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Paradoxe du menteur

Paradoxe du menteur
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le paradoxe du menteur est un paradoxe dérivé du paradoxe du Crétois (ou paradoxe d'Épiménide). Ce paradoxe aurait été inventé par Eubulide, un adversaire d'Aristote[1]. Sous sa forme la plus concise, il s'énonce ainsi : « un homme déclare « Je mens ». Si c'est vrai, c'est faux. Si c'est faux, c'est vrai. » On peut y voir deux interprétations : En tant qu'énoncé, cette phrase dit : « Cette phrase est fausse. » ;En tant que propos, il faut comprendre : « Je mens maintenant. » Le paradoxe[modifier | modifier le code] On attribue le paradoxe du menteur à Épiménide le Crétois (VIIe siècle av. « Un homme disait qu'il était en train de mentir. On pourrait allonger ce paradoxe par cet énoncé : « La phrase suivante est fausse. Attribuons à Épiménide le propos « Tous les Crétois sont des menteurs. » Ceci était considéré par les philosophes antiques comme un paradoxe puisqu'il échappait au principe de non-contradiction. Related:  Philo

Liar Paradox  The Liar Paradox is an argument that arrives at a contradiction by reasoning about a Liar Sentence. The Classical Liar Sentence is the self-referential sentence, “This sentence is false,” which leads to the same difficulties as the sentence, “I am lying.” Experts in the field of philosophical logic have never agreed on the way out of the trouble despite 2,300 years of attention. Let L be the Classical Liar Sentence. That contradictory result apparently throws us into the lion’s den of semantic incoherence. Most people, when first encountering the Liar Paradox, react in one of two ways. Table of Contents 1. Languages are expected to contain contradictions but not paradoxes. The consequence is outrageous. Zeno's Paradoxes were discovered in the 5th century B.C.E., and the Liar Paradox was discovered in the middle of the 4th century B.C.E., both in ancient Greece. O Stranger: Philetas of Kos am I,‘Twas the Liar who made me die,And the bad nights caused thereby. a. This sentence is not true.

Ferdinand Buisson Ferdinand Buisson, dans les années 1920. Plaque commémorative Il a été directeur de l'Enseignement primaire en France de 1879 à 1896. En 1905, il préside la commission parlementaire chargée de mettre en œuvre la loi de séparation des Églises et de l'État. Il est connu pour son combat en faveur d'un enseignement laïc. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Ferdinand Buisson est né le 20 décembre 1841 dans une famille protestante. Engagement politique[modifier | modifier le code] Figure historique du protestantisme libéral, il s'exile volontairement en Suisse sous le Second Empire, de 1866 à 1870, car il refuse de prêter serment au nouveau pouvoir ; il est professeur à l'Académie de Neuchâtel[8]. Refusant d'enseigner la philosophie, car désireux d'œuvrer en faveur des enfants les plus pauvres, il est, grâce à son amitié avec le ministre de l'Instruction publique Jules Simon, nommé à la direction des établissements scolaires parisiens.

syncrétisme Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] (1687) Emprunté au grec ancien συγκρητισμός, sugkrêtismós, « union de deux Crétois », ceux-ci étant réputés menteurs et fourbes. Nom commun[modifier | modifier le wikicode] syncrétisme /sɛ̃.kʁe.tism/ masculin (Philosophie) Système de philosophie grecque qui faisait la synthèse des divers systèmes de pensée. Dérivés[modifier | modifier le wikicode] syncrétique Traductions[modifier | modifier le wikicode] Voir aussi[modifier | modifier le wikicode] syncrétisme sur Wikipédia Références[modifier | modifier le wikicode] Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (syncrétisme), mais l’article a pu être modifié depuis.

Protagoras Biographie[modifier | modifier le code] Les dates précises de la naissance et de la mort de Protagoras sont incertaines[21]. Après avoir un temps proposé 485[22], les recherches contemporaines font désormais naître Protagoras vers 490[23]. Elles suivent ainsi la chronologie d'Apollodore, et la date plus précise de 492 est parfois avancée[24]. Platon affirme que le sophiste serait mort à 70 ans[18], ce qui situerait sa mort vers 420. À l'opposé, Diogène Laërce[29] rapporte qu'il était d'origine humble, exerçant au départ un travail manuel. Devenu sophiste, Protagoras séjourna plusieurs fois à Athènes. Plusieurs témoignages suggèrent un lien entre Périclès et Protagoras. Localisation de Thourioi, indiquée "Thurii" sur la carte. Apulée[41] et Diogène[42] rapportent un procès entre Protagoras et son disciple Évathlos : Évathlos refusait de payer son maître parce qu’il n'avait pas encore gagné de procès. Les dernières années de Protagoras semblent marquées par des événements tumultueux.

