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Définition du Digital Learning

Définition du Digital Learning
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La notion de digital learning désigne la présence du numérique dans les contenus de formation, que cette dernière soit présentielle (en salle) ou e-learning (en ligne)[1]. Elle est directement liée à l’omniprésence des nouvelles technologies dans la société, aussi bien dans la vie personnelle que dans la vie professionnelle. Ce phénomène influence les comportements de l’ensemble des acteurs de la chaîne d’apprentissage : en amont, les équipes de professionnels spécialisés dans la création, la gestion et la diffusion de formations ; en aval, les salariés et autres partenaires qui sont les apprenants. Le digital learning apporte avec la numérisation des supports de formation plus d’interactivité dans la formation. La présence de la formation à distance depuis les années 1990 en France contribue largement à l’expansion et l’adoption du digital learning dans les entreprises[2]. Terminologie[modifier | modifier le code] Le terme digital est : Related:  lauthomathlav

Adaptive learning : apprendre à l'ère numérique L’adaptive learning est une méthode d’apprentissage, désormais informatisée, qui adapte les ressources selon l’activité de chaque apprenant. Un concept pédagogique ancien remis au goût du jour. D’une origine théorique… L’adaptive learning prend ses racines dans la psychologie cognitive des années 1950 et est repris lors des recherches sur l’intelligence artificielle dans les années 1970. Chaque apprenant a sa façon de mémoriser les connaissances qu’il engrange. … à une utilisation technologique Si l’adaptive learning ne s’est pas imposé jusqu’à aujourd’hui, c’est qu’il dispose à présent des nouvelles technologies pour le mettre en pratique. 4 critères pour une plateforme efficace d’adaptive learning Un programme d’adaptive learning doit : S’adapter au rythme d’apprentissage de l’apprenant Des recherches ont montré que permettre aux apprenants d’étudier à leur propre rythme est une méthode d’apprentissage efficace. Prendre en compte le niveau de connaissances Source de l’image : Maxisciences

Big Data, ou la mine d’or vertigineuse de toutes les données Web Ce billet a été lu 2033 fois. À votre tour? Qu’est-ce que la Big Data? L’ère de la rupture Nous traversons une période de rupture: le monde se numérise. La Big Data Depuis l’apparition de l’internet haut débit, photos, vidéos, sons, chiffres, textes sont devenus des quantités d’informations tellement importantes qu’il est impossible de les traiter avec les outils ordinaires d’analyse. Des chiffres à en couper le souffle Chaque jour, ce sont 118 milliards de mails qui sont échangés à travers le monde, 2,45 milliards de contenus différents qui sont postés sur Facebook. La Big Data, c’est donc cette quantité exponentielle d’informations que les internautes, les entreprises, et même les Etats déversent sur la toile. Des données exploitables Du coup, des logiciels informatiques ont été mis au point pour brasser cette quantité foisonnante de données. Toutes ces données sont devenues une ressource assez similaires aux matières premières concentrées comme le pétrole. Un nouveau modèle économique

Du E-Learning à la digitalisation de l'expérience apprenante On entre dans une nouvelle ère de la E-Formation. Longtemps centrée sur la seule digitalisation du contenu (E-Learning, Rapid E-Learning, Serious games…), la E-Formation est en train d’évoluer grâce au social learning, et plus globalement à tous les outils digitaux, vers la digitalisation de l’éxpérience apprenante. Et les opportunités à saisir sont prometteuses. Du E-Learning au Rapid E-Learning 1997 – 2005 : Le E-Learning fait Pschitt ! 2006 – 2012 : le E-Learning se mue en rapid E-Learning. Les thuriféraires du E-Learning s’enthousiasment. Serious games et social learning Hop ! Heureusement, l’évolution de la technologie ne s’arrête jamais. L’autre piste, plus récente, est le social learning. L’enthousiasme que soulève le social learning est égal à celui qu’a suscité le E-Learning ou les serious games. Le piège de l’apprenant acteur de sa formation E-Learning, rapid E-learning, serious games, social learning… toutes ces modalités ont un point commun.

Que nous prépare le web 3.0 ? web sémantique ubiquitaire symbiot 01Business le 16/10/09 à 16h46 sommaire Le Web 2.0 fait une entrée timide dans les entreprises et voilà qu'on annonce le 3.0. Dans l'industrie du logiciel, un numéro de version correspond à la configuration d'un produit à un instant t. Le succès du 2.0 : blogs et réseaux sociaux… Cette version 2 du Web désigne de manière consensuelle les interfaces et les applications permettant aux utilisateurs d'interagir avec le contenu des pages mais aussi entre eux : c'est celui qu'on peut éditer, centré sur les communautés, fait de blogs, de médias sociaux, d'XML, de flux RSS, d'applications Web… Ses figures emblématiques sont Wikipedia et Google. Alors, de quoi sera fait le Web 3.0 ? Bien que tout le monde ne soit pas d'accord sur la définition du web 3.0, c'est pourtant ce terme que nous allons utiliser pour désigner de manière générique toutes ses évolutions. Topographie des discours sur le Web 3.0

