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Grèce romaine

Grèce romaine
La période de domination romaine en Grèce s'étend conventionnellement de 146 av. J.-C. après la mise à sac de Corinthe par Lucius Mummius Achaicus jusqu'à la reconstruction de Byzance par Constantin Ier et sa proclamation en tant que seconde capitale de l'Empire romain en 330 ap. J.-C. Installation des Romains en Grèce[modifier | modifier le code] Après la victoire de Pydna, les Romains accentuent leur présence en Grèce et y font défendre leurs intérêts. Les autres cités-États finirent petit à petit par rendre hommage à Rome, perdant de fait leur indépendance, mais sauvegardant divers degrés d'autonomie : les Romains laissèrent l’administration locale aux Grecs, sans essayer d’abolir leurs habitudes politiques. Influence de la Grèce sur l'Empire romain[modifier | modifier le code] La Grèce était la province orientale clé de l’Empire romain, puisque la culture romaine fut pendant longtemps, de fait, gréco-romaine. Empire romain tardif[modifier | modifier le code]

Bretagne (province romaine) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Bretagne Britannia (la) 43 – 197 / vers 214 La Bretagne romaine vers 150. La Britannia désignait la province romaine qui couvrait l’Angleterre, le pays de Galles et le sud de l’Écosse du Ier siècle au début du Ve siècle. Avant la conquête romaine, la Bretagne est habitée par des peuples celtes et belges (dans le sud-est de l’île, de l'estuaire du Humber jusqu'à la Domnonée, selon la toponymie, les statères et le mobilier funéraire, cette partie était alors appelée Lloegyr ou Loegrie par les anciens Gallois), ces derniers seraient les précurseurs de la langue germanique en Grande-Bretagne. La conquête romaine procéda par étape après celle des Gaules. En 55 av. Au premier siècle de l’ère chrétienne, des marchands romains s’installent en Bretagne, avec l’accord de peuples brittoniques, tandis que de nombreux rois bretons sont reçus à Rome par Auguste et ses successeurs[1]. La Bretagne dans l'Empire romain, vers 120 — Tacite, Vie d'Agricola.

Religions orientales à Rome L'Égypte fascine les Romains : les fouilles de Pompéi l'attestent ; nombreuses sont, au début de la période impériale, les maisons décorées de fresques ou de mosaïques représentant des animaux ou des paysages égyptiens ; les paysages nilotiques sont à la mode. Et les dieux égyptiens aussi attirent. Les cultes d'Isis, d'Osiris et de Sérapis connaissent, à Rome et dans l'Empire, un grand succès. Une religion ancienne, à la mythologie riche, mais aussi des cérémonies chamarrées, où se mélangent couleurs, lumière, musique, et qui parlent à l'imagination : tels sont, parmi d'autres, les ingrédients de ce succès. Croyances et pratiques des dévots isiaques en Italie centrale sont assez bien connues. Les sources archéologiques, épigraphiques, littéraires, sont nombreuses. Origines Mythologie égyptienne Isis et Osiris, ainsi que leur fils Horus, figurent parmi les dieux principaux du panthéon égyptien. Influence hellénistique Ce culte n'est pas parvenu tel quel dans le monde romain. Croyances

Citoyenneté romaine Les droits et devoirs du citoyen romain[modifier | modifier le code] La civitas Romana optimo jure (citoyenneté romaine avec tous les droits)[modifier | modifier le code] Les droits politiques et militaires[modifier | modifier le code] Jus suffragii : le droit de voteJus militiae : le droit de s'incorporer dans la légion romaine, et d'y recevoir une solde et une part de butinJus Honorum : le droit d'être élu magistratJus sacrorum : le droit de participer aux sacerdoces Les devoirs politiques et militaires ("munus" en latin)[modifier | modifier le code] Les droits civils[modifier | modifier le code] Le citoyen romain dispose aussi de droits civils : Des lois furent prises pour réprimer l’usurpation de la citoyenneté romaine (en -95, lex Licinia Mucia, contre les Italiens inscrits frauduleusement) Face à la justice romaine, le citoyen bénéficie de protections : Onomastique du citoyen romain[modifier | modifier le code] Droit de la femme romaine[modifier | modifier le code]

Conquête romaine de la Bretagne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Contexte historique[modifier | modifier le code] Prélude de la conquête[modifier | modifier le code] L'empereur Caligula souhaitait lancer une invasion dès 40 après J. Forces sur le terrain[modifier | modifier le code] Le sénateur Aulus Plautius obtint le commandement suprême de quatre légions et environ 20 000 auxiliaires : Les phases de la conquête[modifier | modifier le code] Années 43 à 46[modifier | modifier le code] Années 47 à 53[modifier | modifier le code] Dans les quatre années suivant l'invasion, les Romains avaient également balayé le nord de l'archipel, arrivant plus ou moins jusqu'à la ligne de l'estuaire Humber. Années 54 à 70[modifier | modifier le code] La Bretagne en 68 lors de la mort de l'empereur Néron. Lorsque Néron monta sur le trône impérial en 54, les gouverneurs Quinto Veranio et Caius Suetonius Paulinus déclenchèrent une offensive qui aboutit à la conquête de l'ile d'Anglesey en 60, bastion des Bretons.

articles universalis égypte Société romaine La société romaine antique (societas hominum) s’organise selon une hiérarchie strictement définie, où chacun a son rang qui lui définit ses droits et ses devoirs. Statut[modifier | modifier le code] La toge romaine était la tenue distinctive des hommes romains, les femmes portaient des stolas. Une tunique (tunica) était portée sous la toge (toga). Pour décrire la position d'une personne dans le système romain, on distingue trois statuts différents. Status libertatis[modifier | modifier le code] Le statut social et juridique des esclaves dans la Rome antique a varié selon les époques. Les affranchis avaient un statut intermédiaire spécifique : ils bénéficiaient des droits civils et politiques attachés à la citoyenneté, à l'exception du droit d'être élu magistrat. Les hommes nés libres (ingenui) pouvaient alors être : Étrangers : Pérégrins (peregrini) hommes libres, citoyens dans leur communauté (civitas), mais étrangers pour les Romains, et soumis à la capitation. Au VIIe siècle av.

Période romaine de l'Égypte Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Égypte dans l'Empire romain, vers 120 L'Égypte passe sous la domination romaine en -30. Elle conserve un statut particulier durant tout l'Empire romain. Histoire[modifier | modifier le code] Après la mort de Cléopâtre VII, l'Égypte devient une province de l'Empire romain, gouvernée par un préfet choisi par l'empereur, et non par un gouverneur de l'ordre sénatorial[1]. Les premiers préfets romains en Égypte : Après la destruction du temple de Jérusalem par les Romains en 70, Alexandrie devient l'un des grands centres d'immigration et d'études juives. L'empereur Caracalla (211 à 217) accorde la citoyenneté romaine aux Égyptiens libres, comme à tout autre habitant de l'Empire. Le IIIe siècle est marqué par une série d'usurpations et de guerres, en Égypte comme dans l'ensemble de l'Empire romain. Les empereurs romains[modifier | modifier le code] Le pharaon est le fils des dieux, sans lequel il n'y a que désordre en Égypte.

Genius Genius loci. Esprit gardien d'un lieu ; car, chez les anciens, chaque endroit, chaque lieu à la ville ou à la campagne, édifice, montagne, rivière, bois, etc., avait, à ce qu'on croyait, son génie particulier, qui était représenté sous la forme d'un serpent (Serv. ad Virg. Aen. V, 85 ; Inscript. ap. Grut. VIII, 4 ; Prudent.

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