background preloader

Maths-rometus

Les mathématiques furent essentiellement créées parce que l'on en avait besoin, et elles ont été bien souvent un outil, ne l'oublions pas! De nombreux mathématiciens étaient aussi des philosophes, des astronomes, des historiens et même des poètes, particulièrement en Grèce et en Europe au Moyen Age. Ils furent aussi de grands physiciens jusqu'au XIXème siècle. Aujourd'hui, on est encore obligé de créer de nouveaux concepts mathématiques pour répondre à la demande de la haute technologie. Quand les mathématiques ne répondirent pas à un réel besoin, elles finirent toujours par permettre de résoudre de nouveaux problèmes qui se posèrent bien plus tard… Il est donc arrivé aussi qu'elles précèdent les grandes découvertes. Il est impossible de connaître une science sans en connaître son histoire, l'histoire de ses tâtonnements et de ses erreurs. Pendant près de 1500 ans, l'Europe s'est obstinée à utiliser les chiffres romains qui ne permettaient pratiquement aucun calcul.

LA BOÎTE À IMAGES « DE LA FORME DES ÉTOILES | Page d'accueil | DE LA PERSPECTIVE - 2 » 15 septembre 2005 On m'a plusieurs fois demandé de parler de la perspective. Parler de perspective revient à parler d'espace. Nous vivons dans un monde à trois dimensions qui sont la hauteur, la largeur et la profondeur. Comment créer cette illusion qui va abuser l'observateur ? Des hommes ont fabriqué bien des images convaincantes(1) avant que surgisse cette invention de la perspective ; d'autres ont mis au point de subtils stratagèmes(1) visant à suggérer une profondeur qui ne reposait pas sur des principes mathématiques (voir ci-dessous) ; d'autres encore ont élaboré(2) ces fameuses lois de la perspective et les ont appliquées(3) ; malgré cela, certains ont continué de créer des images au mépris des lois(4) pourtant portées à leur connaissance(5), pendant qu'ailleurs elles étaient intégrées au mode de représentation traditionnel(6) ; enfin, vinrent ceux qui décidèrent de jouer(7) et rejouer encore(8) avec la perspective,

L'histoire des mathématiques. L'origine des mathématiques est très lointaine. Mais pour tout le temps qui précède l'invention de l'écriture, il semble difficile d'énoncer autre chose que des généralités, seulement étayées indirectement par quelques témoignages archéologiques (successions d'entailles ou de marques qui peuvent faire penser à un comptage, etc.) ou par les analogies que l'on peut tirer des études ethnologiques : on savait compter; ici, plusieurs systèmes de numération ont pu être utilisés (numération décimale, duodécimale, sexagésimale, etc.), là, on a pu s'en tenir à l'usage de quatre nombres seulement (un, deux, trois, « beaucoup »); on devait aussi connaître quelques principes d'arpentage des champs cultivés, imposés par le développement de l'agriculture. En tout cas, il est frappant de constater que l'invention de l'écriture est partout étroitement liée à des préoccupations mathématiques, ou du moins comptables. (Pi) la valeur approchée 3. Les mathématiques antiques Dès cette époque (Ve siècle av.

Club d'astronomie de Breuillet (astrobreuillet) CIVILISATIONS MATHEMATICIENNES : Maths-rometus, Histoire des maths, Illustrations, Maths, Mathématiques, Jean-Luc Romet, Math Préhistoire (vers 35000 avant JC - vers 3000 avant JC) Mésopotamie (vers 3000 avant JC - vers 200 avant JC) Egypte (vers 3000 avant JC - vers 330 avant JC) Chine (vers 1300 avant JC - vers 1300 après JC) Grèce (vers 700 avant JC - vers 500 après JC) Mayas (vers 300 avant JC - vers 900 après JC) Romains (vers 100 avant JC - vers 400 après JC) Inde (vers 200 - vers 1200) Arabie (vers 700 - vers 1400) Europe (vers 900 - aujourd’hui) Mondialisation (vers 1900 - aujourd'hui) et médailles Fields Quelques grands mathématiciens européens Quelques mathématiciens français du XXème siècle (parrains)

