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Costume de la Rome antique

Costume de la Rome antique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Drapé de la toge : bras droit libre, bras gauche couvert Matières premières[modifier | modifier le code] Les Romains ont utilisé plusieurs types de fibres différents. La laine était probablement la plus utilisée, car elle était facilement disponible et relativement facile à préparer. Le lin et le chanvre étaient également utilisés pour créer les tissus, même si leur préparation est plus compliquée que celle de la laine. Ces fibres, de natures différentes, devaient être préparées de différentes manières. La fibre la plus utilisée, la laine, a sûrement été le premier type de fibre tournée[3]. La soie et le coton étaient importés de Chine et d'Inde, respectivement. Les découvertes archéologiques montrent des vases grecs dépeignant l'art du tissage. Les tissus employés étaient les mêmes qu'en Grèce, mais les techniques de tissages s'étaient améliorées et les étoffes de lin et de laines étaient d'une plus grande finesse. On dénombre : Related:  A LA MODE

Mode dans la Rome antique « Mode dans la Rome antique » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie junior La tenue des Romains servait avant tout à reconnaître leur importance dans la société, seuls les gens riches avaient les moyens de se vêtir convenablement. Les femmes, les hommes et les enfants portaient tous une tenue différente. Presque tous les vêtements romains étaient en lin ou en laine, mais ceux faits en laine n'étaient pas agréables à porter. Après sa toilette matinale, la Matrone Romaine se fait aider par ses esclaves (ornatrix) pour se préparer, alors que les hommes se préparent seuls. Comme il peut faire très chaud à Rome, on porte des vêtements légers mais cela n'exclut pas la coquetterie. Les femmes[modifier] Vêtements[modifier] La jeune femme est vêtue d'une tunique de base de laine ou de lin tombant sur les chevilles, qu'elle porte aussi pour rester chez elle. Coiffures[modifier] Les coiffures sont très importantes pour les femmes, elles se font coiffer par leurs esclaves personnels.

Mode romaine (collège Jaurès de Cransac) L'habit fait le romain Que portaient les enfants romains dans l'antiquité ? Les Romains appliquent un linge imbibé d'huile sur le nombril de l'enfant, puis il est emmailloté. Les médecins antiques pensent que cette opération est indispensable. leurs corps soient déformés. trois mois après que l'on démaillotera définitivement le bébé. Bébé emmailloté en rectangle Bébé emmailloté en spirale Le jeune enfant commence à porter la toge prétexte (toga praetexta) jusqu'à sa majorité. Enfants portant un cucullus Les Romains de dix sept ans ont le droit de porter la toge virile (toga virilis) quand leur père ou leur tuteur le décident. Quels vêtements portent les Romains ? Romains portant la toge Les hommes ne portent la toge (toga) que dans des cas particuliers comme la cérémonie. Au début la tunique n'a pas de manches, plus tard on ajouta pour les hommes de petites manches qui ne descendent pas jusqu'au coude. Sénateurs est blanche à bord rayé de pourpre (la toge prétexte). Comment draper la toge

Stola Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. À gauche, femme portant stola et palla (Pompéi, Villa des Mystères) La stola était le vêtement traditionnel des femmes mariées de la Rome antique. Durant les premiers siècles de la République, la stola comme les autres vêtements était le produit d’un artisanat domestique, et était en laine écrue. ↑ Ovide, L’Art d’aimer, livre III.↑ Tacite, Dialogues des orateurs, 26. Article - Hygiène, coiffure, maquillage - Aux bains Les Romains allaient régulièrement aux bains publics, que l’on appelait également thermes. Les villes, et même les bases militaires de l’Empire, possédaient des bains. Les Romains s’y lavaient et y retrouvaient des amis. Certains faisaient de l’exercice, jouaient au ballon ou faisaient des affaires. Hommes et femmes venaient séparément, à des heures différentes; les bains étaient ouverts aux femmes le matin et aux hommes l’après-midi, l’entrée était gratuite. Les esclaves apportaient des serviettes et des sandales à semelles de bois, indispensables car le sol était souvent chauffé par un système souterrain. Ils alimentaient aussi en permanence un feu dans les sous-sols pour chauffer l’air qui circulait dans les conduites et les briques creuses des murs. Les Romains utilisaient de l’huile d’olive en guise de savon. Les thermes comprenaient des salles de gymnastique, des jardins, des salles de réunion, des vestiaires, des saunas, divers bassins et des bibliothèques.

Images : Secret de la fibule Grâce à la découverte d'ateliers de métallurgie sur le site archéologique de l'Oppidum de Bibracte, au Mont Beuvray, une étude très détaillée sur les fibules (sortes d'épingles de nourrice servant à agrafer le manteau) et leur fabrication est menée. Pour ce faire, la mise au point d'une typologie (classement des fibules en 4 types) est effectuée, ainsi qu'une étude en laboratoire de l'alliage et des technologies de fabrication utilisées. Un bronzier d'art fabrique une fibule selon la technique de la fonte à cire perdue pour vérifier les hypothèses avancées sur le matériel utilisé, les gestes pratiqués et le temps consacré à la fabrication. Les archéologues montrent les vestiges d'un atelier de métallurgie et les objets (creuset, ratés de fabrication...) qui s'y trouvent encore, retrouvés lors de fouilles récentes.

