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Full Printed

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Ils tenteront de nous pourrir l'impression 3D avec leurs DRM Nous sommes en 2023. Vous cassez malencontreusement une assiette. Vous allez tout naturellement chercher son fichier numérique sur le Net pour en créer une nouvelle sur votre imprimante 3D, en la modifiant éventuellement au passage pour l’adapter à vos besoins. En mai 2011 nous publiions une longue et riche traduction : L’impression 3D, ce sera formidable… s’ils ne foutent pas tout en l’air !. Nous y sommes désormais. Sauf qu’ici nous avons déjà nos propres imprimantes, logiciels et formats libres et ouverts. Comment les DRM vont infester la révolution de l’impression 3D How DRM will infest the 3D printing revolution Ryan Whitwam - 16 octobre 2012 - ExtremeTech.com(Traduction : Kurze, Dryt, Gatitac, goofy, Sylvain, Kiwileaks) Alors que vous étiez tout occupés à vous exciter et à déclarer que l’impression 3D est le début d’une nouvelle époque, une nouvelle loi sur les brevets s’apprête à pourrir l’ambiance. La première est le risque d’amalgame avec le P2P (échange de fichier peer-to-peer).

Sortira-t-il autre chose que des “Crottbjets” de nos imprimantes 3D Par Hubert Guillaud le 27/02/13 | 5 commentaires | 4,845 lectures | Impression Justin Pickard (@justinpickard) est écrivain, futurologue “gonzo” au sein du collectif de designers Superflux et doctorant au Steps, un centre de recherche international sur les facteurs sociaux, technologiques et environnementaux de la durabilité. Sur la scène de Lift (vidéo), il est venu parler de l’impression 3D, pour tenter de renverser notre perspective sur le phénomène technologique du moment. L’impression 3D est encore chère, bien plus chère que nos imprimantes de bureau. Image : Justin Pickard sur la scène de Lift, photographié par Ivo Näpflin. Justin Pickard choisit d’attaquer par des objets étranges, comme ceux trouvé à l’exposition itinérante 3D Print Show, notamment l’inquiétant Foetus Project de Jorge Lopes Dos Santos, étudiant au Royal College of Art. “En tant que designer, une grande part de l’anxiété que génère l’impression 3D est liée à la désintermédiation du design. Hubert Guillaud

Fab lab Un fab lab ou fablab[1] (contraction de l'anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace[2] cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation[3] en proposant un inventaire minimal[4] permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules[5], et une charte de gouvernance, la Fab Charter[6]. Pour être identifié en tant que fab lab par la FabFoundation, il faut passer par plusieurs étapes[7] et il est possible de suivre une formation à la Fab Academy[8]. Les fab labs sont réunis en un réseau mondial très actif, d'après son initiateur Neil Gershenfeld[9]. Les couleurs du logo représentent[10] : le vert : modèle commercial et économique ;le bleu : impact social et durabilité ;le rouge : recherche et éducation. Historique[modifier | modifier le code] Principes des fab labs[modifier | modifier le code] Fab City[modifier | modifier le code]

Click, Print, Gun: The Inside Story of the 3D-Printed Gun Movement Being a 3D-printing novice, I was once somewhat skeptical of the promise behind what's being billed as a truly game-changing technology. I saw Makerbot CEO Bre Pettis on the cover of Wired, and while the novelty of the process incited wonder in my inner 10-year-old, I didn’t think much about it after the fact. Enter Cody R. Wilson. Wilson is a 25-year-old University of Texas law student working to build semiautomatic weapons using 3D printers. His name first came up in conversation with a colleague after Wilson posted an Indiegogo pitch video demonstrating his intended use for a newly-acquired Stratasys 3D printer, which Stratasys subsequently repossessed. I was intrigued. Soon enough Wilson showed us the CAD file on his computer for his lower receiver. Social niceties aside, we were there to watch Wilson build some guns. It is also the part of the gun that’s considered a gun by the government.

Un abri lunaire construit avec une imprimante 3D en test à l'Esa En image, le chantier de fabrication du bloc expérimental. Le portique surplombe un tas de sable et une poutre porte le système d'injection du liant. Apprendre à réaliser une telle opération sur la Lune, même si elle peut être largement automatisée, prendra de nombreuses années... © Monolite UK Un abri lunaire construit avec une imprimante 3D en test à l'Esa - 3 Photos Pour réaliser des installations dans l’espace, sur la Lune ou sur d’autres planètes, le problème numéro un est le transport de matériaux depuis la Terre. On a compris depuis longtemps (cf. le physicien Gerard O’Neill et sa description de planètes creuses artificielles) qu’arracher péniblement des tonnes de matières premières à notre planète serait une méthode absurde. C’est l’idée suivie par l’Esa (et aussi par la Nasa) pour des constructions lunaires réalisées avec le régolite du sol sélène (le matériau granulaire formant le sol de la Lune). Vue d'artiste d'une possible base lunaire. Première brique de la base lunaire

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