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Enquête sur les Pratiques Informationnelles des Chercheurs : Quelques Résultats

Enquête sur les Pratiques Informationnelles des Chercheurs : Quelques Résultats
4 mars 2011 Le 6 octobre dernier nous vous sollicitions pour participer à une Enquête sur les Pratiques Informationnelles (EPI) des chercheurs lancée par l’Urfist de Nice avec la collaboration du laboratoire I3M. Le questionnaire en ligne a recueilli 681 réponses complètes et 325 incomplètes au 7 janvier 2011. Importance massive de la documentation numérique: moins de 20% des répondants consultent plus de documentation papier que de documentation numérique et près de 40% estiment à plus de 75% la proportion des documents numériques consultés. Ce qui semble apparaître ainsi c’est la coexistence entre un impact important du numérique et un certain conservatisme des pratiques et des conceptions. Plus de précisions après le saut… Gabriel Gallezot & Michel Roland Profil des répondants La localisation des répondants est majoritairement située en Paca et dans les départements de Gironde et d’Ile-et-vilaine. Principaux usages Imprimer ce billet

pourquoi du polar en numérique ? Magnifique titre pour le 7ème opus de Mauvais Genres, la collection noire de publie.net : A l’est de minuit. Quelle ville hors du monde est Toronto, rejoignant tous les pays et toutes les langues. Comment être né en Normandie et vivre à Toronto ? La collection Mauvais Genres, dirigée par Bernard Strainchamps, fête avec lui son septième titre. Pour moi, une autre strate de curiosité : le plein exercice d’éditeur confié à Bernard Strainchamps, qui diffuse d’autre part lui-même les ouvrages sur son Bibliosurf avec un site dédié à Mauvais Genres, le fameux site polar qu’il avait initié... Et bienvenue chez nous à l’homme du large qu’est Philippe Porée-Kurrer, allez donc lire sa biographie véridique sur son site. Et dans les questions à lui posées, celle concernant cette publication au format numérique. Bernard Strainchamps, questions à Philippe Porée-Kurrer MAUVAIS GENRES. MAUVAIS GENRES. MAUVAIS GENRES. MAUVAIS GENRES. MAUVAIS GENRES. MAUVAIS GENRES. MAUVAIS GENRES.

THATCamp Paris 2012 - Les réseaux sociaux numériques de chercheurs en SHS 1Les deux animateurs indiquent qu’un projet de réseau social scientifique pour les SHS est en cours d’élaboration au sein de l’Institut des humanités numériques de Bordeaux, dans un état déjà avancé (préparation d’un budget, d’un plan de développement, d’un modèle économique), cependant qu’à la Fondation Maison des sciences de l’homme, au cœur d’un réseau national et international de chercheurs en SHS, la réflexion est bien engagée sur la création d’un réseau équivalent, avec une dimension francophone dans un premier temps, mais qui devra s’ouvrir ensuite. L’atelier voudrait donc s’orienter vers l’explicitation des pratiques et des expériences concrètes des chercheurs sur les réseaux sociaux, en particulier les réseaux sociaux scientifiques, ainsi que sur les fonctionnalités nécessaires ou désirées dans un nouveau réseau social spécifiquement dédié aux SHS. 4Researchgate est peu investi par les chercheurs en SHS. 7Google Scholar s’interroge sur l’adjonction d’une couche réseau social.

Pourquoi la littérature ne parle-t-elle pas d’internet La lecture de la semaine, il s’agit d’un article paru dans le quotidien britannique The Guardian le 15 janvier dernier. On le doit à Laura Miller, il est intitulé “Comment le roman en est venu à parler de l’internet”. Laura Miller commence par un constat : comme David Foster Wallace (Wikipédia) l’avait fait dans les années 90 à propos de la télévision, elle s’étonne que très peu d’écrivains américains ne relèvent le défi d’intégrer Internet dans leurs textes. Et Laura Miller d’observer qu’il y a plusieurs stratégies à l’oeuvre. Ecrire un roman historique est la manière la plus simple d’éviter de se confronter à Internet, il suffit pour cela de faire remonter son histoire à une décennie ou au deux. Autre stratégie, les auteurs peuvent utiliser des populations qui sont à l’écart de la modernité pour des raisons culturelles, comme les immigrés récents et leurs familles – un choix très courant dans la fiction contemporaine, note Laura Miller. La situation commence à changer.

Academia.edu : le réseau social scientifique préféré des SHS Les réseaux sociaux sur internet ont connu ces dernières années une fréquentation de plus en plus importante, tandis que se développaient également les “réseaux sociaux scientifiques”, plus spécifiquement dirigés vers le monde de la recherche. Le but premier de ces réseaux est d’aider les chercheurs à faire connaître leurs travaux à une communauté scientifique plus large. Dans ce domaine, ResearchGate et Academia.edu sont les réseaux les plus importants, au coude à coude pour le nombre d’inscrits : ResearchGate affiche sur sa page d’accueil 2,7 millions (à la date de rédaction de ce billet) et Academia a annoncé sur son blog au mois de janvier dernier avoir dépassé les 2 millions. Mais si le premier, d’après le graphe affiché, attire majoritairement les communautés scientifiques issues des sciences dites « exactes », Academia semble avoir la faveur des disciplines SHS. Page d’accueil de ResearchGate avec la répartition par disciplines des inscrits. Page personnelle sur Academia.edu.