Ordre de Saint-Benoît Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Saint Benoît L’ordre de Saint-Benoît [OSB], plus connu sous le nom d’ordre des Bénédictins, est une fédération de monastères ayant, au cours de leur histoire, adopté la règle de saint Benoît. Ce n'est pas le plus ancien Ordre de l'Occident chrétien (Cf. la Règle des moines de Saint-Augustin, la fondation de Ligugé par Saint Martin et de Saint-Victor de Marseille par Jean Cassien, et la laus perennis[1] en 515 à l’abbaye de Saint-Maurice d'Agaune), mais c'est celui qui a connu le plus large succès ; ses membres suivent la règle de saint Benoît et appartiennent à la Confédération bénédictine. But[modifier | modifier le code] D'après le pape Benoît XVI, saint Benoît « indiqua à ses disciples comme objectif fondamental et même unique de l'existence, la recherche de Dieu »[2]. Origine[modifier | modifier le code] Le premier monastère fut établi au mont Cassin vers 529 par Benoît de Nursie. Habillement[modifier | modifier le code]

Âges de la vie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les âges de l'homme, chromolithographie qui représente de manière caricaturale le concept de successions d'étapes marquant la vie d'un homme, fin 19e, Collections Musées départementaux de la Haute-Saône. Les âges de la vie.Gravure sur bois illustrant Livre des propriétés des choses de Barthélemy l'Anglais (1486). Les âges de la vie sont une conception consistant à diviser la vie en plusieurs périodes. Histoire[modifier | modifier le code] Les conceptions de l'antiquité classique distinguent : Selon Galien, la vie comprend quatre âges[2] : l'adolescence, où le corps s'accroît ; la jeunesse, âge où l'homme ayant fini de croître peut assister les autres ; l'âge viril, où le corps consume autant qu'il consomme d'aliments ; la vieillesse, qui voit l'homme se refroidir et se déssécher progressivement. Isidore de Séville distingue six âges : enfance, puerilité, adolescence, jeunesse, virilité et vieillesse[3]. Énigme[modifier | modifier le code]

Abbaye Saint-Benoît de Bahia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'archi-abbaye Saint-Benoît (Monasteiro de São Bento) est l'abbaye territoriale de la congrégation bénédictine brésilienne au sein de la confédération bénédictine. Elle se trouve à Salvador de Bahia au Brésil et a été fondée en 1582. Son église abbatiale est la basilique Saint-Sébastien, construite en 1624 par le Frère Macaire de Saint-Jean et constitue le monument majeur du centre historique de la ville. Elle a été érigée en basilique mineure en 1982. Elle dirige la Faculdade de São Bento (Faculté Saint-Benoît) et le Colégio de São Bento (Collège Saint-Benoît). Elle est dirigée par Dom Emanuel d'Able do Amaral, Ordre de Saint-Benoît. Liens internes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Le Rire (Henri Bergson) Le Rire : essai sur la signification du comique est un ouvrage du philosophe Henri Bergson paru le 1er mai 1900. Comme Bergson le dit dans sa préface de 1924, son essai se concentre plus exactement sur « le rire spécialement provoqué par le comique. » La thèse défendue dans l’ouvrage est que ce qui provoque le rire est le placage de la mécanique sur du vivant. Le rire y est considéré comme une punition de la société envers les êtres qui se laissent aller à la raideur et oublient la souplesse exigée par la vie. Le livre est composé de trois articles (les trois chapitres) qui avaient précédemment été publiés dans la Revue de Paris[1]. Comme il l'explique dans la préface à l'édition de 1924, l'idée fut de rassembler des articles épars en les arrangeant de telle manière qu'ils eurent du sens[2]. Dans le premier chapitre, Bergson fait trois observations sur le rire : Il n’y a pas de comique en dehors de ce qui est proprement humain. Bergson définit la comédie comme « un jeu qui imite la vie ».

Salvador (Bahia) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Salvador est une ville du Brésil capitale de l'État de Bahia. Elle est située sur une péninsule au bord de l'océan Atlantique au nord-est du pays. Sa dénomination exacte est São Salvador da Bahia de Todos os Santos, « Saint Sauveur de la Baie de tous les Saints ». Salvador en 1900. Première capitale du Brésil de 1549 à 1763, Salvador de Bahia a été un point de convergence des cultures européennes, africaines et amérindiennes. La colonie est fondée en 1549 par Tomé de Sousa et devient rapidement un centre de la culture de la canne à sucre. Les Hollandais capturent et pillent la ville en mai 1624 ; elle est reprise par les Portugais en avril de l'année suivante. La ville est la capitale du Brésil jusqu'en 1763. En 1948, la ville compte 340 000 habitants. Le musicien Gilberto Gil y est né, et c'est là que se trouve la maison de Jorge Amado, le plus fameux des écrivains bahianais, chantre de Salvador. Immeubles modernes à Salvador.

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