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Que mange(ra)-t-on en 2050 ?

Que mange(ra)-t-on en 2050 ?
Neuf milliards de personnes à nourrir en 2050 et des changements climatiques : un véritable défi pour le futur. Un organisme international fait le point sur les choix que l’humanité devra faire d’ici là, relate Público. Dans les quarante prochaines années, la Terre va devoir alimenter 9 milliards de personnes. Pour Cary Fowler, directeur du Global Crop Diversity Trust [structure de partenariat entre la FAO et des organismes privés comme les fondations Rockefeller ou Bill Gates, qui a pour objectif le maintien de la diversité biologique des variétés agricoles], il va s’agir d’un grand défi. Les complications viendront des changements climatiques, qui vont exiger l’essor de nouvelles variétés d’aliments capables de résister à la chaleur et à la sécheresse. John Beddington Pour mener une telle tâche, il faudrait que le monde entier fasse un effort, ce qui est loin d’être le cas. Nicolau Ferreira L'alimentation du futur Related:  nassimati

INDONÉSIE • Trois pierres pour un foyer Dans une région de Papouasie où coexistent islam et christianisme, les habitants cultivent depuis toujours la tolérance et le respect. Mieux encore, chacune des communautés épaule l’autre pour préparer les fêtes religieuses ou bâtir églises et mosquées, témoigne Kompas. “Je suis musulman, mais mon frère cadet, là-bas, sur l’autre rive, est chrétien. Nous sommes de la même famille, mais notre différence de religion n’est pas un problème”, explique Haruna Patiran, un homme de 65 ans, témoin de l’harmonie qui règne entre les villages de Tetar et d’Ofie, dans la baie de Patipi, préfecture de Fakfak, dans la Papouasie-Occidentale. Haruna n’est pas le seul dans ce cas. Alors que de nombreux conflits religieux font l’actualité, l’harmonie des habitants de Fakfak apporte une lueur d’espoir. L’usage veut aussi que les musulmans travaillent à la construction d’une église.

Insectes, algues et viande artificielle vont-ils nourrir la planète La Terre pourra-t-elle nourrir 9 milliards d'êtres humains en 2050 ? Alors que la démographie ne cesse d'augmenter, cette question taraude tant les scientifiques que les économistes et hommes politiques. Selon l'ONU, nous devrons presque doubler notre production alimentaire, adopter de nouvelles technologies et éviter le gaspillage. Malgré tout, la tâche semble malaisée : un milliard de personnes souffrent déjà de faim chronique, il reste peu de terres vierges à découvrir, les océans sont déjà surexploités, la planète fait face à une pénurie croissante d'eau et le changement climatique rendra l'agriculture plus difficile. Mais utiliser les terres et l'eau autrement reste possible. Voici un tour d'horizon de la nourriture que nous pourrions trouver dans nos assiettes dans quarante ans. Les algues. Surtout, les algues peuvent être utilisées pour l'alimentation humaine — très courant au Japon et en Chine —, pour l'alimentation animale, comme engrais ou surtout comme biocarburant.

La viande in vitro bientôt dans les assiettes ? – Vegactu Mardi soir (8 octobre 2013) passait sur arte un documentaire de Véronique Préault consacré à la création en laboratoire de viande in vitro. L’occasion de se pencher sur ce phénomène scientifique. Un steak éprouvette ? L’idée, digne d’un scénario de science-fiction, consiste à produire de la viande de bœuf en laboratoire à partir de cellules-souches. En août dernier, le premier hamburger in vitro, 181g de viande de bœuf 100% synthétique cultivée sur paillasse, était présenté à Londres pour une dégustation hyper médiatisée. L’objectif ? Interrogée durant le reportage, l’association américaine de défense des animaux PETA se dit complètement favorable à un avènement de la viande in vitro, et à son chemin jusqu’aux assiettes du consommateur, considérant que le but de tout militant de la cause animale est de faire cesser au plus vite les souffrances liées à l’élevage et l’abattage. Sources : « La viande in vitro, bientôt dans nos assiettes ?

