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A quelles influences les cyberacheteurs sont-ils sensibles ?

Hygiène-beauté : la révolution silencieuse Added Value et Kantar Worldpanel (deux sociétés du groupe Kantar) ont présenté les résultats d'une étude commune sur "La révolution silencieuse" qui analyse les offres d’hygiène et de beauté "durables" et leur impact sur les comportements d’achat des foyers. Cette double approche est intéressante : l'étude fournit ainsi les nouveaux profils de consommateurs établis sur la base de la segmentation développement durable de Kantar Worldpanel mais aussi sur la réalité des comportements d’achat réels de produits d’hygiène et de beauté "durables" (et non sur celle des seules intentions d’achat) via l’étude Greenprint de Kantar Worldpanel(*). Par ailleurs, un décodeur présente les différentes offres et codes de communication utilisés par les marques d’hygiène et de beauté pour les produits durables. L'analyse donne enfin les perspectives d’avenir. Deux profils de consommateurs : les pionniers et les adopteurs Mais, que représentent les produits bio ou naturels pour les Français ?

Why All Advertising Will Be Social – Navigating the Social Brand Map "Data Driven Thinking" is a column written by members of the media community and contains fresh ideas on the digital revolution in media. Today's column is written by Rob Leathern, CEO of XA.net. XA.net’s optim.al is a Social Media Ad Platform. Names and signs were very much what early advertising was about: in the Middle Ages, these signs were the way to find the cobbler, miller, tailor or blacksmith. Not until quite recently has a company or brand again been able to point to actual people by name as customers or fans of their brand, instead of faceless 10-year-sized demographic groups like “women, 25-34”. The Social Brand Map is like a contour map that shows the topography of a product or service across the media and information landscape and indicates not just the breadth of its reach, but the importance (the elevation if you would) and attention that it commands in those various areas. Social media today appears to be a lot about (3), (4) and (5) above.

Internet : e-Commerce et media sociaux, une relation naissante Patti Freeman Evans, analyste pour Forrester, vient de publier une nouvelle étude sur l’utilisation des media sociaux par les marques et les distributeurs européens pour améliorer leurs relations avec les acheteurs en ligne. Un long chemin reste encore à parcourir même si la plupart d’entre eux commencent à prendre la mesure de la puissance de ces nouveaux media. Pour mener cette analyse, Forrester a interrogé 14 155 consommateurs en France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Suède et au Royaume-Uni, au troisième trimestre 2009 ; et a passé en revue les sites Internet de 50 entreprises européennes, dont 15 en France. Les media sociaux transforment radicalement la manière dont les internautes européens interagissent les uns avec les autres, mais sont encore peu sollicités pour connecter les marques aux consommateurs . En Europe, l’usage des médias sociaux dans le commerce émerge seulement. • 30 des 50 entreprises étudiées ont adopté les « ratings » et « review » de produits.

Idée.zip n°6 : 'Quand les marques répondent aux attentes non conscientes des consommateurs' Gerald Zaltman (cf Marketing Magazine N°164 p.23) part de constats provenant des nouvelles connaissances apportées par les neurosciences : non, le consommateur n'est pas rationnel. 95% de son activité cognitive se fait sous le seuil de conscience. Son corps, son esprit et son environnement ne sont pas des objets d'études indépendants. Non, le consommateur ne peut pas toujours expliquer son comportement, ni même raconter ses souvenirs avec précision. Sa pensée repose sur des images, plus que sur des mots. Face à cela, l'auteur nous pose une question : le monde a changé, comment avez-vous fait évoluer vos méthodes pour dépasser le déclaratif ? Parmi les solutions, l'auteur propose de s'appuyer sur le pouvoir des métaphores. Pour pouvoir poser ce regard nouveau sur ces clients qui pensent et agissent de façon non consciente, Zaltman suggère aux praticiens du marketing de "penser autrement", de stimuler leur pensée créative. C'est ce qu'illustre l'exemple suivant proposé par Zaltman.

taux de conversion e-commerce adwords emailing The Data Digest: Cross-Channel Shopping Behaviors To understand how consumers migrate across channels, we analyzed Forrester's European Technographics® Benchmark Survey to determine where they start their purchasing journey and where they end up buying the product. In general, shoppers tend to ultimately purchase in the channel in which they started their research. This inclination is stronger among shoppers who began their research offline: 91% of European shoppers who began their research offline also purchased offline. However, this purchasing journey differs by product. Summarizing, European online adults use a mix of channels to research and buy products, and the Internet is a key channel in the purchasing path.