5 Facts You Didn't Know About Roman Fashion Posted on 15. Oct, 2013 by Brittany Britanniae in Latin Language, Roman culture 1. HBO’s Rome Series 2. Spiny dye-murex 3. A strigil used to collect strigmentum. 4. Bronze Phallic Wind chime( tintinabulum). 5. Tags: Latin language, Roman Clothing, roman culture, Roman women Share this Post! About Brittany Britanniae Hello There! Online Companion: Body Women about to bathe, bronze mirror cover Hera, goddess of marriage and the ability to procreate, and Venus, goddess of the youthful and virginal beauty that attracts the male gaze and gives sexual pleasure, symbolize the twin cultural expectations of women's bodies. Roman history bears witness to the fact that women's bodies were not their own but, lying at the intersection of public interest as they did, were constitutionally entrusted to males to regulate and administer for the good of the state. Body is at the crux of male and female biological and cultural difference, thus setting conservative gender and sex roles and ideals. Numerous examples testify to the impact of the female body on civic well being: the rape of the Sabine women and its result in new citizens; the rape of Lucretia which ended the monarchy; the arranged marriage of Julia which brought Caesar and Pompey into alliance while her death in childbirth, an event all too common in antiquity, allowed it to dissolve.

Public Life 'If each man of us, fellow citizens, had established that the right and authority of the husband should be held over the mother of his own family, we should have less difficulty with women in general; now, at home our freedom is conquered by female fury, here in the Forum it is bruised and trampled upon, and, because we have not contained the individuals, we fear the lot ... 'Indeed, I blushed when, a short while ago, I walked through the midst of a band of women. Had not respect for the dignity and modesty of certain ones (not them all!) restrained me (so they would not be seen being scolded by a consul), I should have said, "What kind of behaviour is this? Running around in public, blocking streets, and speaking to other women's husbands! Could you not have asked your own husbands the same thing at home?

The Roman Toga The toga is the definitive representation of the Ancient Roman. It is depicted in Ancient and Renaissance art, and various styles of the toga have lasted throughout the generations. Togas were important social representations, denoting power, occupation, and social place of upper class Roman citizens. Coming from the Etruscans, and modified throughout the years, the toga was worn exclusively by prominent Roman men through the period of the Republic and the early Empire, though not always happily. The large white woolen piece of fabric was carefully folded and draped on the body, in order to produce a garment that represented a specific type of Roman. Togas were heavy and hard to move in, and did not lend themselves to the active Roman. There were several types of togas worn throughout the years. Toga virilis – made of undyed wool, this toga was off-white in color and was the “everyday” toga for an adult male citizen. Roman Toga

Découverte du costume antique à travers les collections du musée • Le vêtement grec, du drapé et du cousu Tous les vêtements portés par les Grecs ont la même base : une pièce de tissu rectangulaire qui peut atteindre 2 m de largeur pour 3 m de longueur. Ils se différencient ensuite par la façon dont ils ont drapés, cousus ou disposés. Le chiton, par exemple, est la pièce de vêtement la plus courante puisqu’elle est portée par les hommes, les femmes et les enfants. Lors de sa réalisation, la pièce de tissu de base est pliée dans sa largeur. Photo : J. Au contraire, le peplos, pièce uniquement féminine, est très présent dans l’iconographie et surtout sur la sculpture. Statue d’Harpocrate datant du IIe ou du IIIe siècle, découverte à Chiragan. L’exomide est un vêtement quelque peu à part. Réplique (IIe siècle) en miniature de la statue d’Athéna du type Velleteri sculptée par le Grec Crésilas au IVe siècle avant notre ère. Les vêtements de dessus grecs sont uniquement drapés. • Une continuité des formes dans le costume romain • Le costume militaire

laviedesclassiques Plaute, Epidicus, 218-235, texte établi et traduit par A. Ernout, CUF. Périphane. – Quelle est cette autre, Épidique ? Épidique. – Celle dont ton fils est amouraché, entiché depuis tant d’années, celle avec qui il perd au grand galop son crédit, sa fortune, sa personne, et la tienne en même temps. Périphane. – Voyez l’empoisonneuse ! Épidique. – Mais avec une toilette, des bijoux, une parure ! Périphane. – Comment était-elle mise ? Épidique. Périphane. – Comment, elle avait sur elle un impluvium ? Épidique. – Cela t’étonne ? Périphane. – Comment ? Épidique. – Et la robe à la Laconienne ? Hérodote, Histoires, V, 87-88, texte établi et traduit par PH. L’unique rescapé rejoignit Athènes où il annonça le désastre et, à cette nouvelle, les femmes des combattants envoyés contre Égine, indignées qu’il se fût sauvé seul, l’encerclèrent et le déchirèrent avec les agrafes de leurs manteaux, en lui demandant où se trouvaient leurs maris. Tertullien, Sur le manteau, IV, 9, texte traduit par A.

Atelier couture : des milliers de patrons gratuits de costumes anciens Sur le site Open Culture, on retrouve des centaines de patrons gratuits pour réaliser des costumes historiques médiévaux, élisabéthains et victoriens. Qui, par exemple, n’a jamais eu envie de savoir ce que l’on ressent à porter un corset rudement serré ? Hmm ? Le site recense dans tous les cas des liens en pagaille pour tailler un bout de gras et quelques étoffes — notamment ceux que propose le Costume & Textiles Pattern Project, dont les modèles de patron en PDF détaillent la totalité des coupes et des costumes anciens. Et une brassière modèle 1910, ça vous habille une femme avec un aplomb terrible et un sex-appeal redoutable.

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