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Pour un opendata des usagers » Article » OWNI, Digital Journalism

Pour un opendata des usagers » Article » OWNI, Digital Journalism
Aujourd'hui, les administrations mènent la danse de l'ouverture des données. Cette politique de l'offre doit être remplacée par une démarche où les usagers demandent directement des comptes à leurs administrations - et où elles leur répondent. Depuis mai 2009 et la mise en ligne de data.gov, l’ouverture des données publiques a avancé à pas de géants. Les catalogues de données publiques se sont multipliés. Le Royaume-Uni a sorti data.gov.uk, la Suède édite opengov.se et même les gouvernements les moins transparents s’y mettent, avec, par exemple, opengovdata.ru en Russie. On compte près de 60 initiatives de ce type à travers le monde, comme le montre la carte collaborative ci-dessous : Voir World Map of Open Government Data Initiatives sur une plus grande carte. Ces catalogues ne sont pas que des concessions faites à quelques activistes. Les perspectives ouvertes par les données publiques sont vertigineuses, comme l’a rappelé Xavier Crouan lors du CapCom de Rennes.

Open data, democracy and public sector reform A look at open government data use from data.gov.uk (Based on an MSc Dissertation by Tim Davies, July 2010) This is an online report based on an MSc Dissertation at the Oxford Internet Institute by Tim Davies submitted to the University of Oxford, July 2010. It is shared using the Digress.it platform which allows for paragraph level commenting and hyperlinking to elements of the document. A downloadable PDF copy of the report is available here. The original research, underlying data, and further work has been blogged in detail on the Open Data Impacts blog. Abstract: Governments are increasingly making their data available online in standard formats and under licenses that permit the free re-use of data. Update Log 26th August 2010 – First version published ToDo Check formatting & proof-read online copyImprove the management of references using Zotero database of references The last 18 months have seen dramatic developments in the release of open government data (OGD) across the world. 3.3.

écomobilité, innovation, communauté.: Daniel Delaveau sur l'Open Data à Rennes Ils sont encore peu nombreux ceux, parmi nos hommes politiques, qui prennent position sur l'ouverture des données publiques. En ayant fait confiance à son équipe, en lançant il y a un an la première opération d'ouverture des données publiques et en organisant un concours d'applications, Daniel Delaveau a permis à la ville de Rennes et à Rennes Métropole de se distinguer. Inutile d'attendre les résultats du concours pour constater qu'avec déjà plus de 40 applications proposées, dont certaines sont réellement originales et bien faites, la collectivité est la grand gagnante de l'opération. Dans la vidéo si dessous, Daniel Deleveau s'exprime personellement sur ce sujet qui est souvent considéré, à tord, comme trop technique pour un élu.

Open Data: Empowering the Empowered or Effective Data Use for Everyone? « Gurstein's Community Informatics The open data movement in the area of access to public (and other) information is a relatively new but very significant, and potentially powerful, emerging force. It has now been widely endorsed by among others Tim Berners-Lee generally acknowledged as the Father of the World Wide Web. The overall intention is to make local, regional and national data (and particularly publicly acquired data) available in a form that allows for direct manipulation using software tools as for example, for the purposes of cross-tabulation, visualization, mapping and so on. The underlying idea is that public (and other) data, whether collected directly as part of census collection or indirectly as a secondary output of other activities (crime or accident statistics for example) should be available in electronic form and accessible via the web. There are significant initiatives in this area underway in the US , the UK and Canada among many many other jurisdictions. Like this: Like Loading...

