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LISTE DES PRODUITS MONSANTO À BOYCOTTER EN FRANCE

LISTE DES PRODUITS MONSANTO À BOYCOTTER EN FRANCE
Beaucoup d’articles contiennent des produits issus de cultures OGM. Des plantations dont les semences sont pour beaucoup brevetées par Monsanto, géant de l’industrie. L’ONGI Greenpeace a établi la liste des marques susceptibles de commercialiser ces produits OGM. L’étiquetage des produits alimentaires conventionnels concernant la présence ou non d’OGM est quasi inexistant. Difficile d’échapper aux produits de la multinationale Monsanto, ils sont partout dans les rayons! Monsanto, ce géant de la biotechnologie n’est pas célèbre pour la qualité de ses produits, mais plutôt pour les scandales sanitaires dans lesquels il est impliqué. Afin de savoir ce que vous mettez dans votre assiette, renseignez-vous sur les multinationales qui possèdent de nombreuses marques, afin de savoir s’ils utilisent des produits Monsanto pour fabriquer leurs produits. Parmi celles-ci on retrouve les sociétés Kraft Philipp Moris, Unilever, General Mills, Coca-Cola, Pepsico ou encore Procter & Gamble. Bio à la une Related:  Vega écologie

History | The Vegan Society The Vegan Society was founded in November 1944 and we’ve made tremendous progress since. Early vegans The Vegan Society may have been established 70 years ago but veganism has been around much longer. Evidence of people choosing to avoid animal products can be traced back over 2,000 years. Fast forward to 1806 CE and the earliest concepts of veganism are just starting to take shape, with Dr William Lambe and Percy Bysshe Shelley amongst the first to publicly object to eggs and dairy on ethical grounds. The first modern-day vegans In November 1944, Donald Watson (right and below) called a meeting with five other non-dairy vegetarians, including Elsie Shrigley, to discuss non-dairy vegetarian diets and lifestyles. When the society became a registered charity in 1979, the Memorandum and Articles of Association updated this definition of “veganism” as: Delving into Vegan Society archives A transcript of an interview with Donald Watson from 2002 is available here. The story continues

Why go vegan? | The Vegan Society For the animals Preventing the exploitation of animals is not the only reason for becoming vegan, but for many it remains the key factor in their decision to go vegan and stay vegan. Having emotional attachments with animals may form part of that reason, while many believe that all sentient creatures have a right to life and freedom. Specifics aside, avoiding animal products is one of the most obvious ways you can take a stand against animal cruelty and animal exploitation everywhere. Read a detailed overview on why being vegan demonstrates true compassion for animals. For your health Well-planned vegan diets follow healthy eating guidelines, and contain all the nutrients that our bodies need. Going vegan is a great opportunity to learn more about nutrition and cooking, and improve your diet. For the environment From recycling our household rubbish to cycling to work, we're all aware of ways to live a greener life. Why is meat and dairy so bad for the environment? For people Ethical meat?

Être végane Les origines Le terme vegan a été conçu à partir des premières et dernières lettres de vegetarian en 1944 par le co-fondateur de la Vegan Society, Donald Watson. Aux États-Unis, la première Vegan Society a été fondée en 1948. En France, c'est en 2010 qu'elle fut créée. Le terme véganisme figure dans le dictionnaire Hachette 2013, et entrera en 2015 dans le Larousse. Un mode de vie respectueux des animaux Etre végane est un mode de vie basé sur le refus de toute forme d'exploitation animale.C'est la conséquence d'une réflexion sur les animaux, leur capacité à ressentir sentiments et émotions. Lorsque l'on ouvre les yeux sur les abattoirs, la pêche, les laboratoires de recherche, les élevages... il devient difficile de les refermer. Quand on choisit de devenir végane on exclut, autant que possible, toutes activités faisant souffrir les animaux. Être végane au quotidien Une personne végane est une personne comme les autres. Des sites de recettes véganes ? Un label végane "Cruelty Free"

Destroying Nature Is Destroying Life, Une Campagne D’affichage Percutante La fondation allemande de protection de l’environnement Robin Wood vient de sortir une campagne de sensibilisation à la nature avec l’aide de l’agence Grabarz & Partner et de l’illustrateur Surachai Puthikulangkura. Cette campagne est réalisée avec des visuels particulièrement percutants, mettant en scène des animaux menacés de leur habitat naturel par les ravages de la déforestation, du réchauffement climatique ou encore de l’extraction pétrolière. Illustrée avec cette tendance très actuelle de la double exposition, les visuels sont à la fois esthétiquement beau, mais absolument violent dans le message qu’ils renvoient. Le travail de retouche est absolument saisissant, ce qui rend cette réalité malheureusement trop réaliste. En espérant, que l’écho de ses affiches soit au rendez-vous. Source

Les dérapages de «l'antispécisme» Nous sommes tous des animaux égaux entre eux. De la coccinelle posée sur sa marguerite à Einstein dans son labo, total respect. Les végétaliens appellent cet étrange concept l'antispécisme, en réaction à ce qu'ils nomment eux-mêmes le spécisme, c'est-à-dire la discrimination fondée sur l'espèce : un mouvement mieux implanté chez les Anglo-Saxons mais encore confidentiel en France. «Nous militons pour la reconnaissance des droits fondamentaux (droit à la vie, droit à ne pas subir de torture, droit à la liberté) à l'ensemble des êtres sensibles, explique l'un des organisateurs de la Veggie Pride, Dominic Hofbauer. Ethique. La grande différence, c'est que l'idéologie des végétaliens peut les entraîner vers des dérapages dans tous les sens : «Je suis contre le viol», explique ainsi une militante, parlant «des vaches, chèvres, brebis et autres femmes bafouées», parce qu'utilisées pour produire du lait qui lui-même engendre fromage et yaourts. Génocide.