Petite histoire du Web sémantique J'ai écrit le texte de ce billet en guise d'introduction aux technologies du Web sémantique pour le projet de publication selon les règles du Web de données du thésaurus pour l'indexation des archives locales publié par les Archives de France que j'ai mené pour Atos Origin avec le Service Interministériel des Archives de France au printemps 2010 (et sur lequel il faudra que je trouve le temps de revenir sur ce blog pour vous en dire plus...). Claire Sibille, conservateur en chef au SIAF, m'a très gentiment donné l'autorisation de republier ces textes sur mon blog. Je l'en remercie. Il s'agit d'une introduction générale en trois parties dont ce billet est la première : Si le Web sémantique commence à être médiatisé aujourd'hui, ses fondements sont plus anciens, ils remontent aux origines même du Web et ont connu plusieurs évolutions dont l'histoire permet de mieux appréhender les enjeux. Diapo de la présentation de Tim Berners-Lee à WWW94 Le premier « Layer cake »

Rapid Learning, « Rapid » en quoi Rapid Learning, micro learning, nano learning… autant de « learning » qui nous font tourner la tête pour comprendre ce que ces termes cachent dans le fond ! Concentrons-nous sur le Rapid Learning. Est-ce que le Rapid Learning signifie qu’on apprend plus rapidement ? Une optimisation du temps de production Le Rapid Learning, version courte de « Rapid e-learning Development », est bien une manière de produire des cours en ligne plus rapidement. D’accord, mais est-ce que ce sont des formations ou des présentations en ligne ? Une production à moindre coût Une chose est sûre : le Rapid Learning passe bien par l’utilisation d’un outil (souvent appelé outil auteur), qui permet à quiconque sans compétence particulière en informatique, graphisme ou ingénierie pédagogique multimédia de créer et produire du contenu en ligne, en minimum de temps et donc à moindre coût. Avantage indéniable : l’optimisation du temps pour créer du contenu en ligne, le diffuser et permettre de (s’in)former.

Rapport CES 2017 Chose promise, chose due, voici comme prévu le magnifique Rapport de CES de Las Vegas 2017, 12eme édition ! C’est le compte-rendu le plus détaillé et exhaustif que vous trouverez dans la galaxie, ou dans le système solaire pour rester modeste, de cette énorme foire aux gadgets numériques ou pas qu’est le CES de Las Vegas. Vous y découvrirez même une bonne part de l’actualité de l’année qui n’est pas forcément exposée dans ce salon gigantesque. Le CES de Las Vegas n’est qu’un prétexte pour vous proposer un vaste tour d’horizon ! Ce rapport complète mon habituel résumé des points clés que j’ai publié le lendemain de la clôture du CES 2017. Allez, hop hop hop, téléchargez le rapport ! Ce Rapport est toujours téléchargeable gratuitement sous forme de fichier PDF, et je ne vous assomme toujours pas en vous demandant de saisir quelque identité que ce soit. Le rapport est toujours publié dans ce bon vieux format PDF. Découvrez les points saillants de l’édition 2017 Je peux vous aider !

Vidéo 1 - Education : comment fonctionne la classe inversée qui bouleverse les habitudes ? La méthode d'enseignement de la classe inversée est en vogue. En France, entre 15 000 et 20 000 enseignants d'école élémentaire, de collège et lycée l'appliquent déjà. Les élèves apprennent le cours chez eux et travaillent les exercices en classe. À l'occasion d'une semaine d'information, du 30 janvier au 4 février, consacrée à cette méthode, les enseignants qui la pratiquent ouvrent leur classe à leurs collègues intéressés, comme au collège de Ballancourt, dans l'Essonne. Vue de l'extérieur, l’application de la classe inversée est déroutante. Le principe de la classe inversée implique que le cours se déroule hors de la classe, par exemple à partir d’une courte vidéo réalisée par le professeur, regardée par les élèves à la maison ou au collège sur le temps libre. Le temps en classe, lui, sert aux exercices en petits groupes. Mathématiques, histoire-géographie, sciences et vie de la terre, musique, plusieurs enseignants appliquent la pédagogie inversée au collège de Ballancourt.

