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1- Addiction aux réseaux sociaux: Pourquoi Facebook et Instagram font-ils de nous des losers?

1- Addiction aux réseaux sociaux: Pourquoi Facebook et Instagram font-ils de nous des losers?
RÉSEAUX SOCIAUX - Sur Facebook et Instagram, on ne montre que les bons côtés de la vie, des morceaux choisis par nos soins. À quel point cette mise en scène peut-elle impacter négativement ceux qui en sont à la fois les spectateurs et les acteurs? Plages paradisiaques, hamburgers alléchants et soirées déjantées, voilà que ce l’on voit passer en quasi-permanence sur nos timelines Facebook et Instagram. Et pour cause, sur les réseaux sociaux, armes fatales du personal branding, on ne dévoile que ce l’on veut bien et en particulier ce qui est susceptible de faire saliver nos voisins virtuels. Ces mises en scène incessantes, celles des autres mais aussi les nôtres, peuvent-elles nous impacter négativement et nous rendre, au final, malheureux? Si ça se trouve, cette jeune femme s’emmerde profondément Instagram/sinsuco Le sentiment de solitude du spectateur accentué La vie rêvée des autres… Capture d’écran du dessin illustrant le billet de Marine Normand sur Retard Magazine © Roca Balboa Related:  Sociologie

2 - Peut-on être accro aux réseaux sociaux Un like par-ci, un tweet par-là, un selfie sur Instagram sans oublier de mettre à jour son profil LinkedIn... Nous multiplions quotidiennement les connexions aux réseaux sociaux. Mais à partir de quand cette fréquentation devient-elle problématique ? Notre consommation effrénée, ne cacherait-elle pas une réelle addiction ? Propos recueillis par Lucien Fauvernier A découvrir Quel pays passe le plus de temps sur les réseaux sociaux ? Le rapport 2015 de l’agence Wearesocial sur les pratiques numériques révèle que le temps mondial moyen passé sur les réseaux sociaux est d’un peu plus de 2h30 par jour. Trois. Mais alors, serions-nous tous accro aux réseaux sociaux sans le savoir ? L’addiction aux réseaux sociaux existe-t-elle ? Le concept d’addiction au virtuel n’est reconnu par aucune instance scientifique, que se soit par l’Académie française de médecine ou par le DSM V l’ouvrage de référence de la Société américaine de psychiatrie. Les réseaux sociaux ne sont pas addictifs par eux-mêmes.

Comment DSK a tué Twitter DSK déboule sans prévenir sur Twitter un dimanche soir de fête de la musique… Et alors ? Et alors, plus de 30 000 abonnés en moins de 24 heures. Et alors, des kilotonnes de réactions outrées, amusées, vachardes, cyniques, inutiles… Et alors, cinq comptes seulement auxquels l’ex-patron du FMI s’est abonné à ce jour dont deux Prix Nobel (Paul Krugman et Joseph Stiglitz) et deux institutions du journalisme financier (The Economist et The Financial Times). Et alors, un seul tweet sous la forme d’un énigmatique «Jack is back» qui donne lieu à toutes les interprétations les plus délirantes : pour les uns, c’est une référence au film L.A. Confidential quand le détective Jack Vincennes finit de purger sa mise à pied ; pour les autres, c’est plutôt un clin d’œil à Jack Bauer, le héros de la série 24 Heures chrono ; pour d’autres encore, il s’agit peut-être du petit surnom que donne DSK à son sexe.

4 - Jeux vidéo : pratiques excessives - Les usages Le jeu est présent dans toutes les sociétés humaines. Constitutif de l’homme, il forme le jeune aux défis qu’il devra relever adulte. Selon diverses sources, 90% des adolescents passent plus de deux heures par jours sur leurs écrans. Consoles, smartphones, tablettes, ordinateurs, autant de supports à leur disposition pour surfer sur Internet, se faire des amis virtuels sur les réseaux sociaux, jouer à Assassin Creed, World of Warcraft ou Call of duty…, activités parfaitement banales et licites. Dès lors, les inquiétudes que suscite l’usage intensif d’Internet et des jeux vidéo sont-elles justifiées ? Le marché du logiciel interactif européen pèse aujourd’hui 30 milliards d’euros par an, présente un taux de croissance de 15 % et des innovations permanentes. Dans notre pays, il existe encore peu de données quantitatives sur les pratiques de jeux vidéo/Internet chez les adolescents (voir « Pour en savoir plus »).

L’addiction chez les jeunes | Les Brouillons J’ai réalisé un dessin pour la 19e journée nationale prévention santé, organisée par la fédération des parents d’élèves de l’enseignement public (Peep). Le thème est « l’addiction chez nos enfants ». Mon côté geek m’a tout de suite fait pensé à ce dessin pour ce thème. Mon dessin a été utilisé sur le prospectus distribué lors de cette réunion Parents-Professionnels. WordPress: J'aime chargement… Sur le même thème Peut-on dessiner avec un Galaxy Note ? Cela fait plus d'un an que je me suis mis à dessiner sur Galaxy Note 3. Dans "Fan Art" Étiquettes : addiction, Alcool, Drogue, enfants, enseignement public, geek, Internet, jeunes, jeux vidéo, multimédia, parents, peep, prévention, prospectus, Santé

