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Le dragon de la colère : une astuce pour aider l'enfant à prévenir ses colères

Le dragon de la colère : une astuce pour aider l'enfant à prévenir ses colères
Un enfant en colère est submergé. Son cortex préfrontal est déconnecté, ce qui le rend incapable de raisonner et de se maitriser. Le premier réflexe parental est d’assurer sa sécurité en le serrant fermement contre nous tout en lui parlant doucement. Nous allons voir aujourd’hui comment un enfant peut parvenir à garder le contrôle afin de ne pas atteindre le point de déclenchement avec une astuce : le dragon de la colère. Pleine conscience de la colère La colère ne se déclenche pas soudainement à partir d’un état de calme. C’est sur cette pleine conscience que nous allons travailler avec un exercice de visualisation dont l’élément principal est un dragon. Commencez par imprimer ce dragon (le fichier A4 est en bas de l’article): Expliquez à votre enfant que la peau du dragon change de couleur en fonction de son humeur. S’il est vert, tout va bien. A l’opposé, s’il est rouge, il s’apprête à cracher du feu : c’est la colère du dragon. Ainsi, lui seul a le grand pouvoir de le calmer. Commentaires

Gérer les moments de déconcentration avec un enfant présentant des troubles de l’attention … Partir en live, sortir de son corps, devenir zinzin, être à l’ouest, partir en vrille … ça vous parle ? Ces moments, vous les vivez avec vos enfants, tous les jours, ou de temps en temps ? Mais comment les gérez-vous ? A la maison, ces moments sont plutôt fréquents, répétés au cours de la journée, pendant un travail, pendant les temps libres, pendant les temps de toilette/habillage, pendant les temps de départ de la maison (ah, ce moment affreux où tu dois vraiment te dépêcher )… Milo aurait des troubles supposés de l’attention. Le tout est évidemment enrubanné de bienveillance, de communication non violente, parce que, oui, c’est la clé ! Le time timer Tout d’abord, voici un petit time timer magnétique qui accompagne désormais notre quotidien. Il est accroché sur la porte d’entrée de la maison, et sert pour accompagner les moments de toilette ou de travail, afin de favoriser la concentration durant la tâche à accomplir. Les moments de toilette/habillage sont difficiles à gérer pour Milo.

5 trucs pour améliorer la concentration pendant les devoirs Publié le 01-09-2015 à 14:01 Je suis une maman, une enseignante, j’ai un TDAH, mes enfants aussi et j’avoue que même si je suis capable d’enseigner à 27 élèves en même temps sans problème, à l’heure des devoirs, avec seulement mes deux enfants, c’est parfois… l’enfer ! Voici donc mes meilleurs trucs pour aider les enfants à améliorer leur concentration pendant la période des devoirs et des leçons. Truc #1: réunir des conditions gagnantes Combler les besoins primaires : un ventre creux ou une vessie pleine ne sont jamais des conditions très gagnantes. L’enfant a-t-il besoin de décompresser après sa journée, de se confier, de se défouler, etc. ? Couper les sources de distractions : télévision, radio, jeux vidéo, etc. Crédit photo FDMT Pour limiter le bruit, on peut mettre une musique de fond, utiliser des bouchons, des écouteurs ou encore des coquilles insonorisantes comme celles-ci. Position confortable : est-ce que les pieds de l’enfant touchent le sol ? Truc #2: déjouer l’agitation!

[Musique et santé] Cours de musique pour traiter la dyslexie - ça marche ! ►D'où vient l’hypothèse que les cours de musique pouvaient traiter la dyslexie ? Notre connaissance du cerveau a énormément évolué depuis une vingtaine d’années. Avant, on pensait que la musique et le langage étaient traités dans les zones complètement distinctes : le langage à gauche, la musique à droite dans notre cerveau. Nous nous sommes donc d’abord demandé si l’entrainement musical quotidien, pendant plusieurs heures, pouvait améliorer les facultés du langage et nous avons testé les musiciens, enfants et adultes. ► Et donc, par rapport à la dyslexie, quel serait l’effet de l’entrainement musical ? Nous avons travaillé à Rome et à Trieste, avec le concours de la Fondation Mariani, qui soutient les projets dans les domaines de la santé infantile, et en collaboration avec les services neuropédiatriques et neuropsychologiques locaux. * Institut de neurosciences des systèmes, Inserm/Université Aix-Marseille

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