Histoire des maths pour le collège Histoire des symboles de mathématiques Les symboles que l'on utilise actuellement de manière naturelle n'ont pas toujours existé. Ils sont apparus en général entre le XVème et le XVIIIème siècle. Symboles de multiplicationSymboles de division Symboles de racines carrées Symboles de groupements pour les opérations Symboles pour l'écriture des nombres décimauxSymboles d'algèbre Les ensembles de nombres D'autres symboles vus au lycée Symboles et notations utilisée dans le supérieur

mise à mort de l'étalon du kg Sciences physiques et nanotechnologiesLa mise à mort de l'étalon du kilogramme programmée pour 2011 A 131 ans, après avoir survécu à deux guerres mondiales, l'étalon du kilogramme est plus que jamais menacé. Les chercheurs, qui veulent sa peau depuis plusieurs décennies déjà, ont peut être enfin trouvé le moyen de s'en débarrasser. Le National Institute of Standarts and Technology (NIST) semble avoir démontré que ses travaux permettront de redéfinir le kilogramme lors de la réunion du Comité International des Poids et Mesures (CIPM) à Paris en octobre. Pourquoi vouloir remplacer ce cylindre de platine et d'iridium qui semble imperméable aux effets du temps ? Un microgramme, cela ne parait pas beaucoup. Les chercheurs n'en sont pas à leur première victime. Les constantes fondamentales : la voie de la dématérialisation Pour atteindre une précision maximale dans la définition des étalons pour chaque unité du système international, il faut utiliser des repères les plus stables possibles.

La periode Arabe En bref ... Au VIIe siècle, la période Alexandrine se termine au profit du monde Arabe. La langue musulmane va devenir la langue la plus courante. L'empire s'agrandit et incorpore les peuples au fur et à mesure de son étalement. En fait, il n'y a pas transfert des connaissances mathématiques mais plutôt une assimilation des cultures passées et donc de leur richesse culturelle.Les mathématiques arabes sont marquées par une triple influence babylonienne , grecque et indienne .Les synthèses et les développements effectués faits à partir de ces traductions débouchèrent sur des résultats fondamentaux, notamment en algèbre et en trigonométrie . Au début du VIIIe siècle, l'héritage alexandrin est globalement passé à Bagdad, centre de l'empire, par une traduction massive des textes scientifiques qui étaient alors en grecs. Au IXe siècle, les centres culturels se multiplient en partant de Bagdad. Le premier ouvrage présentant le système décimal indien est écrit au IXe siècle par Al-Khwarizmi

CYCLE 3 : Histoires de Mathématiques Ce qui suit est extrait des programmes de mathématiques pour les différents niveaux, disponibles sur le site éduscol du Ministère de l'Éducation Nationale et de la Jeunesse (au 1er septembre 2020). Pour les cycles 2, 3, 4, les têtes de chapitre sont celles des Repères Annuels de Progression. Pour les classes de seconde, première et terminale, les paragraphes intitulés Histoire des Mathématiques ont été extraits des programmes en vigueur. L'objectif est de relier les programmes au contenu de ce site. Nombres et calculs La notion apparemment familière de nombre ne va pas de soi. Scandale des irrationnelles, la différence entre « nombres réels » et « nombres de la calculatrice » Victoire du système décimal. Notations algébriques Algèbre indienne Al-Khwarizmi et l'algèbre, en expliquant qu'une grande partie des mathématiques n'a pu se développer qu'une fois ce formalisme stabilisé au cours des siècles. Arithmétiques de Diophante, Euclide Éléments d'Euclide et enseignement, Al-Khwarizmi Géométrie

Qantara - Les sciences exactes La transmission des sciences exactes se poursuit pendant toute la durée de l’Empire byzantin selon des principes établis dans l'Antiquité tardive. Les écoles moyennes enseignent les quatre disciplines scientifiques du quadrivium : géométrie, arithmétique, astronomie, théorie musicale. Elles ont pour instruments des manuels d'initiation et des commentaires des œuvres antiques sous la forme de traités ou de scholies. Au cours de l’Antiquité tardive, les savants d'Alexandrie commentent les grands textes scientifiques antiques, leurs commentaires formant la base de l'enseignement ultérieur. Outre ces commentaires, de nouveaux traités et manuels voient le jour : manuels de géométrie appliquée par Héron d'Alexandrie, traités sur les cylindres et les cônes par Sérénos d'Antinoé (IVe siècle), introduction à l'arithmétique de Domninos de Larissa (Ve siècle), traité sur les miroirs ardents d'Anthémios de Tralles (VIe siècle). Le premier phénomène d’appropriation Le second phénomène d'appropriation

Related: