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Conscience

Conscience
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. « Pensées tourbillonnantes », une représentation photographique sur la question de la conscience : comment la conscience peut-elle être expliquée en termes de processus cérébraux ? Où se trouve le siège de la conscience ? La conscience est un phénomène difficile à définir précisément en raison de la difficulté à comprendre sa nature et ses contours, d’autant qu’il est loin d’être certain que ce qui cherche à la comprendre, la conscience elle-même précisément dont la raison est un outil stylisé, soit capable de se saisir elle-même (« le couteau ne peut se couper lui-même » disent les bouddhistes). D'un point de vue éthique ou moral, elle est également la faculté de discerner bien et mal. Polysémie[modifier | modifier le code] Le terme de conscience peut être distingué en plusieurs catégories : Représentations[modifier | modifier le code] La conscience de soi est bien illustrée en médecine, surtout au niveau individuel.

Conscience (biologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La conscience, telle qu'elle était conçue au XVIIe siècle. Robert Fludd, Utriusque cosmi maioris scilicet et minoris […] historia, tomus II (1619), tractatus I, sectio I, liber X, De triplici animae in corpore visione. En biologie, la conscience regroupe le sens de l'éveil, la connaissance de soi et la perception de l'environnement[1]. L'étude de ce phénomène a été longtemps négligée sur le plan scientifique, faute d'outils conceptuels et expérimentaux[2], tandis qu'il faisait l'objet d'intenses débats dans les domaines de la philosophie, de la métaphysique et de la religion. Dans les années 1980, les études du phénomène de la conscience concernaient surtout l'attention. En comparant les données expérimentales provenant d'animaux, de personnes en bonne santé et de patients ayant des troubles de la conscience, il est possible de caractériser différents états de conscience et niveaux de consciences. La conscience fruit de plusieurs phénomènes :

8 Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Voir aussi : ⁸, ₈, ⑧, ❽, ➇, ➑, ⑻, ⒏, 8, 𝟖, 𝟠, 𝟪, 𝟴 Caractère[modifier | modifier le wikicode] Chiffre arabe huit. Vocabulaire apparenté par le sens[modifier | modifier le wikicode] Conventions internationales[modifier | modifier le wikicode] Numéral[modifier | modifier le wikicode] Transcriptions dans diverses écritures[modifier | modifier le wikicode] Vocabulaire apparenté par le sens[modifier | modifier le wikicode]

Qualia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les qualia sont les propriétés de la perception et généralement de l'expérience sensible. C'est ce qu'on ressent lorsqu'on perçoit ou ressent quelque chose : qu'est-ce que ça fait de voir un objet rond, rouge et granuleux ? Par définition, les qualia sont inconnaissables en l'absence d'une intuition directe : on ne peut pas faire connaître le rouge, ou la couleur en général, à quelqu'un qui ne la connaît pas directement. Le mot qualia (à prononcer /ˈkwɑlia/, au singulier quale) vient du latin qualis qui signifie quel, de quelle sorte, de quelle espèce, de quelle nature[1]. Définition[modifier | modifier le code] Daniel Dennett distingue quatre propriétés généralement attribuées aux qualia : Les arguments[modifier | modifier le code] Arguments défavorables[modifier | modifier le code] Quelques questions à propos des qualia[modifier | modifier le code] Les qualia existent-ils ? Qualia et conscience artificielle[modifier | modifier le code] Daniel C.

Maurice Merleau-Ponty Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Maurice Merleau-Ponty Philosophe français Époque contemporaine Biographie[modifier | modifier le code] L'enseignant[modifier | modifier le code] À l'âge de cinquante-trois ans, il meurt d'un arrêt cardiaque le soir du , assis à son bureau, où la Dioptrique de Descartes était encore ouverte[2]. « Il laisse une œuvre considérable, inachevée, et singulièrement un livre auquel il travaillait et qui devait constituer son chef-d'œuvre : “Les aventures de la Dialectique” »[3].Claude Lefort est l'exécuteur testamentaire de l'œuvre de Maurice Merleau-Ponty [4]. La rupture avec Sartre[modifier | modifier le code] Philosophie[modifier | modifier le code] Le primat de la perception[modifier | modifier le code] La corporéité[modifier | modifier le code] René Descartes Le langage[modifier | modifier le code] Voir aussi philosophie du langage. Ferdinand de Saussure Les arts[modifier | modifier le code] Les joueurs de cartes, Paul Cézanne