Définition du Rapid Learning Ce terme en vogue désigne littéralement apprentissage rapide. Il s’agit d’une méthode regroupant des outils ayant pour objectif la production de contenus pédagogiques multimédia ayant pour vocation une assimilation rapide. En quoi diffère donc le Rapid Learning de l’autre forme interactive de formation à distance, à savoir le e-learning ? Quels en sont les supports et les avantages ? Définition du Rapid Learning Certains n’arrivent pas à déterminer si le Rapid Learning est à classer parmi les techniques de production ou plutôt comme un style pédagogique. Toujours est-il que le Rapid Learning se distingue de son aîné par une rapidité dans la conception et l’utilisation des cours. Avantages du Rapid Learning Les outils du Rapid Learning permettent de réaliser des modules transmissifs courts dont la vitesse tient à la fois dans la conception et dans l’apprentissage et dont les avantages majeurs sont : Inconvénients du Rapid Learning

Quelques chiffres sur les pratiques d'évaluation des formations des entreprises européennes Comme nous l'avons indiqué précédemment sur ce blog, nous avons initié l'édition 2011 de notre étude sur les pratiques d'évaluation des formations des entreprises françaises. La synthèse l'étude 2010 avait notamment permis de constater la prédominance des évaluations de niveau 1 (réactions/satisfaction) et une plus grande rareté des évaluations aux niveaux supérieurs (ex : apprentissage, transfert/comportements, etc.). S'agit-il là d'une spécificité franco-française ? A titre de réflexion, le tableau ci-après regroupe quelques chiffres d'études menées auprès d'entreprises européennes afin de caractériser leurs pratiques d'évaluation des formations. (cliquez sur l'image pour l'agrandir) La lecture de ces chiffres amène trois constats : Les pratiques d'évaluation des formations, en France comme en Europe, semblent donc encore peu développées.

Comprendre Tin Can API : ce que cela change pour le e-learning Qu’est-ce que Tin Can API ? Tin Can API (ou Experience API, ou encore xAPI, selon que l’on utilise le nom donné par ses auteurs ou par leur mandant) est une norme récemment finalisée qui s’inscrit dans un dispositif destiné à remplacer SCORM. Comme sa prédécesseure, Tin Can API sert à suivre des activités de formation et à les transmettre à une plateforme de gestion de formation. Pourquoi remplacer SCORM par Tin Can API ? Tin Can est né de la volonté d’ADL, déjà à l’origine de SCORM, de proposer une norme plus souple et adaptée à la multiplicité des “unités de formation” (comme SCORM 2.0 avait essayé de le faire auparavant). Comment exploiter cette souplesse nouvelle ? L’objectif d’une norme plus souple est de permettre le suivi d’activités plus riches et pas forcément linéaires. Source : Rustici Software, Exemples de scénarios basés sur Tin Can API Assez de théorie, voyons pourquoi il y a lieu de se réjouir de l’arrivée de Tin Can. L’article vous a plu ?

Pour un marketing continu de la formation continue (e-learning letter) Les données remontées par les plateformes LMS témoignent d’un phénomène bien connu, mais occulté, des responsables formation : les apprenants sont moins séduits qu’on aurait pu le croire par les offres e-learning du département formation. Ils ne se connectent pas si facilement ; et quand ils se connectent, c’est pour picorer sur le portail sans toujours aller loin dans leur parcours de formation sauf si c’est une obligation (par exemple quand la formation débouche sur une habilitation nécessaire au poste de travail). Phénomène connu, déception aussi, car les responsables formation ne ménagent pas leurs efforts pour proposer un portail, des contenus et des services souvent de grande qualité. Dans un tel marché, la fonction marketing prend une place essentielle. Pour résumer : la formation continue mérite un marketing continu. Michel Diaz

Pratiques RH au quotidien » Formation informelle, apprentissage et création de valeur À l’ère du numérique et du Big Data, beaucoup des produits ou des services qui occupent les premières places des marchés ont été imaginés par des innovateurs, et souvent des réseaux d’innovateurs. L’histoire longue de la formation oppose régulièrement ceux qui considèrent que sa finalité première est la transmission d’un savoir existant à ceux pour qui elle est avant tout de former des esprits libres et créateurs, en les aidant à transformer leur expérience en connaissance transférable et en action. Cependant, au-delà du socle nécessaire de savoirs fondamentaux, la connaissance stratégiquement différenciante est celle à laquelle les concurrents n’ont pas encore accès. Que les apprentissages soient formels ou informels, intentionnels ou fortuits, individuels ou collectifs, comment les rendre possibles et en recueillir les fruits ? Une notion qui échappe aux statistiques En réalité, ce sont les conditions d’attribution du diplôme qui sont formelles, pas la démarche d’apprentissage.

Vidéo 1 : La veille, maintenant fonction-clé de la formation Question posée aux 369 inscrits du webinar co-animé le 11 février par Féfaur et Saba : quelles sont vos principales modalités de veille sur la formation ? Loin devant (93%) : la veille en ligne, (démonstrations, webinars, livres blancs…). On ne peut bien sûr sous-estimer ce biais : les répondants à ce sondage en train de participer à un webinar… Tout de même, la veille en ligne s’arroge l’essentiel, de très loin, alors que la seconde position est occupée par les salons ou les séminaires, avec seulement 43% des citations. Des chiffres qui feront réfléchir les offreurs : sauf à disposer d’un budget suffisant pour tout type d’actions, il vaut mieux concentrer ses moyens sur le “online” aujourd’hui privilégié par les responsables formation. Pour en savoir plus : Connaître les tendances du Digital Learning pour mieux décider

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