The difference between blacks and animals. Do animals deserve the same respect as black people? Will Saletan writes about politics, science, technology, and other stuff for Slate. He’s the author of Bearing Right. That's the question posed in an online exhibit by People for the Ethical Treatment of Animals. The introduction includes a quote from Alice Walker that says animals "were not made for humans any more than black people were made for whites." "What is the common link between all atrocities in our society's past?" You can imagine why the exhibit has upset some people. I say this as an animal rights sympathizer. This isn't how white people came to accept racial equality. By 1977, when NORC began asking people to assess various explanations of persistent social inequality, the percentage of whites who asserted black inferiority had plummeted. Two of the explanations exhibit highly significant trends in opposite directions. In other words, whites didn't accept blame for blacks' problems.

Le viol des vaches laitières Dans leur immense majorité, les vaches laitières n’ont jamais rencontré de taureau. Leurs mères et grand-mères non plus. Elles sont fécondées par insémination artificielle pour des raisons pratiques et aussi pour améliorer leur rentabilité. Il en est de même pour beaucoup d’autres animaux dits « de rente », comme les truies. J’ai lu et entendu à plusieurs reprises, par des gens qui défendaient la non-consommation de produits laitiers, que l’insémination artificielle des vaches, truies et autres animaux s’apparentait à un viol. Ca me gêne. Alors pourquoi ça me gêne? Pour plusieurs raisons. Mais en réalité, bien que les deux points se rejoignent (ce que je vais développer plus bas), ce qui me dérange vraiment c’est tout simplement que ce n’est pas un viol parce que ce n’est pas un rapport sexuel. Un gynécologue qui fait un frottis à une femme, ce n’est pas un rapport sexuel que je sache? Mais il y a un mais. Le consentement et le viol chez les animaux Viol et insémination

Lyon : le 20 septembre, ça va saigner ! Steack de vache... Steack d’humain... Quelle différence ? C'est la même souffrance ! Contact presse : Sébastien Arsac : 06 17 42 96 84 Brigitte Gothière : 06 20 03 32 66Photos d'enquête téléchargeables en ligne et vidéo HD disponible sur demande Un nombre effroyable de victimes Chaque année, environ 60 milliards d’animaux terrestres sont abattus dans le monde pour la viande. Une idée simple Cette action s'appuie sur cette idée toute simple et communément admise : on ne doit pas maltraiter et tuer sans nécessité. Les animaux sont maltraités... Quel que soit le type d'élevage, la vie des animaux est ponctuée d'événements au mieux désagréables, au pire tragiques. et tués... Par ailleurs, personne ne prétendra que les abattoirs ou les navires de pêche sont des lieux agréables. sans nécessité Aujourd'hui, les messages publicitaires ou les communications d'experts pilotés par l'industrie agroalimentaire, qui font croire que sans viande, lait, oeuf ou poisson point de salut, perdent de leur force.

Et s'il était temps de prendre au sérieux les défenseurs des animaux? Vingt ans à endurer les railleries. Stéfan Mandine, 45 ans, ne mange plus de viande depuis «la préhistoire du végétarisme en France». Si pendant longtemps «on prenait les “végé” pour des hippies ou des marginaux», il a l'impression que son combat commence à être «pris au sérieux» dans les médias et la société civile. La loi aussi commence à se plier. Face à quelqu’un qui décide de ne plus manger de foie gras, ne plus porter de fourrure ou de manteau de cuir, il y a toujours un sceptique pour lever les yeux au ciel. Christian Lauvert a 55 ans. Pourtant, désormais, les Français sont informés du sort des animaux. Tout a dérapé à cause... du machisme Pour expliquer ce fond de moquerie, il faut revenir un peu en arrière. Les sociétés de protection des animaux sont créées au milieu du XIXe siècle par des élites intellectuelles qui voulaient protéger les chevaux et autres «animaux ouvriers urbains», comme les appelle le sociologue André Micoud. Christophe Traïni Un signe?

Frise historique écologie/véganisme Frise historique écologie/véganisme [Cette frise en retravaillée en permanence.] 1824: Fondation en Angleterre de la Société pour la Prévention de la Cruauté contre les animaux. 1847: Fondation en Angleterre de la Société Végétarienne, naissance du mot « végétarien. » 1889: Publication en Angleterre des « Nouvelles de nulle part » de William Morris. 1903-1910: série d'affrontements à Londres opposant médecins et étudiants en médecine d'un côté, syndicalistes, féministes et opposants aux tests sur les animaux de l'autre. 1926: Publication en Union Soviétique de l'ouvrage « Biosphère » de Vladimir Vernadsky. 1944: Fondation en Angleterre de la Vegan Society, naissance du mot « vegan. » 1964: Fondation en Angleterre de l'Association des Saboteurs de la Chasse. 1972: Fondation aux USA de Move, organisation afro-américaine écologiste radicale. 1974: en Inde, les femmes du mouvement Chipko protègent les arbres pour empêcher leur abattage. 1983: Sortie aux USA du film Koyaanisqatsi.

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