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La signification de la psychologie cognitive

La signification de la psychologie cognitive
La psychologie cognitive est la branche de la psychologie qui étudie les fonctions psychiques et comportementales des êtres humains, telles que l'intelligence, le raisonnement, la logique, la perception des évènements et la résolution des problèmes. Les expérimentations La psychologie cognitive repose sur des expérimentations sur le comportement des individus par rapport à des situations précises, et mesure notamment le temps de réaction, le temps d'action nécessaire à la réalisation d'une opération donnée, sur la justesse des réponses à des questions précises, et même les données physiologiques comme ceux liés à l'oculométrie par exemple. L'architecture cognitive constitue la base de départ pour certains chercheurs qui tentent de comprendre les différents mécanismes qui gèrent la cognition. Ces mécanismes ne sont pas liés à des unités cérébrales définies, mais constituent plutôt des entités nécessaires au fonctionnement de structures distinctes du cerveau. Les types de mémoire

Thérapie cognitive, principes • Une cognition, qu'est-ce que c'est ? Le mot "Cognition" vient du latin "Cognito" signifiant : une pensée. D'un point de vue formel, le terme "Cognition" comprend l'ensemble des connaissances, des croyances et des représentations mentales d'une personne ; Dans un sens plus large, cela inclut également les mécanismes par lesquels cette personne acquiert de l'information (démarches d'apprentissage), la traite, la conserve et l'exploite. Les cognitions sont liées à la perception, à l'éducation, à l'apprentissage, à la mémoire, à l'intelligence, à la fonction symbolique et au langage. Plus simplement, on pourra retenir que nos "cognitions" sont nos croyances et nos pensées. • Nos émotions sont le fruit de nos pensées." C'est là le principe premier de la thérapie cognitive : ce n'est pas le monde extérieur qui est la cause de nos émotions et de notre humeur, mais seulement la représentation que l'on en a et les pensées qui nous traversent l'esprit. Schéma d'après David Burns. 1. [Accueil]

Synapse : une puce IBM qui imite le cerveau humain L’avenir de l’homme, c’est vraiment l’ordinateur. IBM veut à nouveau le démontrer via Synapse. Ce 18 août, Big Blue a révélé le résultat de ses recherches sur une architecture de puce électronique « conçue pour imiter les capacités du cerveau humain pour percevoir, agir et comprendre. » Elle apprend de ses expériences, fait les associations nécessaires, vérifie ses hypothèses et se souvient des résultats, ce qui lui permet de s’adapter seule aux nouvelles situations. Comme un cerveau biologique. Baptisées « neurosynaptic computing chips » , les puces issues de cette architecture « Systems of Neuromorphic Adaptive Plastic Scalable Electronics » (Synapse) devraient permettre d’utiliser « plusieurs ordres de grandeurs d’énergie et de place de moins que les ordinateurs actuels » , selon le communiqué d’IBM. L’architecture du mathématicien John von Neumann (en savoir plus sur sa page Wikipedia) est le modèle de référence pour les micro-processeurs actuels mais elle atteindrait ses limites.

[Entretien] Robert-Vincent Joule R.-V. Joule : Professeur de psychologie sociale à l’Université de Provence (Aix-en-Provence, France). Sylvain Delouvée : Merci d’avoir accepté cet entretien. Robert-Vincent Joule : C’est une question difficile… vous placez la barre très haut en ce début d’entretien… mais je ne me défilerai pas. Sylvain Delouvée : Pour celles et ceux qui ne connaissent pas vos travaux, comment, en quelques mots, présenteriez-vous vos thématiques de recherches ? Robert-Vincent Joule : Deux domaines, au cœur de la vie sociale, me passionnent et m’ont toujours passionné : celui du changement d’attitude et celui du changement comportemental. Sylvain Delouvée : Lors d’un entretien accordé à la Radio Nationale Dolmate (1) vous répondiez avec Jean-Léon Beauvois aux critiques qui sont souvent adressées à vos travaux sur les « armes » que vous fournissez aux manipulateurs. Robert-Vincent Joule : Je ne le pense pas. Il y a là de quoi alimenter la réflexion. Robert-Vincent Joule : Merci à vous. 1.

