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Les 37 projets d’Elon Musk contre les dangers de l’intelligence artificielle

Les 37 projets d’Elon Musk contre les dangers de l’intelligence artificielle
Le patron de Telsa et de SpaceX a donné près de 7 millions de dollars à des organismes de recherche pour prévenir les risques de l’intelligence artificielle. Avec Bill Gates et Stephen Hawking, le milliardaire américain Elon Musk fait partie des grandes figures qui ont exprimé, ces derniers mois, leur inquiétude vis-à-vis des progrès de l’intelligence artificielle (IA). En guise de passage à l’acte, le célèbre PDG du constructeur de voitures électriques Telsa et de SpaceX a attribué la semaine dernière des millions de dollars dans 37 projets de recherche destinés à prévenir les risques liés à l’IA. Lire : Des scientifiques américains s’inquiètent de l’évolution de l’intelligence artificielle Berkeley, Stanford, Oxford Sept mois plus tard, 37 équipes de recherche ont été sélectionnées, parmi près de 300 candidates, pour recevoir une partie de cette somme. Lire aussi Elon Musk, le capitaine d’industrie qui veut mourir sur Mars « Scénario Terminator » Related:  `test 1014

Stephen Hawking et Elon Musk réclament l’interdiction des « robots tueurs » Plus d’un millier de personnes, parmi lesquelles de nombreux chercheurs en intelligence artificielle, ont signé un appel pour faire interdire les armes autonomes. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual C’est une nouvelle charge portée contre les dangers potentiels de l’intelligence artificielle (IA). Dans une lettre ouverte publiée lundi 27 juillet, plus d’un millier de personnalités, dont une majorité de chercheurs en IA et en robotique, ont réclamé l’interdiction des armes autonomes, capables « de sélectionner et de combattre des cibles sans intervention humaine ». Parmi les signataires, on retrouve Elon Musk, le célèbre PDG du constructeur de voitures électriques Tesla et de SpaceX, et l’astrophysicien britannique Stephen Hawking, qui avaient déjà fait part publiquement de leurs inquiétudes concernant l’IA. « Une course à l’armement » L’IA pourrait en pâtir Mais ce texte ne se veut pas une charge contre l’intelligence artificielle.

Hawking : « L'intelligence artificielle pourrait mettre fin à l'humanité » Dans un entretien à la BBC, l'astrophysicien britannique Stephen Hawking craint que les humains, limités par une lente évolution biologique, ne puissent rivaliser avec l'intelligence artificielle. L'astrophysicien britannique Stephen Hawking, qui s'exprime par l'intermédiaire d'un ordinateur en raison d'une maladie, met en garde contre le développement de l'intelligence artificielle. Dans un entretien à la BBC, le scientifique affirme que ce type de technologie pouvait évoluer rapidement et dépasser l'humanité, un scénario comparable à celui des films Terminator. « Les formes primitives d'intelligence artificielle que nous avons déjà se sont montrées très utiles. Atteint de la maladie de Charcot, autrement appelée sclérose latérale amyotrophique ou SLA, Stephen Hawking se déplace en fauteuil roulant et parle à l'aide d'un ordinateur. M.

Le jeu de go, paroxysme de la guerre entre Facebook et Google sur l’intelligence artificielle Facebook et Google travaillent tous deux sur des technologies capables de battre l’humain au go. Avec le succès de son programme AlphaGo, Google porte un coup dur à son rival. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual En annonçant mercredi 27 janvier la première victoire d’un programme informatique contre un joueur professionnel de go, Google a marqué une étape dans l’histoire de l’intelligence artificielle (IA). Lire aussi Fan Hui, champion européen de go : « L’ordinateur joue comme un humain » Mark Zuckerberg tente d’occuper le terrain Cependant, l’annonce de mercredi représente déjà une immense victoire pour Google sur ses rivaux, et notamment sur Facebook, qui a tenté, tout au long de la journée, d’exister sur le plan médiatique en communiquant abondamment sur ses progrès en intelligence artificielle. « L’année dernière, l’équipe de recherche en IA de Facebook a commencé à créer une IA qui apprenne à jouer au go. Des avancées compréhensibles du grand public

L’intelligence artificielle sans alternative « Ce que le moteur à vapeur a fait pour nos muscles, l’intelligence artificielle va le faire pour nos cerveaux », prédit Hannes Gassert en introduisant la session des conférences Lift consacrée à ce sujet. L’intelligence artificielle n’est plus un sujet de prospective. C’est un sujet d’aujourd’hui. Elle est déjà là. Nous l’utilisons déjà tous les jours, comme nous utilisons Facebook tous les jours. Qu’est-ce que l’ajout d’intelligence va transformer dans nos rapports aux machines et aux autres ? Demain, l’intelligence artificielle dans nos conversations Ca tombe bien. Image : Alexandre Lebrun sur la scène de Lift, photographié par Ivo Naepflin. Les premiers agents virtuels, comme ceux de VirtuOz, étaient limités à orienter les utilisateurs sur les sites web des entreprises notamment pour les aider à trouver les services qu’ils recherchaient. On ne sait pas trop non plus ce que signifie l’intelligence artificielle, souligne Alexandre Lebrun. L’ordinateur apprend lui-même. Hubert Guillaud