univers Définition, traduction, prononciation, anagramme et synonyme sur le dictionnaire libre Wiktionnaire. Français[modifier | modifier le wikicode] Étymologie[modifier | modifier le wikicode] Emprunté au latin universum de même sens, dérivé de l’adjectif universus (« tourné d’un seul élan vers » au pluriel et « tous ensemble » au neutre singulier, traduction du grec τό ὅλον « le tout », « l'univers » ), lui-même composé de uni- (« un ») et versum (« tourner ») - un univers est « uni vers », « versé dans une même direction », « tourné vers un but commun ». Ce qu’il « en retourne d’un univers, c’est son unité ». Nom commun[modifier | modifier le wikicode] univers /y.ni.vɛʁ/ masculin, singulier et pluriel identiques Variantes orthographiques[modifier | modifier le wikicode] Univers (particulièrement en astronomie) Synonymes[modifier | modifier le wikicode] Antonymes[modifier | modifier le wikicode] microcosme Apparentés étymologiques[modifier | modifier le wikicode] galaxie univers sur Wikipédia

Conscience de soi et existence - 2 II. La perspective de la mort ; plus exactement, un seul point de vue, faute de mieux. De là un « grand écart mental » extrême : dans mon avenir (chronologique), je suis sûr de ma propre mort (encore en ignoré-je les circonstances ou la date précises : on pourrait donc dire que je ne suis sûr que de ma propre mort, élément constitutif de ma condition) ; et en même temps, dans la présence immédiate que la conscience réfléchie se manifeste à elle-même, je sais que je ne puis penser que je suis « absent » - encore moins que je ne suis pas. Dès lors, la conscience de ma propre existence ne peut se dissocier de l’angoisse face au néant, face à l’idée de ma propre mort ; et rétroactivement, cette angoisse ébranle toute confiance en soi. 1) La mort, seule valeur « sûre » La situation existentielle du sujet paraît paradoxale. 2) La mort n’est rien pour nous 3) La mort, source de valeurs Suite du cours : l'existence entendue comme continuité.

Sociologie pragmatique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sociologie pragmatique désigne la conjonction de différents courants sociologiques français inspirés par l'ethnométhodologie, la sociologie des sciences et la sociologie de la critique, et communément rassemblés sous cette formule depuis la fin des années 1980. Souvent qualifiée de style, la sociologie pragmatique n'est pas un courant unifié[1]. Cette perspective sociologique occupe au début du XXIe siècle une certaine place dans le paysage intellectuel contemporain et dans le champ des sciences sociales en France et ailleurs. Description[modifier | modifier le code] L'ambition de la sociologie pragmatique est d'opérer une série de dépassement par rapport à ce qu'elle appelle "la sociologie classique : Courant Pragmatique[modifier | modifier le code] Ce que l'on nomme « pragmatique » n'est pas une invention des sociologues à proprement parler. Certains auteurs parlent de « tournant pragmatique », d'autres de l'« âge de la pragmatique ».

Infini Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot « infini » (-e, -s ; du latin finitus, « limité ») est un adjectif servant à qualifier quelque chose qui n'a pas de limite en nombre ou en taille. La notion d'infini a fortement marqué la pensée occidentale depuis le XVIIe siècle : Alexandre Koyré affirme que « la substitution d'un univers infini et homogène au cosmos fini et hiérarchiquement ordonné de la pensée antique et médiévale implique et nécessite la refonte des principes premiers de la raison philosophique et scientifique »[1]. L'infini dans les cultures orientales[modifier | modifier le code] Mathématiques indiennes[modifier | modifier le code] L'infini et les Présocratiques[modifier | modifier le code] Les philosophes présocratiques étaient en fait les premiers physiciens (phusikoi). Les acceptions générales du concept de l'infini chez les présocratiques[modifier | modifier le code] Quelques points d’accords sur l’infini[modifier | modifier le code]

CONSCIOUSNESS, SITUATIONS, AND THE MEASUREMENT PROBLEM OF QUANTUM MECHANICS Bitbol, Michel (2008) CONSCIOUSNESS, SITUATIONS, AND THE MEASUREMENT PROBLEM OF QUANTUM MECHANICS. [Preprint] There are two versions of the putative connection between consciousness and the measurement problem of quantum mechanics : consciousness as the cause of state vector reduction, and state vector reduction as the physical basis of consciousness. In this article, these controversial ideas are neither accepted uncritically, nor rejected from the outset in the name of some prejudice about objective knowledge. Psycho-phénoménologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] L’acte de naissance de la psycho-phénoménologie se trouve dans le no 13[1] de la revue du Groupe de Recherche sur l’EXplicitation (GREX), Expliciter[2], datant de février 1996. Dans cet article, intitulé Pour une psycho-phénoménologie, Pierre Vermersch relate sa décision d’investir le champ de la recherche sur la subjectivité selon un angle particulier. Il fait alors le constat d’une nécessité théorique qui n’a pas encore trouvé sa voie : l’étude rigoureuse de la pensée privée. Depuis son travail de thèse, en 1976, Pierre Vermersch s’était consacré à l’élargissement du recueil de données des activités cognitives, tout d'abord en utilisant les enregistrements vidéo, puis, à partir des années quatre-vingt, en élaborant une méthode d’entretien, l’Entretien d'explicitation. Le point de vue phénoménologique[modifier | modifier le code] L’approche scientifique de l’introspection[modifier | modifier le code]

