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L'Argent Dette

L'Argent Dette
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Argent Dette (Money as Debt) est un documentaire sous forme de film d'animation de l'artiste-peintre[1],[2] canadien Paul Grignon, sorti en 2006[3] — diffusé en streaming sur Internet et en DVD — qui traite du crédit et de la création monétaire. En 2008, le succès rencontré par ce documentaire a conduit des universitaires et des journalistes à le commenter. Genèse[modifier | modifier le code] Le documentaire est le fruit d'un long processus de création débuté en 2002, mené par Paul Grignon aidé par une petite équipe de bénévoles. Le documentaire expose les thèses suivantes : le métier de banquier est issu de celui d'orfèvres ayant tiré parti de leur activité de stockage de matières précieuses pour émettre des prêts avec les stocks confiés, en cachette des déposants ; la tricherie aurait perduré jusqu'à nos jours tout en se sophistiquant. Ce documentaire a été réalisé avant la crise économique et financière. Selon Alexandre Delaigue,

Une critique de la vidéo « l'argent dette » Une critique de la vidéo « l'argent dette » La vidéo « l'argent dette » donne à mon avis une part trop grande aux banques dans la crise actuelle. Paul Grignon semble reprendre l'idée d'un capitalisme financier déconnecté du capitalisme industriel qui serait neutre dans l'endettement explosif ici dénoncé. La création monétaire, pour peu qu'elle n'aille pas plus vite que la création de richesse matérielle ou de services, n'est aberrante en soi. Mais laisser entendre que l'explosion mondiale de la dette est de la seule responsabilité des banques est faux : c'est le capitalisme dans son ensemble qui a trouvé dans l'endettement des ménages et des Etats une solution provisoire à ses contradictions. La crise n'est pas une crise de pénurie mais une crise de l'excès : l'excès de capitaux issus de l'explosion des profits. Voici le point aveugle de cette vidéo : ce ne sont pas les banques qui créent la richesse mais le travail. Gérard Vaysse Voir la vidéo : "L'argent dette" de Paul Grignon

Il faut abolir le privilège de création monétaire des banques Après avoir fait la synthèse du fonctionnement des réserves fractionnaires (ou comment les banques créent de la monnaie), je voudrais à présent expliquer ce pourquoi ce système est intrinsèquement néfaste, et par conséquent, pourquoi il faut l’abolir (et construire autre chose). Nous verrons tout d’abord en quoi ce système instaure une monnaie illusoire, fondée sur de faux présupposés économiques, puis comment il entretient par nature une économie pyramidale à l’origine de bulles spéculatives et de crises financières. Enfin, j’évoquerai en fin d’article les pistes à explorer pour une refonte des règles de la création monétaire. Un mensonge qui protège les banques Parce que 92% de la masse monétaire est en fait constituée de reconnaissances de dettes, mais que l’on appelle quand même cela de l’« argent », on fait croire aux gens que leurs soldes bancaires correspondent effectivement à ce qu’ils possèdent. Mais ce système n’est qu’un vaste écran de fumée ! Le mensonge a assez duré.

François Hollande veut garder le Minitel monétaire Dans cette vidéo publiée par « Banksters 2008″ François Hollande étale sa totale allégeance au système qui faillit régulièrement. Il ne comprend pas en fait la nature asymétrique du système, il ne comprend pas qu’il fait partie d’un Minitel Centralisé, il ne comprend pas ce que pourrait-être un réseau symétrique de type internet. Les lecteurs de la Théorie Relative de la Monnaie auront toutefois compris aussi que la monnaie ne doit pas non plus être un privilège « régalien », comme le laisse supposer le commentaire de cette vidéo, dans le sens où l’état s’arrogerait la création monétaire au bénéfice du développement de valeurs totalement arbitraires, pas plus, mais pas moins arbitraires que celles que financent les Banques (avec un intérêt indû qui plus est). Ils auront compris que la création monétaire est une affaire de symétrie entre producteurs, ainsi que de symétrie entre générations. C’est donc effectivement une raison suffisante de ne pas voter pour ne rien changer.

