background preloader

Développement durable et luxe sont-ils compatibles ?

Développement durable et luxe sont-ils compatibles ?
Un mariage contre nature... Souvent associé au gaspillage et à l'ostentation, le luxe paraît aux antipodes du développement durable qui, pour sa part est associé à la recherche de sobriété et à une réflexion profonde sur la consommation responsable. Lorsque le luxe s'associe à la liberté de création, à la beauté et au plaisir personnel, le développement durable tend à être associé à un monde contraignant, simple et relativement austère, mettant l'altruisme en avant. Le luxe et la valorisation de ce qui est rare Jean Noël Kapferer, professeur à HEC et co-auteur du livre Luxe Oblige explique : « Le luxe est par essence très proche des préoccupations du développement durable car il se nourrit de la rareté et du beau et a donc intérêt à les préserver. Le luxe DD n'est-il que du Green Washing ? Les codes d'un nouveau luxe Face à l'urgence de la situation et aux pressions faites sur l'univers du luxe, de nouveaux codes semblent apparaître. Source : ABC-luxe.com

Le développement durable du luxe Le moins étonnant n’est pas que cette réussite apporte avec elle la preuve que la mondialisation n’est pas nécessairement un mal puisqu’elle en est son principal moteur. Les grandes marques du luxe se sont engagées, dans les années 1980, dans le processus d’accélération de la mondialisation. Elles se sont rapidement globalisées, ce faisant elles ont abandonné les outils classiques du marketing et les approches commerciales devenues obsolètes; elles ont engrangé des profits considérables. Les diverses stratégies mises en œuvre par les Maisons du luxe – stratégie de niche, stratégie de portefeuille, stratégie internet, diversification, extension de gamme, spécialisation, ou rachat et intégration des artisans – leur ont permis de se mettre à l’abri des aléas de la conjoncture économique. On aurait tort de croire que la clientèle de l’industrie du luxe n’est constituée que des classes socio-professionnelles les plus élevées économiquement, ou des élites.

Venez donc chez moi, il y a une taxe (carbone) ! - Blogs Intelligence économique Vue depuis l’Australie, le bras de fer qui oppose l’Union Européenne à la majorité des pays membres de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (26 sur 36), prend un tour préoccupant. Rappelons rapidement quelle est la situation : depuis le 1er janvier 2012 l’Union Européenne a institué un système de permis à polluer dans l’espace européen se traduisant par une taxe dite « taxe carbone ». Elle touche potentiellement près de 4300 sociétés dans le monde et leur coûtera 1milliard de dollars US en 2012. Aujourd’hui certains états poussent leurs compagnies à refuser de payer cette taxe, d’autres, comme la Chine, menacent de prendre des mesures de rétorsion en gelant des achats d’avions pourtant programmés (Airbus), d’autres enfin voudraient imposer à leur tour, en représailles, une taxation aussi lourde, sinon plus lourde, si bien que certaines compagnies seraient taxées deux fois etc. Qui va payer ?

Le Luxe et le Développement Durable même combat ! L’Institut Européen de Formation au Tourisme (IEFT) de Paris a organisé, 12 mars dernier, sa conférence annuelle, proposée à ses étudiants et entreprises du secteur du tourisme. L’objectif est de créer un nouvel espace d’échanges, en présence de professionnels reconnus, d’enrichir le programme pédagogique et de confronter les étudiants aux réalités du marché. Les réflexions se sont orientées autour de l’expansion des activités touristiques de luxe et de leur avenir Aujourd’hui le développement durable n’est plus un sujet marginal. Il est devenu incontournable pour les entreprises car à la fois source de contraintes, mais aussi d’opportunités, quant à la formulation de leurs stratégies. Le développement durable est un mode de développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. L’enjeu pour le développement durable est qu’il soit désormais considéré ccomme une source potentielle d’innovation et de croissance

La Grèce est-elle en faillite sans défaut de paiement La question est d’autant plus légitime que les derniers jours ont donné lieu à un assaut d’interprétations basées sur plusieurs aspects de l’accord du secteur privé, qui ne sera confirmé que le 8 mars. Il est difficile de considérer que la Grèce est en défaut de paiement lorsque ses créanciers se mettent d’accord sur une forme de restructuration de sa dette souveraine. Si les accords se confirment, en effet, le gros de la dette grecque sera restructuré sur 30 ans et elle sera diminuée des 107 milliards d’euros que les banques vont accepter de perdre. Il s’agit bien évidemment d’une grande histoire de science-fiction. Depuis deux ans, la Grèce vit de prêts de l’ECB, du FESF, du FMI, du FESM et d’autres banques centrales et n’a plus accès au marché des capitaux privés. Derrière ces arguments techniques et juridiques se profilent des intérêts considérables. Cette remise en question de la garantie des CDS pourrait avoir pour conséquence de diminuer leur encours.

