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faire émerger et connecter des FabLabs en France L’innovation ouverte en France a besoin qu’émergent des "Fab Labs". En coopération avec d’autres acteurs de l’innovation, de la création, de l’éducation et de la recherche et des technologies, la Fing s’engage pour les aider à émerger et se connecter. Qu’est-ce qu’un Fab Lab ? Un Fab Lab (abréviation de Fabrication laboratory) est une plate-forme ouverte de création et de prototypage d’objets physiques, "intelligents" ou non. Il s’adresse aux entrepreneurs qui veulent passer plus vite du concept au prototype ; aux designers et aux artistes ; aux étudiants désireux d’expérimenter et d’enrichir leurs connaissances pratiques en électronique, en CFAO, en design ; aux bricoleurs du XXIe siècle… Son origine Le concept de Fab Lab a été défini en 2004 par Neil Gershenfeld, directeur du Center for Bits and Atoms, au sein du MIT (Massachussets Institute of Technology). D’autres équipements plus avancés, tels que des imprimantes 3D, peuvent également équiper certains Fab Labs. Le Fab Lab en images

A-t-on atteint un « pic des objets » Si l’on devait la caractériser en des termes mathématiques, la trajectoire de notre civilisation serait une courbe exponentielle. Tout au long du XXe siècle, la consommation d’énergie et de ressources naturelles — et donc logiquement les émissions de gaz à effet de serre — s’est accrue de concert avec la démographie. Mais aujourd’hui, serions-nous arrivés à un plateau ? Aurions-nous commencé à réduire notre consommation, ou du moins à la stabiliser ? La parcimonie serait-elle en voie de devenir le nouveau luxe ? C’est ce que pressent une récente étude, qui estime que la Grande-Bretagne, pays à l’origine de la révolution industrielle et l’une des nations les plus riches au monde, aurait atteint un seuil maximum d’objets possédés par chaque habitant, avant de voir cette quantité décliner. Des tendances similaires auraient commencé à émerger à travers l’Europe, où la consommation d’énergie des ménages en 2009 était de 9 % inférieure au niveau de 2000. Croissance et consommation découplées

fablab.fr : Projects L’impression 3D rapproche l’objet du vivant Par Rémi Sussan le 14/04/11 | 5 commentaires | 4,035 lectures | Impression Les imprimantes 3D, une révolution économique ? Sans doute. Mais peut-être plus que cela. Si la plupart de ses collègues s’intéressent à la création de nouvelles formes, elle réfléchit au contraire à la création de nouveaux matériaux. Neri Oxman possède le background voulu pour opérer cette fusion de l’objet et du vivant. Images : Différentes textures issues de différents projets de Neri Oxman. “Nous quittons l’ère de l’information pour celle du matériau”, explique-t-elle dans cette même revue, “l’information sera intégrée au matériau lui-même. Et d’ajouter dans une autre interview pour Product Design and Development : “les matériaux constituent le nouveau logiciel. Sa chaise “The Beast“, constituée de 8 matériaux différents a ainsi été modelée sur le corps humain (le sien) et sa structure est adaptée aux différentes pressions exercées par le corps. Vidéo : Neri Oxamn lors d’une intervention à PopTech.

Avec les “Fab Labs”, deviendrons-nous tous designers ? - Arts et scènes Les “Fab Labs” ? Des coopératives futuristes intégrant ordinateurs, marteaux, tournevis, perceuses et imprimantes 3D dans un joyeux foutoir participatif. Une nouvelle révolution industrielle portant la “bricolabilité” au pinacle ? Nous sommes en 2022. De la science-fiction ? « L'équipement est mis gratuitement à disposition du public sous trois conditions morales : participer, documenter, partager » Olivier Gendrin Ce jour-là, Josiane, une femme au foyer venue pour l'atelier couture discute avec Charles, un ingénieur électronicien qui veut se tailler un sac à dos à ses mesures. « L'équipement est mis gratuitement à disposition du public sous trois conditions morales : participer, documenter, partager », précise Olivier Gendrin. Le FacLab est l'un des premiers Fab Labs français (avec La Forge des possibles à La Roche-sur-Yon, Artilect à Toulouse, Ping à Nantes, et quelques autres). « L'effort de création demande un apprentissage. » Vincent Guimas

L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain « Il y a une sorte de pensée magique chez les geeks aujourd’hui autour de l’impression 3D », s’énerve Christopher Mims pour la Technology Review. Alors que les imprimantes 3D deviennent accessibles aux amateurs – la Thing-o-Matic de MarkerBot ne coûte que 1 100 dollars – et que Pirate Bay estime que les « physibles » – les plans d’objets qu’on peut réaliser via des machines 3D et qui s’échangent dès à présent sur The Pirate Bay – sont la nouvelle frontière du piratage, des penseurs comme Tim Maly pensent que nous approchons de la fin de « l’expédition ». C’est-à-dire qu’il sera bientôt plus coûteux d’expédier une pièce depuis la Chine ou de n’importe quel endroit où elle est fabriquée, que de la fabriquer soi-même. Les promesses de l’impression 3D Pourtant, Christopher Mems ne porte pas un regard hautain sur l’impression 3D. Et Christopher Mims de détailler les progrès qu’il y a encore à accomplir. La fabrication est plus complexe « Commençons par regarder le mécanisme.

Cantine numérique/MakerSpace/Tiers-Lieux L'impression 3D, ce sera formidable... s'ils ne foutent pas tout en l'air ! L’impression 3D est en train de naître sous nos yeux. Demain il sera ainsi possible de reproduire toute sorte d’objets chez nous aussi facilement, ou presque, qu’un texte numérique se couche sur le papier à l’aide de notre bonne vieille imprimante 2D. Les conséquences potentielles de la démocratisation d’un tel outil donnent le vertige et suscitent espoir et enthousiasme parmi les makers du monde entier[1] Pour rappel, l’impression 3D est une technique qui permet de produire un objet réel à partir d’un fichier CAO en le découpant en tranches puis en déposant ou solidifiant de la matière (plastique, cire, métal…) couche par couche pour, en fin de compte, obtenir la pièce terminée. Si le concept et la technologie vous semblent encore un peu obscurs, je vous invite à regarder cette courte vidéo. Pour le moment on se déplace donc chez ceux qui disposent d’une telle imprimante, imprimante encore rudimentaires dans ses possibilités. On ne s’en étonnera pas. Introduction L’impression 3D

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