Création monétaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La création monétaire, souvent appelée familièrement « la planche à billets », est le processus par lequel la masse monétaire d'un pays ou d'une région (comme la zone euro) est augmentée. Sous l'empire de la monnaie métallique (argent ou or), la masse monétaire était directement liée à la quantité de métal disponible, en fonction du destin des mines (découvertes, épuisement, « ruée vers l'or ») et des autres flux de métal (commerce, pillage, tribut et rançon, etc.). Dans le monde contemporain, l'essentiel de la monnaie est scripturale, créée par le crédit (émission de dette échangeable) dans les limites qui sont imposées aux établissements de crédits (réserves obligatoires etc.) et détruite par extinction des dettes sous-jacentes (par remboursement ou autre) ; la masse monétaire évolue constamment. Les monnaies non fiduciaires et fiduciaires[modifier | modifier le code] Monnaie non fiduciaire[modifier | modifier le code] La banque centrale.

« L'argent dette », vidéo-star du Net, a une sale petite odeur | Mon œil ! C’est une vidéo canadienne qui, par ces temps de crise financière, fait le tour d’Internet à la vitesse de la lumière, mais qui me met mal à l’aise. L’idée de départ du film, signé par le Canadien Paul Grignon, est d’expliquer le plus simplement possible comment fonctionne la monnaie. Une très bonne initiative, beaucoup de gens ignorant par exemple que ce sont les crédits qui font les dépôts, et non l’inverse. Au début, une citation du banquier Mayer Anselm Rothschild : « Donnez moi le droit d’émettre et de contrôler l’argent d’une Nation, et alors peu m’importe qui fait ses lois. » Mais aussi une référence peu discrète à la franc maçonnerie : le forçat de la dette a pour arrière-fond la pyramide tronquée -symbole maçonnique- qu’on trouve sur chaque dollar depuis la fin du XVIIIe siècle. Mais ce sont les dernières minutes du film qui mettent le plus mal à l’aise. « Quiconque contrôle le volume d’argent dans ce pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce.

Comprendre l’argent-dette L’« argent dette » est une expression devenue célèbre suite au documentaire de Paul Grignon, Money as debt. Ce terme désigne le concept de système de réserves fractionnaires parfois aussi appelé effet multiplicateur de crédit sur lequel est fondé l’ensemble du système monétaire et bancaire actuel. En version courte, ce système permet aux banques de créer de la monnaie en octroyant des crédits dans l’économie. J’ai déjà beaucoup parlé sur ce blog de ce sujet (clic, clic, clic), mais j’aimerais cette fois-ci tenter de revenir plus en détails et de manière plus exhaustive sur les diverses raisons qui font que ce système est intrinsèquement mauvais. Mais pour cela, je voudrais tout d’abord faire la synthèse du fonctionnement du système de l’argent dette, et de l’état du (vaste !) Principe général Contrairement à l’idée souvent répandue que « les dépôts des uns font les crédits des autres », il se passe en réalité exactement l’inverse : ce sont les crédits qui font les dépôts. Conclusion

Where Does Money Come From? « Uneasy Money Free exchange, the economics column in the Economist, has a really interesting piece in this week’s issue on two theories of the origin of money. The first theory is the evolutionary market theory propounded by Carl Menger, one of the three independent and simultaneous co-discoverers of the marginal utility theory of value in the early 1870s, (the two co-discoverers being William Stanley Jevons and Leon Walras) in a classic 1892 paper “On the Origins of Money,” and the other being the Cartalist theory, famously advanced by G. F. Knapp in his State Theory of Money, but also by other more orthodox theorists like P. H. Menger’s theory is a brilliant conjectural history of how money might have evolved as the result of individual choices by individuals seeking to reduce their transactions costs in an economic environment that is changing from subsistence farming into a market economy characterized by specialization. Take the widespread use of precious metals as money. This is complicated.