La viande in vitro pourra-t-elle révolutionner notre alimentation? ALIMENTATION - Le faux-filet n'aura jamais aussi bien porté son nom. Lundi 5 août, un restaurant de la ville de Londres, dont le nom et l'adresse n'ont pas encore été dévoilés, servira pour la première fois de l'histoire un steak… artificiel: 140 grammes de tissu musculaire conçus à partir de cellules souches de bœuf. Son surnom: le Frankenburger. Une prouesse technologique? Pas vraiment. Les scientifiques savent créer ou reconstruire des organes et autres tissus organiques, alors pourquoi pas un steak? Lire aussi:» Végétariens contre bouchers : la guerre du steak» Comment l'élevage industriel met en danger l'humanité» Imprimer de la viande en 3D, c'est possible Réduire la facture énergétique de l'élevage Celui qui l'engloutira devant un parterre de journalistes triés sur le volet par l'agence britannique Ogilvy n'est autre que son concepteur, le biologiste néerlandais Mark Post. Car pour manger du boeuf, du porc ou du poulet, il faut cultiver des végétaux en très grandes quantités. Close

Viande in vitro Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La scientifique autrichenne Hanni Rützler goûte le premier hamburger cultivé au monde le 5 août 2013. La viande in vitro, appelée aussi viande cultivée, viande synthétique ou viande artificielle, est un produit carné réalisé par des techniques d'ingénierie tissulaire qui se passent ainsi de l'utilisation de chair animale. La carniculture désigne la production de viande in vitro. Technique et résultats[modifier | modifier le code] Un prélèvement de muscle est effectué sous anesthésie locale sur le donneur. Plusieurs projets de recherche actuels cultivent de la viande in vitro expérimentalement à partir de cellules souches de myoblastes, mais aucune viande de ce type n'a été encore été distribuée pour la consommation publique. Environnement[modifier | modifier le code] Une meilleure protection de l'environnement est possible par l'inclusion de produits de ce type dans l'alimentation humaine du futur. Les économies seraient importantes.

Viande de synthèse: il y a un os On décrit parfois la Révolution industrielle comme le moment où le travail animal, nourri par la production agricole, a été remplacé par celui des machines alimentées par l’énergie industrielle. Au début du XXe siècle, les tracteurs ont supplanté les chevaux et autres animaux de trait dans les fermes américaines, provoquant un rapide processus d’industrialisation de la production alimentaire. Cette transition a réduit la surface des terres arables nécessaires pour nourrir les animaux de trait: en 1913, on estime que 28% de toutes les terres cultivées servaient à nourrir les chevaux et les mules. Mais elle a également augmenté la consommation d’énergies fossiles. Il se pourrait que, dans les prochaines années, les technologies émergentes qui permettront peut-être de fabriquer de la viande dans des usines plutôt que sur des animaux nous confrontent au même genre de changement. Combustiles fossiles Impacts environnementaux Le monde réclame de plus en plus de viande chaque année.

Overdose d'antibiotiques dans l'élevage industriel Des animaux gavés aux antibiotiques pour accélérer leur croissance, et voilà des bactéries résistantes qui se retrouvent dans nos assiettes. Elles génèrent des affections parfois mortelles, qui représentent un coût élevé pour le système de santé. Mais la surconsommation d’antibiotiques représente un gain de productivité pour l’industrie agroalimentaire, qui, aux États-Unis, se réjouit de la récente décision de l’Agence de l’alimentation d’autoriser leur utilisation massive dans l’élevage. La consommation d’antibiotiques prescrits par les médecins n’est rien comparée à la quantité ingérée via l’alimentation. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la moitié des antibiotiques produits dans le monde sont destinés aux animaux. Un chiffre qui s’élève à 80 % aux États-Unis ! La France détient le record de résistance aux antibiotiques 20 milliards de dollars par an pour le système de santé Agnès Rousseaux Photo : CC John Donges

Des antibiotiques à risques encore utilisés dans les élevages américains Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Ce sont des documents secrets qui lèvent un peu plus le voile sur le recours, excessif et souvent incontrôlé, aux médicaments dans les élevages. Aux Etats-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) a ainsi maintenu l'autorisation de plusieurs dizaines d'antibiotiques dans l'alimentation du bétail américain, même après avoir découvert « les risques élevés » qu'ils représentaient pour la santé humaine. L'association Natural Resources Defense Council (NRDC), qui porte ces accusations dans un rapport publié lundi 27 janvier, s'est procuré des études internes de l'agence des produits alimentaires et médicamenteux, sur le fondement du Freedom of Information Act. L'ONG a ainsi découvert que, pendant près de dix ans, de 2001 à 2010, la FDA a réexaminé la sécurité de trente additifs alimentaires à base d'antibiotiques appartenant aux familles des pénicillines et des tétracyclines. Lire : Les animaux d'élevage malades des antibiotiques

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