Vue Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Logo de la Vue L'œil est l'organe de la vue mais la vision, c'est-à-dire la perception visuelle, nécessite l'intervention de zones spécialisées du cerveau (le cortex visuel) qui analysent et synthétisent les informations collectées en termes de forme, de couleur, de texture, de relief, etc. Mécanisme de la vue dans l'œil[modifier | modifier le code] La lumière passe d'abord par la cornée. Plusieurs bâtonnets sont souvent reliés à un même neurone, il suffit qu'un seul bâtonnet soit illuminé pour que le neurone soit stimulé. L'œil est donc sensible uniquement à 3 plages d'ondes. Chaque cône ou bâtonnet est activé par la lumière, il passe ensuite à un état insensible pendant un certain temps, et redevient activable. Vue fovéale et vue périphérique[modifier | modifier le code] La discrimination sensorielle ( l'acuité ) de l'œil humain. Le système fovéal de l'œil humain est le point de haute acuité qui se concentre sur 3 à 4 fixations par seconde.

Carl Gustav Jung Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Carl Gustav Jung Carl Gustav Jung photographié en 1910 Carl Gustav Jung (prononcé [ˈkarl ˈɡʊstaf ˈjʊŋ] écouter) est un médecin, psychiatre, psychologue et essayiste suisse né le 26 juillet 1875 à Kesswil, canton de Thurgovie, et mort le 6 juin 1961 à Küsnacht, canton de Zurich, en Suisse alémanique. Penseur influent, il est l'auteur de nombreux ouvrages de psychologie et de psychosociologie en langue allemande traduits en de nombreuses autres langues. Carl Gustav Jung a été un pionnier de la psychologie des profondeurs en soulignant le lien existant entre la structure de la psyché (c'est-à-dire l'« âme », dans le vocabulaire jungien) et ses productions et manifestations culturelles. Père fondateur d'une psychologie des cultures, il a rassemblé autour de ses travaux des générations de thérapeutes, d'analystes et d'artistes. Biographie[modifier | modifier le code] Premières années[modifier | modifier le code]

Phénoménologie de la religion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La phénoménologie de la religion est la description du fait religieux. Cette discipline se propose d'étudier la conscience du croyant, sa conception du monde, et éventuellement, sa perception des faits religieux.[1] Largement tributaire de l'herméneutique religieuse — c'est-à-dire de l'analyse et de l'interprétation des textes bibliques —, la phénoménologie tente d'articuler la compréhension du fait religieux autour des différents sens des textes sacrés[2]. Histoire[modifier | modifier le code] La première apparition du terme « Phénoménologie de la religion » se trouve en « Lehrbuch der Religionsgeschichte » [3],[A 1] par Pierre Daniël Chantepie de la Saussaye (1848-1920), en 1887. Quelques chercheurs de phénoménologie des religions[modifier | modifier le code] Littérature[modifier | modifier le code] Martin Heidegger (trad. de l'allemand par Jean Greisch), Phénoménologie de la vie religieuse, Paris, Gallimard, (ISBN 978-2-07-074516-6)

Rayonnement électromagnétique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le rayonnement électromagnétique peut être décrit de manière corpusculaire comme la propagation de photons (boson vecteur de l'interaction électromagnétique), ou de manière ondulatoire comme une onde électromagnétique. Il se manifeste sous la forme d'un champ électrique couplé à un champ magnétique. L'onde électromagnétique et le photon[modifier | modifier le code] La lumière désigne un rayonnement électromagnétique visible par l'œil humain. Du fait de la dualité onde-corpuscule, les rayonnements électromagnétiques peuvent se modéliser de deux manières complémentaires : où est la constante de Planck. L'impulsion du photon est égale à L'énergie des photons d'une onde électromagnétique se conserve lors de la traversée de différents milieux transparents (par contre, une certaine proportion de photons peut être absorbée). La longueur d'onde est égale à : étant la vitesse de la lumière dans le milieu considéré pour la fréquence ν, avec

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