Effet multiplicateur du crédit Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans le contexte historique du système dit de Réserves Fractionnaires, l’expansion monétaire était en partie la conséquence de l’effet multiplicateur du crédit. Ce terme désignait le rapport existant entre l’augmentation de monnaie centrale (voir base monétaire) nouvelle émise par la banque centrale et la quantité de monnaie issue du crédit accordé par les établissements de crédit permise par cette augmentation. Principe[modifier | modifier le code] Une banque commerciale crée de la monnaie à l'instant où elle conclut un contrat de prêt avec un emprunteur (voir création monétaire pour plus de détails). La banque crédite alors le compte de l'emprunteur d'une certaine somme d'argent en échange d'une créance : c'est la monétisation d'un actif. ) Ces réserves, bien que continuant à exister réglementairement sont en pratique devenues minimes, voire nulles pour certaines banques centrales. Mesures et limites[modifier | modifier le code] On définit où

L’Argent Dette, fonctionnement du système financier? | Real FeelinG - Informatique, geek, high-tech Quand l’argent dicte ses lois, l’homme n’est plus que l’instrument du profit.Dans la vie il y a deux grands mystères: L’Amour et L’Argent. D’où vient l’argent ? Qui le crée ? L’Argent Dette (Money as Debt) est un documentaire qui traite du lien entre dette (ou crédit) et création monétaire. À travers les âges, avec leurs manigances, les hommes rusés ont fait de l’argent un outil pour parvenir à leurs vils objectifs. Révision 2010 du documentaire « L’argent Dette » de Paul Grignon. A maintenant 98 ans, notre seul prix Nobel d’économie Français vous invite à vous interroger, peut-être soulèvera-t-il chez vous ces sentiments d’injustice et de révolte qui ont animé et animent toujours le cœur de ceux qui participent à l’éveil économique massif par et pour le peuple. « Cette ignorance et surtout la volonté de la cacher grâce à certains médias dénotent un pourrissement du débat et de l’intelligence, par le fait d’intérêts particuliers souvent liés à l’argent.

On the Origin of Money, by Carl Menger [Economic Journal, Volume 2 (1892), pp. 239-55. Translated by Caroline A. Foley.] I. Introduction There is a phenomenon which has from of old and in a peculiar degree attracted the attention of social philosophers and practical economists, the fact of certain commodities (these being in advanced civilizations coined pieces of gold and silver, together subsequently with documents representing those coins) becoming universally acceptable media of exchange. It must not be supposed that the form of coin, or document, employed as current-money, constitutes the enigma in this phenomenon. And hence there runs, from the first essays of reflective contemplation of a social phenomena down to our own times, an uninterrupted chain of disquisitions upon the nature and specific qualities of money in its relation to all that constitutes traffic. II. Tested more closely, the assumption underlying this theory gave room to grave doubts. III. IV. This holds good of wholesale as well as retail prices. V.

La Japan Airlines entre des mains peu scrupuleuses. Un spéculateur japonais aux relations obscures a acquis 3% des actions de la compagnie. Tokyo, de notre correspondante. Depuis ce week-end, le patron de Japan Airlines doit avoir la désagréable impression d'être assis sur un siège éjectable. Un richissime individu vient en effet de faire irruption dans le capital de la compagnie japonaise, devenant sans crier gare le premier actionnaire et réclamant en toute simplicité le fauteuil de président. L'individu en question n'est pas un inconnu à la Bourse de Tokyo; Eitaro Itoyama a fait récemment parler de lui lors du scandale qui a éclaboussé l'intermédiaire boursier Nomura, numéro un du courtage japonais. L'état-major de cet établissement prestigieux avait été complètement décimé suite à une affaire de pots-de-vin. Riche politique. Depuis, Itoyama s'adonne à son passe-temps favori: la spéculation boursière. Que peut-il faire avec une telle participation? Comment spéculer. AMAOUA Frédérique

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