BALLAST Faut-il brûler l’individualisme ? Entretien inédit pour le site de Ballast La tradition anarchiste compte un grand nombre de tendances et de courants — parfois en opposition — en son sein : l'individualisme libertaire (ou anarcho-individualisme) s'avance comme l'un d'entre d'eux. « L’individualiste libertaire reste à distance, hors des clous, chat échaudé, ne s’approche, ne se mêle à la gentille harde des herbivores lignifiés », écrit l'essayiste Michel Perraudeau dans son Dictionnaire. Repli égotiste ? Dandysme de petit-bourgeois ? Nous avions lu plusieurs de ses ouvrages, écrits d'une plume vive, et étions curieux, car n'appartenant pas à cette tradition philosophique et politique, d'en savoir davantage : entretien à bâtons rompus avec le biographe d'Anselme Bellegarrigue et auteur de Vendée 1793 et d'un essai sur le poète Léo Ferré — que faire de l'État ? pourquoi être non-violent ? Le XXIe siècle est souvent présenté comme l’acmé de l’individualisme, comme le couronnement de l’individu-roi. Albert Camus Noam Chomsky

Culture et pratiques numériques juvéniles : Quels usages pour quelles compétences ? 1Dans les sociétés contemporaines, les technologies de l’information et de la communication (TIC) modifient en profondeur les rapports qu’entretiennent les individus entre eux, aussi bien dans leur vie professionnelle que dans leur vie personnelle. Les jeunes générations semblent vivre ces mutations de manière plus rapide et plus intense que les autres classes d’âge. Entre 12 et 17 ans, les adolescents passent en moyenne 16 heures sur internet chaque semaine, contre 14 heures devant la télévision (Crédoc, 2010). Ils sont ainsi, avec les cadres, les seules catégories à consacrer plus de temps à internet qu’à la télévision. 2Après une définition sociologique de la « jeunesse » et de la notion de « culture numérique », nous montrerons comment les jeunes utilisent les nouveaux médias dans le but de créer une sociabilité communautaire et de se construire une ou plusieurs identités via le réseau. 1.1. 1. 2. 1) Une forme originale de relation aux autres 2) Une (re)présentation de soi multiple

Addiction aux réseaux sociaux : quels dangers ? Avec Facebook ou Instagram toujours à portée de main, la consultation compulsive des réseaux sociaux est-elle une addiction ? A quel moment ce comportement virtuel devient-il un problème ? Existe-t-il un danger à trop liker, tweeter, commenter ? Les explications de Michael Stora, psychologue et psychanalyste. Poster une photo de son repas, commenter la publication d'un ami, "tweeter" sa dernière réflexion philosophique... Etre dépendant du regard de l'autre A quoi correspond alors le fait de consulter de façon obsessionnelle les réseaux sociaux, partout, quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit ? Les dangers des réseaux sociaux L'usage des réseaux sociaux devient réellement problématique quand il y a une rupture de tous liens sociaux, quand les personnes délaissent le réel au profit des réseaux sociaux. Mais quel danger courent les internautes qui consultent et publient de manière compulsive sur les réseaux sociaux ? Guérir par les réseaux sociaux ? Sources : >> A lire aussi :

Surfer sur Facebook ne vous rend pas heureux, même si vous avez beaucoup d’amis Facebook, ou l’art de s’inventer une vie. C’est ce que démontre une étude réalisée par des psychologues américains spécialisés dans la cyberpsychologie et les comportements sur les réseaux sociaux. D’après cette étude intitulée : "Est-ce que les statuts Facebook sont révélateurs de notre bien-être ressenti ?" En revanche, d’après les tests réalisés sur un panel d’usagers quotidiens de Facebook, il apparaît clair que les personnes tristes sont plus honnêtes quant à leur état psychologique. Nombreux amis, compliments, likes... rien n'y fait En 2013, une étude avait déjà été menée sur le même thème ("Comment l’utilisation de Facebook permet de prévoir un déclin du bien-être ressenti chez les jeunes adultes").

J1J | Qu’en est-il de la culture chez les jeunes ? Le 11/10/2014 05:00 par Arielle Batto, Oriane Batto, Alicia Jacob, Danilo Peter et Laurianne Pfeffer , actualisé le 10/10/2014 à 18:05 Vu 512 fois La culture a-t-elle encore sa place dans le quotidien des jeunes qui semblent préférer les écrans aux livres ? La culture, par définition, est l’ensemble des normes et valeurs qu’un individu se doit d’acquérir pour évoluer en société. Enrichissement de l’esprit, elle correspond en général à des connaissances dans un domaine précis tel le mouvement artistique pop art. Les aînés ont tendance à dénoncer le manque de culture chez les jeunes. Le questionnaire soumis aux 70 personnes portait sur des questions de culture générale ainsi que sur les sources d’information. Une opinion qui ne date pas d’hier Lorsqu’on demande aux personnes interrogées d’autoévaluer leur culture, les plus de soixante ans répondent plus facilement la note de 4/5 alors que les moins de soixante ans auraient une perception plutôt moyenne de leur niveau.

Risques Facebook, qui nous influence le plus : l’algorithme ou nos a-priori Claire Richard pour Rue89 revient sur l’étude publiée dans le magazine Science par trois chercheurs de Facebook, dont Eytan Bakshy, venant remettre en question la “bulle de filtres” d’Eli Pariser que les algorithmes des réseaux sociaux favoriseraient. “En examinant les « informations dures » (hard news, c’est-à-dire la politique, l’économie, etc., par opposition au divertissement ou au sport) partagées par ces utilisateurs ainsi que la couleur politique de ces articles, les chercheurs ont mesuré l’exposition à des contenus « transversaux » (cross-cutting) – indice d’une exposition à des contenus politiquement variés – et comparé l’influence de trois biais de sélection : l’homophilie, l’algorithme et le comportement des utilisateurs.” “Toute cette affaire de chercher à séparer conceptuellement l’influence de l’algorithme des choix individuels méconnaît volontairement ce que sont et ce que font les algorithmes. Hubert Guillaud Signaler ce contenu comme inapproprié

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