- La méthode La méthode du Professeur Feuerstein n’est pas qu’une simple théorie, mais plutôt une discipline englobant une philosophie, des théories structurées et des outils méthodiques qui peut être appliquée à travers différentes techniques pédagogiques et cliniques. Cette méthode est une synthèse improbable entre la confiance dans la capacité d’un individu à changer et une science et des recherches précises ; entre une approche philosophique et une approche pratique et appliquée ; entre une approche ancrée dans la foi et dans la tradition juive et une approche universelle indépendante de toute considération relative à la race, à la religion, au sexe ou à la nationalité. Cette méthode repose sur l’hypothèse selon laquelle l’intelligence humaine n’est pas fixe et les résultats des tests de QI ne reflètent pas exactement l’intelligence. Les théories, la recherche et les méthodes d’application s’inspirent d’une vision globale du monde. Cette vision du monde entraîne une révolution à deux niveaux : 1.

L'étonnante plasticité du cerveau humain Tous les mois dans Le Figaro , des membres de l'Académie des sciences répondent aux grandes questions de l'actualité scientifique. Pierre-Marie Lledo, neurobiologiste au CNRS et à l'Institut Pasteur vous répond. Avec ses 86 milliards de cellules nerveuses et ses millions de milliards de connexions, le cerveau de l'homme moderne est une merveille de complexité qui n'a pourtant rien d'immuable et de figé comme le sont les composés d'un ordinateur. Toutes nos aptitudes particulières, manuelles ou intellectuelles, qui concourent à faire de chacun d'entre nous un spécialiste, un expert unique, sont pour une grande part façonnées durant les premières phases du développement cérébral de l'enfant et de l'adolescent. La première singularité concerne la lente croissance de notre cerveau qui nécessite plusieurs décennies pour s'accomplir. Programmés pour apprendre * Lauréat 2012 du prix Mémain-Pelletier décerné par l'Académie des sciences. » Le cerveau humain a rétréci depuis Cro-Magnon

Apprendre à apprendre : ça s'apprend ! - Université de Lille Université de Lille L'essentiel à savoir pour réussir sans travailler plus mais mieux. "notre chance d’avenir repose sur ce qui fait notre risque présent : le retard de notre esprit par rapport à ses possibilités" Edgar Morin, dans La méthode, tome 3 : La connaissance de la connaissance Si la capacité à apprendre est innée, car dans la nature du cerveau, le "savoir apprendre", qui favorise la réussite et mène à une véritable autonomie, est une compétence complexe qui nécessite d'acquérir une méthodologie d'apprentissage, et d'accepter de modifier ses représentations sur l'apprentissage, et parfois même ses représentations de soi. Tout apprentissage est une transformation profonde, il faut changer pour apprendre et on change en apprenant. Insolite à l'université ? Contrairement aux idées reçues, apprendre ne consiste pas simplement à accumuler des connaissances pour les ressortir plus ou moins telles quelles à l'examen. Comment apprendre à apprendre ? Le site Contact : crl@univ-lille3.fr

Cerveau, apprentissage et enseignement Il y a quelques années, la pertinence de s’intéresser au cerveau en éducation était plutôt limitée. Intuitivement, les chercheurs, les enseignants et les autres intervenants du milieu de l’éducation se doutaient bien de l’existence d’un lien important et profond entre le cerveau et les apprentissages scolaires. Cependant, ce lien n’était ni clair ni appuyé sur des connaissances scientifiques solides, ce qui rendait les retombées éducatives des recherches sur le cerveau somme toute peu nombreuses et fragiles. Aujourd’hui, par contre, grâce aux avancées considérables de l’imagerie cérébrale et des neurosciences en général, cette situation a considérablement changé. Dans cet article, nous présentons trois grandes découvertes qui permettent non seulement d’établir des ponts plus solides entre le cerveau et l’éducation, mais aussi d’appuyer l’hypothèse selon laquelle mieux connaître le cerveau des élèves peut nous aider à mieux leur enseigner. Mieux connaître le cerveau pour mieux enseigner