En temps de crise, le luxe redevient durable C'est un sujet délicat qui revient souvent dans les commentaires de ce blog : l'écologie serait un truc de bobos, et seuls les plus riches pourraient se payer le luxe d'une consommation responsable. Mais interrogeons l'épineuse question du luxe, justement: ce secteur de l'économie ne connaît pas la crise et son image est souvent associée à celle des paillettes, du strass et de l’argent qui coule à flot, entre mélange d’excès en tout genre et de futilité assumée. Ceci étant, le vrai luxe n’est-il pas plus durable qu’on ne le pense ? D’ailleurs, quels sont les vrais luxes aujourd’hui ? Un luxe sans classe Tiré par la hausse de la consommation des riches chinois ou brésiliens, le secteur du luxe connaît une croissance impudique: ses ventes ne cessent de croître, et le fossé continue de se creuser entre les plus riches et les plus pauvres. Il y a luxe... et blinbling ! Cécile Lochard - Photo: Ocean/Corbis Slow Made Être soi Anne-Sophie Novel / @SoAnn sur twitter

What money can't buy - UN discusses happiness as a measure of progress The High Level Meeting “Happiness and Well-being: Defining a New Economic Paradigm” was hosted on 2 April by the Government of Bhutan at the UN headquarters in New York. It brought together hundreds of representatives from governments, religious organisations, academia and civil society to discuss the issue. Prime Minister of Bhutan, Lyonchoen Jigmi Yoezer Thinley The discussion was chaired by Jacqueline McGlade, Executive Director of the European Environment Agency (EEA). “The economic crisis, accelerating environmental degradation and growing discontent around the world all point to one conclusion – GDP as the sole measure of success has reached the end of the road,” she said. “In the future we will look back on this meeting as a turning point – it is now evident that many of the most influential people in the world agree that we need to reconsider what makes us happy. What makes us happy? Happiness and Rio+20 UN press release

Quand le luxe découvre le développement durable… | Marchands de Luxe Vous êtes tiraillé entre votre fibre écolo et votre goût du beau et du luxueux? Ne vous en faîtes plus! Ce billet vous convaincra que, loin d’être contradictoire, le luxe et le développement durable peuvent faire bon ménage. Alléluia! C’est le salon 1.618, un salon sur le luxe et le développement durable qui se tiendra à Paris le 29 mars prochain, qui m’a inspiré ce sujet passionnant. Les valeurs du développement durable (l’intégrité de l’environnement, l’équité sociale et l’efficience économique) sont en effet de plus en plus présentes dans la vie des consommateurs et acceptées dans la société, du moins au Québec. Le salon 1.618 Le salon 1.618 nous invite justement à célébrer ces marques de luxe qui ont décidé d’agir selon les principes du développement durable. Mais qu’ont en commun le luxe et le développement durable? Quelques marchands de luxe sensés … Via Hermès Via Norlha Quoi faire avec le développement durable? Et vous? Alors, qu’en pensez-vous? Luxueusement vôtre, Gabrielle Aimer :

Dette publique, la conjuration des bonnes idées, par Laurent Cordonnier En s’accordant, lors du sommet européen du 9 décembre 2011, sur un nouveau pacte budgétaire intergouvernemental, les chefs d’Etat européens ne se sont pas seulement entendus sur une condamnation des peuples de l’Union aux fers et aux chaînes de la rigueur perpétuelle, ils ont aussi pactisé sur le renoncement à deux idées qui faisaient leur chemin : faire payer les banques, comme l’avait défendu l’Allemagne pour traiter du cas de la Grèce, et encourager la Banque centrale européenne (BCE) à racheter les titres de dette des pays attaqués, comme le souhaitait la France. Donnant-donnant : il fut convenu de ne plus embêter son voisin avec une idée qui le dérangeait. Sans doute aussi qu’en fermant à clé les issues de secours, les uns et les autres pensaient apaiser les flammes de l’incendie. Les issues se rouvriront certainement sous le souffle de l’explosion. Le plus étonnant est plutôt le refus obstiné d’envisager un rachat substantiel des titres de dettes publiques par la BCE.

Un salarié français coûte en moyenne 50 850 euros par an à son employeur Un salarié français coûte en moyenne 50 850 euros par an à son employeur, pour un coût horaire du travail proche de 32 euros dans les entreprises de dix salariés ou plus du secteur marchand, selon des chiffres de 2008 publiés mercredi 23 février par l'Insee. Ce coût horaire moyen (31,82 euros) en 2008 masque de fortes disparités, puisqu'il varie de 21 à 49 euros selon le secteur d'activité. Il est le plus élevé dans le secteur des banques et des assurances (49,01 euros) et la production et distribution d'électricité et de gaz (46,09). A l'autre bout de l'échelle, le coût est deux fois moindre dans l'hébergement-restauration (21,11 euros) et il reste inférieur à 30 euros dans le commerce et la construction. Le coût horaire croît avec la taille de l'entreprise. Ainsi, dans les entreprises manufacturières de plus de 1 000 salariés, il est supérieur de 50 % à celui des entreprises de 10 à 49 salariés.

Why proximity matters for innovation One San Diego business launched after two acquaintances chatted over drinks during a football game. Another was formed by parents who met through their children's school. As the community and its entrepreneurs thrived on real-world -- rather than online -- interactions, several local business owners sought to make regional connections even stronger. They launched the non-profit San Diego Sports Innovators to help turn local links into successful companies. The networking group helps fledgling sports inventors -- more than 40 since 2010 -- grow their businesses by connecting them with mentors. "It's just the nature of life," said John Sarkisian, a board member of the nonprofit and the chief executive of a sports training equipment manufacturer. San Diego is hardly the first region to be known as an industry hub: California's Silicon Valley is synonymous with technology companies. Geographic proximity was deemed important to collaboration and innovation -- but why?

Related: