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Philosophie et spiritualité

Kant – Critique de la faculté de juger, et détour du côté de Schelling I. Schelling et Kant : retour sur la notion de génie. a. Kant revient dans ce texte sur la définition de l’art en général. Souvenons-nous de l’articulation qui fonctionne chez Schelling entre particulier et universel, et chez Hegel entre sensible et esprit. Batteux, ainsi qu’il l’écrit dans son texte, attribue au génie artistique la tâche de découvrir dans la nature ce qui déjà y existe. 1. 2. L’artiste n’imite plus la nature, mais se découvre – à travers ses œuvres – en être l’expression, un peu à la manière de ces artistes qui, dans l’Antiquité, n’étaient que les interprètes d’entités divines. Permettez-moi ici une petite digression, afin de bien cerner les origines possibles et les implications de cette pensée. Et un peu plus loin Une autre piste d’interprétation de cette définition du génie est plus sûrement à chercher parmi les autres penseurs de l’idéalisme allemand. b. « Selon Schelling, le génie est animé par un destin incompréhensible, qui le pousse à révéler l'identité infinie.

In Quarto DANIEL DARC ::: Interview punch drunk love Si nous étions des hommes, il s’agirait d’une rencontre d’hommes. Mais je manque de réflexes et Darc frappe en dessous de la ceinture. On échange quelques coups. Darc aime la boxe, le kyokushinkai, cherche le K.O., s’accroche au vide, du tranchant de sa main il assomme un taureau : « Dans la vie il faut être un fils de pute pour rester en vie ; excuse-toi toujours, mets en confiance avant de cogner. Entre la tonnelle cinétique et l’écoulement dogmatique de la fontaine, la véranda du Musée de la Vie Romantique accueille une apologie sincère et tendre de la traîtrise. Les textes, oui. Non, Darc n’est pas lâche, c’est un courageux. Si la musique ne répond plus, pourquoi pas le roman, la poésie ? Il veut faire un album par an, voire plus. « Darc est crad et card et darc Elvis versa. » Mais Darc est surtout un enfant du paradis, et le fait savoir par l’intermédiaire d’Arletty : « Je ne suis pas belle, je suis vivante, c’est tout ».

Moteur de recherche Agenda de Mère Alphabetical index: a | b | c | d | e | f | g | h | i | j | k | l | m | n | o | p | q | r | s | t | u | v | w | x | y | z By default the search engine tries to locate pages which have exact matches for all of the words entered in your search query. If that fails, it then tries to locate pages which contain any words in your search query. If that happens a short message is displayed at the top of the search results indicating this has been done. In addition, there are several ways to modify the default search behavior. To add a simplified search box for the Agenda on any web page, insert the following code snippet in the html code:

« La face cachée de la culture humaine » : réflexions sur la perte des œuvres 1Dans son dernier livre, Judith Schlanger continue pour notre plus grand bien d’explorer les configurations profondes de la mémoire culturelle. Se situant cette fois aux limites du visible, devant une matière proliférante mais constamment anéantie, elle s’interroge sur la manière dont nous gardons la mémoire des œuvres perdues. En sondant cette mémoire, elle cherche à comprendre comment nous appréhendons la perte, comment nous nous accommodons du fait de perdre sans cesse. Par quels ressorts, en effet, acceptons‑nous de voir partout autour de nous tant d’œuvres refoulées et condamnées à l’inexistence ? 2Au moment d’aborder la lecture, le titre du livre de J. 3Le livre de J. Nous avons infiniment perdu et nous perdons sans cesse, et il est vraisemblable que nous perdrons toujours. […] La déperdition nous accompagne. 4Ce qui se laisse apercevoir comme la somme des œuvres produites par une époque repose, prend en réalité appui, sur l’anéantissement de quantité d’autres. 13J. 14J. 30J.

Les enfants de don quichotte Automates Intelligents : Robotique, intelligence artificielle, vie artificielle, nouvelles sciences, Europe Enseigner la littérature à l’université aujourd’hui Ce n’est pas vraiment une nouvelle : l’enseignement de la littérature à un vaste public ne va plus de soi. Depuis quelque temps, cependant, il semble que les signes se fassent plus précis, plus insistants : baisse générale des effectifs d’étudiants en lettres, réforme des concours, professionnalisation des formations universitaires, etc. Dans ces conditions, le désintérêt des politiques et des gens de pouvoir pour nos disciplines ne peut que s’accentuer. Nous souhaitons, bien entendu, qu’il n’en soit pas ainsi, et que la littérature continue d’être enseignée à des étudiants nombreux. Ce colloque qui s’est tenu à Aix-en Provence au mois de mars 2011 a eu pour objet de procéder à un inventaire critique des argumentaires.

Brésil – Russie – Inde – Chine – Afrique du Sud Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir BRIC. BRICS est un acronyme anglais pour désigner un groupe de cinq pays qui se réunissent en sommet annuels : Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud. Avant l'ajout de ce dernier pays en 2011, le groupe était appelé BRIC. Rarement utilisé, l'équivalent français de cet acronyme est l’ABRIC (Afrique du Sud, Brésil, Russie, Inde et Chine[1]), BRASIC ou encore BRICA[2]. Les cinq pays composant le BRICS sont pour la plupart considérés comme des grandes puissances émergentes, ils sont respectivement les sixième, neuvième, dixième, deuxième et vingt-neuvième puissances économiques mondiales (au sens du PIB nominal) [3] et septième, sixième, troisième, deuxième et vingt-cinquième en parité de pouvoir d'achat. Histoire[modifier | modifier le code] Origine du terme[modifier | modifier le code] « Les BRIC sont des pays à forte croissance, dont, au début du XXIe siècle, le poids dans l’économie mondiale augmente.

Communauté bouddhiste Sylvie Patron : Une théorie «mentaliste» du roman Une théorie «mentaliste» du roman Sylvie Patron Université Paris 7-Denis Diderot Dans la prolifération actuelle des ouvrages de recherche et de vulgarisation scientifiques consacrés à la question du récit[1], le livre de Jon-Arild Olsen, L’Esprit du roman, publié chez Peter Lang avec le soutien du Conseil norvégien de la recherche scientifique, peut apparaître comme le premier ouvrage de narratologie «postclassique»[2] en langue française. En choisissant ce titre (plutôt que Œuvre, fiction et récit, qui avait d’abord été envisagé et qui a été conservé comme sous-titre[3]), Jon-Arild Olsen a voulu indiquer l’orientation générale de son livre : le projet d’une théorie psychologique et, plus spécifiquement, «mentaliste» du roman. Dans cet article, je procéderai à une étude critique de l’ouvrage de Jon-Arild Olsen, centrée sur ses apports et ses insuffisances éventuelles (insuffisance, par exemple, en matière d’information et d’analyse linguistiques). 1. 2. 3.

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