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Rencontres numériques

Rencontres numériques
Lundi 8 juin Une première journée où des acteurs de l'éducation, de la culture et des médias sont invités à nous faire part de leurs approches et de leurs réflexions sur les problématiques de l'éducation à l'image, aux médias et au numérique et à les illustrer avec des exemples d'actions qu'ils mènent ou accompagnent sur le terrain. Matinée (10h - 13h) En plénière dans la salle Henri Langlois : Animation : Florence Castera, consultante (A Faire, A Suivre...) Fiche Florence Castera Témoin chercheur : Hervé Le Crosnier, maître de conférence (Université de Caen Basse- Normandie) # Discours de bienvenue - Serge Toubiana, directeur général de la Cinémathèque française - Maryline Laplace, chef du Service de la coordination des politiques culturelles et de l'innovation du Ministère de la culture et de la communication # Cinémathèque Française : Bernard Benoliel, directeur de l'action culturelle et éducative & Xavier Jamet, responsable Internet Action culturelle et éducative & Ressources web Fiche ANAE Related:  culture numérique - document numérique

Deux pouces et des neurones - Études et statistiques Pratiques, consommations et usages culturels Département des études, de la prospective et des statistiques Questions de culture Rapport d'étude et de recherche Statistiques culturelles Sylvie OCTOBRE A paraître le 24 septembre 2014 Diffusion La Documentation française 288 p. ISBN 978-2-11-128155-4 12 € De la fin des années 1980 à la fin des années 2000, qu’est-ce qui a changé dans les univers culturels juvéniles ? Si certaines caractéristiques de la jeunesse perdurent d’une génération à l’autre – plus technophiles, amateurs de pratiques artistiques, en recherche d’expression et d’expérimentation, plus engagés que leurs aînés dans la culture –, les jeunes de la fin des années 2000 n’ont pas grandi dans le même contexte économique, social et culturel que ceux des années 1980. En savoir plus, commander l'ouvrage : contact.deps@culture.gouv.fr

Facebook voudrait concurrencer Vine : pourquoi Zuckerberg a besoin de la vidéo Facebook ne propose pour le moment pas de service vidéo (RICHARD B. LEVINE/SIPA). Aujourd’hui, la vidéo gagne du terrain face à la photo parce qu’elle permet de véhiculer une quantité d’émotion supérieure à l’image fixe sur les réseaux sociaux. La vidéo courte : une mise en scène de nos propres grammaires intimes Pour avancer cela, il suffit d’observer la petite connivence qui existe entre l’émetteur et le récepteur de la vidéo : l’émotion est corollaire du partage instantané, de l’accompagnement dont témoigne celui qui lit la vidéo à son auteur. Il faut néanmoins noter que sur Vine, les gens parlent peu. Dawn Siff a élaboré un CV vidéo sur Vine, une expérience conluante pour cette journaliste qui a été embauchée rapidement. La vidéo est donc plus engageante que la photo parce qu’elle instaure un rapport d’immédiateté entre les locuteurs, mais aussi un ancrage dans le réel via des caractéristiques essentielles comme la voix et l’environnement. Propos recueillis par Henri Rouillier.

Jack Goody et l'empire de la littératie (version intégrale) - Canal Socio Bibliographie indicative BARBIER, Frédéric, 2006, L’Europe de Gutenberg. Le livre et l’invention de la modernité occidentale, Paris, Belin. BARTHES, Roland, L’aventure sémiologique, Paris, Seuil, 1967. BOTTERO, Jean, Mésopotamie, l’écriture, la raison et les dieux, Gallimard 1987. CALVET, Louis-Jean, Histoire de l’écriture, Paris, Plon, 1996. CHARTIER, Roger, 1987, Les Usages de l’imprimé (XV°-XIX° siècle), sous la dir. de R. CHRISTIN, Anne-Marie, L’image écrite ou la déraison graphique, Paris, Champs/Flammarion, 2001. CHRISTIN, Anne-Marie, Histoire de l’écriture. DE CERTEAU, Michel, « Système de sens : l’écrit et l’oral », L’Ecriture de l’histoire, Paris, Gallimard, 1975, p. 245-248. DE CERTEAU, Michel, « Récits d’espace », L’Invention du quotidien. DE CERTEAU, Michel, « L’économie scripturaire », L’Invention du quotidien. DERRIDA, Jacques, De la grammatologie, Paris, Éditions de Minuit, 1967. FEBVRE, Lucien et Henri-Jean Martin, L’Apparition du livre, Paris, Albin Michel, 1958. GREIMAS, A.