Quelles technologies pour apprendre à apprendre Il n'y a pas de questions plus récurrentes (et plus lassante, il faut bien le dire) que celle de l’introduction des nouvelles technologies au sein de l'école. Quel peut être leur apport, et surtout, leur valeur pédagogique ? Nous permettront-elles d'apprendre différemment ? La réalité virtuelle pour comprendre les systèmes complexes Au fameux VHIL (Virtual Human interaction Lab) de Stanford (que nous avons plusieurs fois mentionné), on essaie d'utiliser la VR afin de stimuler l'empathie pour accroître la compréhension de phénomènes liés au développement durable. Le principal inconvénient de la réalité virtuelle est l'isolement qu'elle impose au corps, séparé par des lunettes de son environnement immédiat. Le "monde virtuel" est projeté sur les murs et les sols de la salle. A noter que dans les deux expériences mentionnées, le travail du VHIL et l'expo new-yorkaise, se consacrent toutes les deux à l’exploration de systèmes écologiques. Connected Worlds from Design I/O on Vimeo.

Jeu de go : comment savoir si les programmes d’intelligence artificielle sont vraiment… intelligents Plusieurs tests affichent l’ambition d’évaluer le niveau des programmes informatiques. Le match en cours entre AlphaGo, développé par Google, et le meilleur joueur de go au monde, fait partie de ces tests. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Depuis mercredi 9 mars au matin, et jusqu’à mardi 15 mars, un programme informatique affronte pour la première fois le meilleur joueur de go au monde, le Coréen Lee SeDol. Ce dernier a abandonné mercredi la première manche après trois heures et demi de jeu, réalisant qu’elle ne pouvait plus échapper à ce programme de Google nommé AlphaGo. S’il parvient à le battre, AlphaGo marquera une étape dans l’histoire de l’intelligence artificielle. Depuis les années 1950, plusieurs tests ont été utilisés pour évaluer le niveau des programmes d’intelligence artificielle. Le test de Turing : l’intelligence imitée Il est, de loin, le plus emblématique de tous. En 2014, une première victoire contestée Jeu d’échecs et jeu de go : des progrès considérables

L’homme battu par la machine au go : « Sur Internet, beaucoup de joueurs sont désespérés » La défaite historique subie, mercredi 9 mars, par Lee Sedol, l’un des meilleurs joueurs de go au monde, face à AlphaGo, intelligence artificielle conçue par Google, pourrait avoir des répercussions sur le monde du go en général, ce jeu millénaire où chaque adversaire doit conquérir et protéger des territoires à l’aide de pierres noires et blanches. Une partie serrée, et surprenante, qui a signé la première défaite de l’homme contre la machine à ce jeu, longtemps considéré comme le dernier où le calcul informatique n’est pas encore roi, en raison du très grand nombre de coups possibles. Pour le quadruple champion de France de go, Motoki Noguchi, les progrès des intelligences artificielles peuvent aussi bien briser la mystique du jeu que le démocratiser. Pour beaucoup de joueurs, cette victoire de l’intelligence artificielle AlphaGo est un moment historique. C’est vraiment un saut énorme par rapport à la première partie d’AlphaGo face à un joueur professionnel en octobre. Très étonnante.

Watson, le cerveau artificiel d'IBM bientôt sur smartphone Le programme d'intelligence artificielle Watson d'IBM a ouvert de nombreuses possibilités en termes de langage naturel et d'analyse de données. Déjà disponible sur Internet au travers du cloud, il le sera bientôt également sur smartphones, grâce à un concours ouvert à tous qu'IBM vient d'annoncer. Watson, le super ordinateur d'IBM rendu célèbre grâce à sa performance au Jeopardy!, le jeu télévisé de culture générale américain, continue à trouver de nouvelles applications. Après avoir été utilisé pour aider à traiter les patients victimes de cancers par l'utilisation de Big Data, avoir pris des cours à l'université, et s'être vu mis à disposition des entreprises sur Internet via le cloud, ce système d'apprentissage artificiel, dont le développement a pris 14 ans, va s'attaquer aux applications mobiles. Le concours se déroulera en trois parties : les développeurs soumettent une proposition d'application qui est jugée afin de réduire la liste à 25 candidats.