Apocalypse Bébé : Internet, matrice du récit Il y a quinze jours, la lecture de la semaine était un article de Laura Miller, paru dans le Guardian et qui constatait qu’il avait fallu bien longtemps à la littérature américaine pour faire de l’internet une matière romanesque. Ce qui était étonnant, étant donné la part que l’internet avait dans nos vies, et l’ambition de cette littérature de rendre compte de l’expérience du contemporain. J’avais ajouté une conclusion à l’article, expliquant que cette remarque pouvait tout aussi bien s’appliquer à la littérature française. L’article et la traduction ont un peu tourné pendant ces deux semaines, suscitant des commentaires souvent intéressants, qui ouvrent des discussions, proposent des exemples. Bref, je voudrais m’attarder sur un exemple, qui montre à mon sens comment internet peut entrer en littérature. On ne peut pas dire qu’internet soit le sujet d’Apocalypse bébé. Le téléphone portable, les réseaux sociaux, Google sont les premiers outils des enquêtrices. Xavier de la Porte

Protection et propriété des données sur Academia.edu et ResearchGate Il est extrêmement facile de s’inscrire sur Academia ou ResearchGate. Pressés d’accéder aux PDF d’articles qu’une recherche sur Google a fait miroiter, on procède en quelques clics à l’inscription qui donne alors accès à une incroyable base de donnée constituée par les documents scientifiques déposés par les inscrits sur leur profil. Mais, lors de cette inscription simple et rapide, qui prête vraiment attention aux conditions générales d’utilisation que l’on s’empresse d’approuver en cochant la case requise ? Pas moi en tout cas, ni aucun des collègues à qui j’ai posé la question. Sur la forme, le règlement d’Academia est relativement long, très détaillé et divisé en trois parties : “Copyright” (complété par une “Foire Aux Questions” (FAQ)), “Terms” et “Privacy”. Au moment où vous validez votre inscription sur un réseau, vous accordez automatiquement un certain nombre de droits à ce dernier sur la propriété et l’utilisation de vos données. Imprimer ce billet

Réseaux sociaux scientifiques : panorama, intérêts et usages des chercheurs, risques liés | CS22-Cnam-ADBS Réseaux et autres serveurs scientifiques ou sites dédiés au domaine scientifique “développement” sont très nombreux, les sites scientifiques sont de nature très diverse et demeurent plutôt disciplinaires. Sur la base de l’enquête Vertigo (2009-2010) et au regard d’un tour d’horizon de la communauté scientifique, il ne semble pas exister un véritable réseau convivial actif parlant à la fois de questions scientifiques et de terrain, et pouvant lier les intérêts des chercheurs et des professionnels. Pourtant, l’émergence des réseaux sociaux à destinée professionnelle est en pleine phase de croissance. Une définition du réseau social numérique en recherche (RSNR) Selon P. P. Les principaux réseaux sociaux scientifiques Plusieurs documents permettent d’aborder un panorama des réseaux sociaux scientifiques. Les productions sur le sujet se multiplient. On peut retenir de ces travaux une liste des réseaux socionumériques les plus cités : ♦ parmi les spécialistes de la recherche : Nathalie B.

Les réseaux sociaux scientifiques, la visibilité et l’open access J’ai participé, le 19 novembre, à la journée d’étude des correspondants IST (CorIST) de l’InSHS. Je n’ai pu assister qu’à une partie de la journée mais ce que j’ai pu voir, notamment la table-ronde sur Wikipédia comme outil de la valorisation de la recherche, était intéressant et fera j’espère l’objet d’un compte rendu. On trouvera un cadrage des thèmes traités ici, ainsi qu’un compte-rendu de chaque intervention ici. J’intervenais pour ma part dans une table ronde sur les réseaux sociaux scientifiques et leurs usages par les chercheurs. Des réseaux sociaux largement intégrés dans l’activité quotidienne des chercheurs La table ronde a été introduite par Brigitte Perucca, directrice de la communication du CNRS, qui présentait une enquête récente sur les usages par les chercheurs des réseaux sociaux (apparemment pas encore en ligne). Hypothèses, réseau social méconnu Academia.edu, un réseau social en fort développement parmi les chercheurs Quelques bénéfices des réseaux sociaux scientifiques

Différence entre réseaux sociaux et médias sociaux Souvent, les termes de « médias sociaux » et « réseaux sociaux » sont employés indistinctement pour désigner les différents sites et les multiples fonctionnalités sociales du web. Mais cette confusion conduit souvent à des approximations préjudiciables : comment définir une stratégie lisible et durable d’Inbound Marketing sans maîtriser précisément le vocabulaire employé ? Distinguer médias sociaux et réseaux sociaux Sous le terme de médias sociaux sont rassemblés différents sites et fonctionnalités sociales du web. Ceux-ci permettent entre autres de publier du contenu, comme des articles, des brèves, des photographies, des vidéos, des fichiers PDF, de donner son opinion ou de dialoguer avec d’autres utilisateurs, de contribuer à des projets participatifs, ou encore d’agréger une information pour la restituer ensuite. Un réseau social désigne un site dont la vocation première est la mise en relation des utilisateurs entre eux. Les différents types de réseaux sociaux

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