André Gunthert, historien de l’image numérique L'Atelier des médias est, à la fois, une émission de radio et un réseau social traitant des évolutions et révolutions dans le monde des médias. Vous aussi venez découvrir nos contenus et, si vous le souhaitez, vous inscrire : Le travail de Ziad Maalouf, Simon Decreuze et de leur équipe est, chaque semaine, enrichi, stimulé, orienté, aiguillé par vos contributions, vos réactions, vos commentaires, vos suggestions, via la communauté de l'Atelier des médias. Ziad Maalouf reçoit les acteurs des évolutions et des révolutions des médias dans le monde. Avec Marie-Catherine Beuth du blog Etreintes digitales, l'Atelier analyse chaque semaine l'actualité des médias. Francis Pisani livre aussi chaque semaine son regard savant et sage sur l'évolution du monde numérique. Avec la collaboration de : Manon Mella, Dylette Sadaoui et Mélissa Barra. Le site de L'Atelier des médias :

Le guide des égarés. | culture de l'information, Information literacy, documentation, CDI, , Pédagogie, sciences de l'information et de la communication, Humanisme numérique, Humanités digitales.Olivier Le Deuff 1999-2015 Le numérique est-il le conte de fées du XXIe siècle S’il avait vécu en 2015, le petit chaperon rouge n’aurait jamais mis les pieds, pour de vrai, dans une forêt pour visiter sa grand-mère alitée. Il se serait connecté via Skype ou Viber pour prendre de ses nouvelles. Quant à faire passer la galette et le petit pot de beurre, quelques électrodes dans la bouche de mère-grand auraient suffi, selon le principe de la sucette numérique, les ‘’Digital Lollilop’’ développées par l’université de Singapour. Pour autant, le trajet, fut-il virtuel, aurait-t-il été sans danger ? On pourra trouver décalé, voire anachronique, de raconter une histoire du numérique en ayant recours à la dramaturgie ancienne des contes de fées. Le numérique est-il le conte de fées du XXIe siècle ? C'est notre sujet du jour Hervé Fischer, Dominique Boullier JCF © Radio France Suivez-nous aussi sur

Saison 6 des ateliers INA du dépôt légal du Web (with images, tweets) · lleyoudec Christine Vaufrey, CEO MOOC et CieLa mémoire des MOOCsPourquoi conserver ? Dans le cas des brouillons d'écrivains, ces documents nous renseignent sur l'écriture (exemple du manuscrit de Madame Bovary réimprimé pour la pédagogie), tandis que dans le cas de documents privés anonymes, ces documents servent de support à la mémoire.Avec les objets scolaire, on est sur des objets privés, ces objets ont été touchés par la notion de patrimoine : les lignes ont fait leur apparition quand les punitions corporelles ont disparu. Il y a aussi la valeur didactique (comprendre l’évolution de la pédagogie), sans ces traces on ne saurait pas.Aujourd’hui, on a des cours en ligne. Dans un même espace, on a les productions des enseignants et des apprenants.

Grandeur et misère de la french tech La conception des premiers micro-ordinateurs et logiciels, au tournant des années 70 et 80, fut principalement menée aux Etats-Unis par IBM, Hewlett-Packard, Apple ou Microsoft. Si la France tenta d’impulser des programmes tel le Plan Calcul, elle rata dans les faits le premier moment de l’histoire de l’informatique industrielle. Elle rata encore au cours des années 90 la deuxième étape, celle de l’émergence d’Internet, de la création de start-up exploitant le commerce en ligne tel Amazon, ou s’engageant dans le marché de la recherche, vite monopolisé par Google. Elle rata enfin la troisième séquence, qui à l’aube du XXIe siècle fut nommée Web 2.0, entérinant la récente capacité des individus à participer à la création de contenus ou à s’exprimer sur les réseaux sociaux naissants, dont Facebook et Twitter représentèrent les figures inaugurales aussitôt dominantes. Dans les faits, c’est la dignité humaine qui est frappée en son cœur.

Le "jomo", le plaisir de lâcher les réseaux sociaux Vous vous souvenez des « sans-télé », ces familles pas très cathodiques qui, dans les années 1980, se faisaient fort de snober le petit écran ? On leur consacrait émissions, articles, débats, et l’on sentait chez ces amish du PAF une grande fierté d’échapper à l’asservissement commun. À chaque époque ses addictions ! En 2015, la télévision est un peu moins l’opium du peuple. Mais les réseaux sociaux sont devenus pour beaucoup une drogue, douce ou dure selon les cas. Déconnecter Pour ceux qui auraient échappé aux multiples descriptions alarmistes de cette pathologie contemporaine, le FOMO (« Fear of Missing Out ») désigne le besoin irrépressible de se connecter, quoi qu’on fasse d’autre, pour voir si l’on ne loupe pas une occasion sociale excitante. "Door drop" Il ne s’agit pas de se livrer à un sevrage technologique ponctuel (il y a des hôtels pour ça, c’est dire comme c’est commun), voué à une rechute vertigineuse, un peu comme le régime avant maillot. À lire aussi :

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