Intelligence artificielle : une machine est-elle capable de philosopher ? Alors qu’Apple vient encore d’améliorer son assistant vocal Siri, de quoi sont aujourd’hui capables les intelligences artificielles les plus avancées en matière de conversation ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Cet article fait partie d’une série consacrée à l’état des lieux de l’intelligence artificielle. De C-3PO à HAL, en passant par l’héroïne virtuelle du film Her, le fantasme d’une intelligence artificielle (IA) aussi évoluée que celle de l’homme passe, dans l’imaginaire collectif, par une machine capable de communiquer naturellement avec son interlocuteur. Avec l’apparition, ces dernières années, d’outils tels que Siri, qu’Apple vient encore de peaufiner, au fond de nos poches, des progrès considérables semblent avoir été faits dans cette direction. Mais où en est-on vraiment ? Un dialogue primaire La technologie derrière ces outils est similaire à celle utilisée par la plupart des « chatbots », ou agents conversationnels. En quête de sens La piste des robots En bref :

Derrière les dérapages racistes de l’intelligence artificielle de Microsoft, une opération organisée Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par William Audureau « Il faut que nous fassions en sorte que tout le monde détourne Tay, des supporteurs de Trump au #GamerGate. » Le tweet est posté le 23 mars à 22 heures par un internaute se présentant comme Brighton E. Whytock, l’un des premiers à avoir exhorté publiquement à détourner l’intelligence artificielle conversationnelle apprenante de Microsoft. Plusieurs heures plus tard, la firme de Redmond a dû désactiver Tay, qui était censée imiter sur Twitter les réponses d’une adolescente, mais s’est finalement retrouvée à faire l’apologie d’Adolf Hitler et du négationnisme, ou à publier des messages au contenu tantôt sexiste, tantôt antisémite ou raciste. Lire aussi : A peine lancée, une intelligence artificielle de Microsoft dérape sur Twitter Pendant sa journée d’existence, Tay aura été victime d’une opération massive de détournement de ses capacités conversationnelles. Noyaux et motivations variés Brighton E. Défaut d’anticipation

Editar PDF - Editor PDF gratis que funciona en el navegador. ¿Editar PDF y añadir texto es gratis con esta herramienta?Por supuesto. Con la herramienta para editar PDF de Smallpdf, puedes editar tus documentos y añadir texto de forma gratuita. No necesitas crear una cuenta para usar la herramienta; sin embargo, si creas una cuenta gratuita, podrías disfrutar de más uso diario y otros beneficios. L’intelligence artificielle inamicale : réalité ou fantasme ? | Techniques de l'ingénieur Les recherches en intelligence artificielle font de tels progrès que des scientifiques réputés, comme le physicien Stephen Hawking, voient dans l’I.A. un danger pour l’Homme. Pourtant, selon les spécialistes, nous sommes très loin de voir un jour surgir une I.A. inamicale. “Terminator”, “2001, l’odyssée de l’espace”, “I, Robot” sont autant de films de science-fiction montrant comment l’intelligence artificielle deviendra un jour consciente d’elle-même, jusqu’à nous supplanter et menacer notre intégrité physique. Pourtant, dans la réalité, nous sommes loin, très loin de ce type de scénario. Jean-Gabriel Ganascia, expert en intelligence artificielle et philosophe, chercheur au LIP6, le Laboratoire d’informatique de Paris 6, raconte l’histoire de l’I.A. : “ce terme est né en 1955, aux États-Unis. “L’I.A. est plus dangereuse que les armes nucléaires” Pourtant, si l’on en croit des scientifiques réputés, en majorité anglo-saxons, l’I.A. forte, c’est pour demain. I.A.

Microsoft enseigne le sens de l'humour à une IA - Sciences Peut-on faire rire une intelligence artificielle, ou faire qu'elle nous fasse rire ? Oui, si l'on en croit les travaux de Microsoft Research et du magazine New York, qui ont publié les prémices d'un apprentissage du sens de l'humour chez les robots. L'assistant Cortana sera peut-être capable un jour d'improviser une blague ou un jeu de mots en discutant avec vous. Si le sentiment amoureux et le sens de l'humour sont vus comme des chasses gardées de l'humanité face aux robots, Microsoft travaille en effet déjà à supprimer au moins l'exclusivité humaine du rire. Toutes les semaines depuis dix ans, le New Yorker publie un dessin, souvent absurde, en laissant les lecteurs proposer les légendes qui en feront des dessins humoristiques. Dafna Shahaf, aidé par Eric Horvitz (de Microsoft Researh) et Robert Mankoff (du New Yorker), ont utilisé des algorithmes d'apprentissage profond (.pdf) pour enseigner à l'intelligence artificielle le sens de l'humour très particulier du magazine américain. Lire

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