Comment développer l'estime de soi B. Talents et capacités a. Maîtriser mes fonctions intellectuelles Les besoins affectifs ne sont pas les seuls constituants de notre être. L'intelligence humaine permet d'analyser et de comprendre la réalité. 1. De cette façon, nous conservons une maîtrise sur ce qui nous influence et sur nos choix qui en découlent. 2. Toutes les sociétés ont tendance à dicter des idées et à peu apprécier la critique, la remise en question et la déviance intellectuelle. Si nous choisissons de perfectionner notre personne au plan intellectuel autant que qu'aux plans affectif et physique, il faut nous attendre à déployer des efforts. Il est tentant d'accepter le diagnostic de "déficit d'attention" fort à la mode et facilement applicable à mon fils. Je décide donc d'essayer de comprendre. Ces quelques mois d'investissement sont récompensés le jour où mon fils s'ouvre. Cette expérience m'amène beaucoup de satisfaction et renforce ma confiance dans ma capacité de comprendre des situations complexes. 3. b.

L'estime de soi B. L’importance de l’estime de soi pour la qualité de vie 1. Favorable à l’actualisation Une bonne estime de soi facilite l’actualisation de notre potentiel comme être humain. 2. Nous recherchons intuitivement la compagnie de personnes dont l’estime de soi est comparable à la nôtre. 3. L’estime de soi influence aussi la relation amoureuse. La relation amoureuse entre deux personnes dont l’estime est solide a de meilleures chances de réussir. Avec une telle base, les amants peuvent se consacrer à leur développement et à celui de leur relation. 4. Par ailleurs, une forte estime de soi favorise la réussite. Plus mon estime de moi est élevée et plus je puis voir grand pour ma vie. À l’inverse, si mon estime est faible, je ne suis pas porté à viser haut pour ma vie.

Les 7 attentes impossibles (partie 2/2) Voici la suite du billet consacré aux sept attentes impossibles qui, malheureusement, viennent parfois polluer nos relations et générer des trucs pas très glamour comme la frustration ou la déception. Prendre conscience de quelques-unes de ces attentes impossibles vous permettra peut-être dans un premier temps de prendre un peu de recul et de voir par quel autre chemin passer pour, au final, vous sentir un peu mieux. La dernière fois, nous avons vu ces trois types d’attentes impossibles : Cette semaine, attardons-nous sur quatre autres attentes impossibles. Attendre que l’autre vous comprenneAttendre que l’autre soit votre moitiéAttendre que l’autre corresponde à l’image que vous vous faites de luiAttendre que votre système de valeurs soit universel Cela fait un bon moment que je n’ai plus écrit d’articles sur la communication. Donc, pour essayer quand même, je vous propose ici quelques paramètres indispensables pour maximiser vos chances d’être compris : Aïe ! Commençons par une question :

Les 7 attentes impossibles Quel est, selon vous, le meilleur moyen de vivre une vie remplie de déceptions et/ou de frustrations ? Bon, en lisant le titre de ce billet, je pense que la réponse sera vite trouvée. Voici l’un des principaux pièges dans les rapports humains : les attentes impossibles. Qu’il s’agisse d’attendre que l’autre change, qu’il devine ce que vous pensez, qu’il s’intéresse à vous ou qu’il comprenne ce que vous voulez dire, il y a tout un tas de situations où les doux rêves de chacun sont pris pour une réalité… qui n’en est pas une. La seule issue possible se situera alors quelque part entre la frustration légère et la grosse déception (ou vice-versa). Je vous propose aujourd’hui de faire un zoom sur sept des attentes impossibles les plus courantes. L’être humain n’est pas fait en pâte à modeler. Bien sûr, des ajustements sont toujours possibles. Conclusion (qui sonne un peu comme une croyance) : Un individu change quand il a décidé de changer. Vous êtes en plein dans la lecture de pensée.

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