REGARDS SUR LE NUMERIQUE: Blog - Bernard Stiegler : l'open data est « un événement d’une ampleur comparable à l’apparition de l’alphabet » RSLNmag est édité par Microsoft et se consacre à l’analyse et au décryptage du monde numérique.. RSLN : Que représente le développement de l’open data dans la grande aventure du numérique ? Bernard Stiegler : C’est l’aboutissement d’une rupture majeure déjà largement entamée, et qui n’a rien à voir avec les précédentes. Toutes les technologies monopolisées par l’industrie de la culture, au sens large du terme, pendant un siècle, sont en train de passer entre les mains des citoyens. C’est un événement d’une ampleur comparable à l’apparition de l’alphabet qui, comme technique de publication, c’est à dire de rendu public, est au fondement de la res publica, tout comme à ce qui s’est déroulé après Gutenberg et la Réforme, généralisant l’accès à l’écriture imprimée et au savoir. À présent, toutes les activités industrielles, culturelles et scientifiques laissent désormais une trace numérique que chacun peut exploiter grâce à des outils de plus en plus accessibles. RSLN : L’Open data n’est qu’un maillon de cette révolution… Des idéologies différentes Bernard Stiegler : C’est vrai.

Pourquoi la réutilisation des données publiques à des fins commerciales doit être gratuite « L’annonce de Nantes de rendre ses données publiques payantes pour les réutilisations commerciales a relancé le débat: faut-il faire payer les entreprises ? Cette question a été tranchée à l’étranger où les plateformes nationales et locales présentent des licences d’exploitation gratuites pour tous. Certains pays comme la Nouvelle-Zélande ont d’ailleurs mis en place des systèmes de licence unique gratuite. Si plusieurs licences coïncident en France, les deux initiatives Opendata françaises affichent bien des licences d’exploitation gratuites, y compris à des fins commerciales, à Rennes et à Paris. Nous soutenons que l’accès et la réutilisation des données publiques, y compris à des fins commerciales, doivent être gratuits et voici pourquoi: Le Mouvement Opendata privilégie la gratuité L’Opendata n’est pas une quelconque pratique de mise à disposition de données. Subordonner la réutilisation des données publiques à une licence payante ne relève donc pas des principes du Mouvement Opendata.

Infrastructure for Spatial Information in the European Community Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La directive INSPIRE est la directive 2007/2/CE du Parlement européen et du Conseil du établissant une infrastructure d'information géographique dans la Communauté européenne (INSPIRE). Types d'actions[modifier | modifier le code] La directive INSPIRE, approuvée par le Conseil des ministres de l'Union européenne et par le Parlement européen puis publiée au Journal officiel des Communautés européennes (JOCE) le , est entrée en vigueur le . Elle vise à favoriser l'échange des données au sein de la Communauté européenne dans le domaine de l'environnement pris dans un sens large. Cette première étape de la publication se poursuit maintenant par deux autres : la transposition dans les droits nationaux du texte de l'Union européenne (en théorie d'ici mai 2009),la définition au niveau européen de règles de mises en œuvre, qui seront ensuite directement applicables dans tous les pays de l'Union européenne. Les obligations[modifier | modifier le code]

Les données climatiques devraient devenir publiques, par Gil Mahé et Alain Gioda Aujourd'hui il n'existe pas de fichier unique de données climatiques mais une multitude de fichiers, contenant des données de sources diverses et de qualité variable, traitées de façon indépendante. Pourquoi ? Parce que les données climatiques ne sont pas du domaine public. Ces données proviennent pour une bonne part des services météorologiques nationaux. Pour les obtenir, ou du moins pour en obtenir des fragments, les laboratoires des pays du Nord passent des accords de confidentialité avec ces services, souvent dans le cadre de projets de recherche, des accords interdisant leur copie à d'autres chercheurs. Pourquoi ? Il faudrait plutôt travailler de concert pour l'élaboration d'un fichier universel de données. Afin d'atteindre cet objectif, il faudrait que l'Organisation météorologique mondiale favorise l'utilisation gratuite des données climatiques pour la recherche. Gil Mahé et Alain Gioda sont hydro-climatologue et historien du climat à l'IRD.

Maîtriser les coûts de l’ouverture des données Montreal Ouvert Si il y a une préoccupation importante pour les organisations qui décident d’ouvrir leur données, c’est bien la question du “combien ça coûte ?”. Dès que l’on parle de technologies de l’information, on pense bien souvent aux fréquents débordements de budget, d’autant plus probables lorsque le sujet nouveau, et où il y a encore peu de modèles existants et pas de solution toute faite. Même si l’ouverture des données publiques est un phénomène relativement récent, elle n’implique pas pour autant des changements radicaux dans le système d’information de l’organisation qui décide de publier ses données. En fait, si l’on y regarde de plus près, on s’aperçoit qu’il est possible d’entrer dans un processus d’ouverture des données avec relativement peu de moyens: Les données existent déjà, pour la plupart, dans une ou plusieurs formes au sein de l’organisation. En effet, il faut considérer le processus d’ouverture des données comme un processus itératif.