Comment choisissent les consommateurs Publicité, emballages, catalogues… Tout un ensemble de dispositifs façonne l’offre et guide le consommateur dans ses choix. La sociologie économique décrit un consommateur ni rationnel, ni déterminé mais « équipé ». Le consommateur est l’un des principaux acteurs du marché, et l’économie fut la première discipline à fournir une modélisation de son comportement (1). Celle-ci repose sur trois hypothèses principales : le choix du consommateur est individuel, il se fonde sur une information parfaite tant sur l’offre disponible que sur le niveau de ses besoins et, enfin, doté d’un comportement rationnel, le consommateur cherche à maximiser son utilité, c’est-à-dire la satisfaction retirée des biens, sous la contrainte du budget dont il dispose (2). Article de 2911 mots.

Sens du client - Le blog des professionnels du marketing client Les recherches d'avis clients ne passent pas par Facebook Malgré la popularité des réseaux sociaux, les cyberacheteurs en recherche d'information produit ne font pas confiance à leurs amis. Les avis de consommateurs ont beau être très consultés par les cyberacheteurs, les recommandations postées par leurs amis sur Facebook les intéressent nettement moins, affirme Lightspeed Research dans sa dernière étude. En effet, les Européens ne considéreraient pas les réseaux sociaux comme des sources d'information utiles, lorsqu'ils cherchent des renseignements sur Internet avant d'acheter en ligne. En France, seuls 5 % des internautes cherchent des avis en ligne sur des réseaux sociaux avant d'acheter, une proportion qui ne dépasse pas 7 % au Royaume-Uni et 8 % en Allemagne. A 72 %, les internautes français se tournent vers les moteurs de recherche, qui devancent les sites des marchands eux-mêmes (56 %) et les associations de consommateurs (36 %).

Le néo-consommateur : une espèce en voie d’apparition ou le consommateur 2.0 Le consommateur d’aujourd’hui aspire à consommer différemment. Il a d’autres envies, d’autres ambitions pour lui-même et est en train d’adopter de nouvelles habitudes de consommation. En effet, si la crise économique de 2008 est à l’origine de l’émergence du néo-consommateur, celui-ci est cependant le fruit de mutations plus profondes qui ont donné naissance à de nouvelles tendances de consommation. 1. La crise économique à l’origine de l’émergence du néo-consommateur L’attention des consommateurs a toujours été focalisée sur leur pouvoir d’achat. Cette crise de 2008 a tout d’abord entrainé une perte de repère de la part des consommateurs, qui se sont alors réfugiés dans les valeurs sûres : la recherche de prix bas, ou tournés vers de nouveaux médias pour consommer. 1.1 Une perte des repères de la part des consommateurs Trois causes à ceci : 1.2 Réaction immédiate des consommateurs : les valeurs sûres Recherche de prix bas Développement de nouvelles pratiques d’achat suite à la crise 2.

Les pure players vont-ils rester les acteurs favoris des web-acheteurs ? Neuilly-sur-Seine, le 8 décembre 2011 Les pure players vont-ils rester les acteurs favoris des web-acheteurs ? Les pure players vont-ils rester les acteurs favoris des web-acheteurs ? Le cabinet d’audit et de conseil PwC publie une étude comparative sur les comportements et motivations du web-acheteur dans sept pays. En France, plus d’un web-acheteur sur 5 a effectué son premier achat en ligne ces 12 derniers mois. « D’après notre étude, en France, 23% des web-acheteurs ont effectué leur premier achat au cours des 12 derniers mois, ce qui révèle un réservoir de croissance pour les années à venir » commente Olivier Vialle, associé PwC « Les achats en ligne sont devenus un rite incontournable, puisque 2/3 des web-acheteurs passent commande au moins une fois par mois, alors que 10% seulement sont des acheteurs occasionnels. » D’après cette étude de PwC, la France se situe donc « dans la moyenne » des pays étudiés. La pertinence du e-commerce reste limitée pour certaines catégories

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