bombe » (contre les Nazis et les Russes), les autorités américaines ont en effet finalement décidé de « montrer Hiroshima » et, mieux, de médiatiser leur opération à des fins de propagande. Dès le 7 août et plus encore dans les jours et les semaines suivantes, les photographies, les films et les témoignages sur cet épisode font la "une" de toutes les actualités du monde. Prise six ans après cet événement, Deux garçons dans un champ de ruines est l’œuvre du photojournaliste Bernd Lohse.

Les centres de mise à mort Les camps de mise à mort furent construits par les Nazis dans l'unique but de perpétrer des meurtres de masse. Contrairement aux camps de concentration qui étaient surtout des centres de détention et de travail, les camps de mise à mort (appelés également “camps de la mort”) étaient presque uniquement des “usines de mort”. Près de 2,7 millions de Juifs furent tués dans les camps de mise à mort, soit gazés, soit abattus. CHELMNO, BELZEC, SOBIBOR ET TREBLINKA Le premier camp de mise à mort fut celui de Chelmno, qui ouvrit dans le Warthegau (la partie de la Pologne annexée à l'Allemagne) en décembre 1941. Des Juifs, pour la plupart, mais également des Tsiganes y furent assassinés dans des camions à gaz mobiles.

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