L’open data, made in Rennes Comment peut-on utiliser les données libérées par Rennes? Quelques exemples sortis du concours de la communauté urbaine comme une appli pour aider les handicapés à se déplacer dans la ville ou une autre pour comparer les points forts des quartiers. Le concours de développement de services et d’applications, initié par Rennes Métropole suite à l’ouverture des données publiques sur le territoire vient de s’achever. Un premier point d’étape s’impose sur les 43 applications et services qui ont participé. Au-delà des exemples de See.Click.Fix et de “Where does my money go?” A l’origine, c’est l’histoire d’un jeu de données, l’un parmi la centaine qui ont été mis à disposition des développeurs. Un trottoir surbaissé cela peut correspondre à une sortie de véhicule (“un bateau” comme on le nomme dans le langage courant), mais aussi à un passage piéton aménagé pour les personnes en fauteuil roulant. L’emplacement des passages piétons ne figure pas dans les jeux de données ouvertes.

Thinking About Africa’s Open Data I love Afrographique, a site I just heard about today that does data visualizations on African data. It’s done by Ivan Colic, a South African designer, as a “small contribution to assist the changing perception of Africa…” What Ivan does is brilliantly delve into the data that’s freely open on the internet to show patterns and information in ways that we might not have noticed if looking at the data in its raw format. The problem that Ivan has, is there’s not always that much information about Africa to use – in fact, some of his maps show big blank spots for countries on the continent with no known data for them. Getting African Data In Kenya, Ushahidi is working on a project about public service delivery and the companies and government entities responsible for them. The entities that hold the most public and infrastructure data are always government institutions. Tonight we had the Permanent Secretary for Information and Communications, Dr.

Le blog de Réutilisation des données publiques: Comment cataloguer des données publiques ? Le Guide pratique que nous avons publié il y a quelques semaines s'enrichit petit à petit de nouveau contenus. Avant sa deuxième édition nous vous en soumettons ici certains, sous forme d'articles. Aujourd'hui il s'agit d'un article plutôt technique sur la manière de cataloguer des données (voir partie 2.3.2 du guide). C'est un sujet qui se structure progressivement avec la naissance progressive de bonnes pratiques voire de standards. Quelles données pour décrire des jeux de données ? Du point de vue réglementaire, l’article 36 du décret n° 2005-1755 du 30 décembre 2005 stipule que les répertoires des informations publiques doivent préciser, « pour chacun des documents recensés, son titre exact, son objet, la date de sa création, les conditions de sa réutilisation et, le cas échéant, la date et l'objet de ses mises à jour ». A ces critères, on peut en ajouter quelques autres à forte valeur ajoutée, qui sont d'ailleurs utilisés par la quasi totalité des catalogues de données :

Portail OpenData - Communauté urbaine de Bordeaux UNESCO sets up online Traditional Knowledge Database The freshly launched "International Traditional Knowledge Institute" (ITKI) is an ambitious effort to preserve, restore and promote the re-use of traditional skills and inventions from all over the world. It includes an online encyclopaedia of low-tech know-how, though it will take many years before it is completed. Lewis Mumford wrote in 1970: "The great feat of medieval technics was that it was able to promote and absorb many important changes without losing the immense carryover of inventions and skills from earlier cultures. In this lies one of its vital points of superiority over the modern mode of monotechnics, which boasts of effacing, as fast and as far as possible, the technical achievements of earlier periods." The Traditional Knowledge Institute writes in 2010: The idea to set up a data bank of traditional knowledge was launched by Italian Pietro Laureano, architect, town planner, author and UNESCO consultant on arid areas, Islamic society and endangered ecosystems.

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