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L'extinction des dinosaures

L'extinction des dinosaures
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500 ans plus tard, on sait pourquoi des millions d'Aztèques ont été décimés. Avant que Christophe Colomb ne décide de diriger son étrave vers le nouveau monde, le Mexique était une sorte de paradis, et ses habitants, les Aztèques, ont laissé les traces d’une civilisation brillante, faites de savants et d’architectes, dont les traces sont encore visibles un peu partout dans le pays. Les livres d’histoire ne sont pas très prolixes sur les raisons de leur disparition. Les armes de l’époque, pas très efficaces, ne suffisent pas à expliquer un tel génocide. On oublie que ce ne sont pas les bijoux de pacotilles, dont la légende nous raconte la distribution chez des « sauvages aux yeux brillants » qu’ont amené les explorateurs avec eux, mais plutôt de petits organismes, des armes de destruction massive, qui ont toujours existés et qui gardent d’ailleurs toute leur virulence. Des Salmonelles Cela l’histoire moderne le reconnaît aisément. Et bien non ! La menace reste intacte Et que penser si demain, un vaisseau d’u autre monde atterrit sur notre bonne vieille terre.

Eclats de passé : la révolution Néolithique Eclats de passé : la révolution Néolithique Articles scientifiques : Hilbert L, Neves E, Pugliese F, et coll. Evidence for mid-Holocene rice domestication in the Americas. Livres : Lucrèce. Chansons diffusées : Camille - Langue - Because MusicBaxter Dury - Prince of tears - Heavely RecordingsMoses Summey - Plastic - Jagjaguwar Agenda : Mardi 30 janvier 2018, de 19h à 21h : Rencontre transdisciplinaire du Centre d’Etudes du Vivant – Institut des Humanités de Paris – Université Paris-Diderot, dans la série Les Battements du temps, sur le thème « Giotto: l’Œil et le Regard », avec Victor Stoichita, écrivain, professeur d’Histoire de l’Art à l’Université de Fribourg (Suisse), titulaire de la Chaire Européenne du Collège de France (2017-18), auteur, notamment, de : - Le dernier carnaval. Amphi Buffon: 15 rue Hélène Brion, 75013 Paris Métro RER : Bibliothèque François Mitterrand. Pour écouter/voir les précédentes Rencontres Entrée libre sur inscription par e-mail

L'Homo erectus a fini sa vie à Java Les Homo erectus ont commencé à peupler la Terre il y a environ 1,9 million d'années. C'étaient des bipèdes qui pouvaient atteindre 1,80 mètre de haut et qui maîtrisaient le feu et construisaient des outils. Apparus en Afrique de l'Est, ils ont également beaucoup voyagé, pour certains jusqu'en Europe et en Indonésie où on a retrouvé leurs ossements. Ils ont occupé la planète pendant près d'1,8 million d'années avant d'être supplantés par les autres lignées comme Neandertal et Sapiens. Datation incertaine C'est justement un ensemble d'ossements découverts en Indonésie, dans les années 1930, qui fait l'objet d'une nouvelle étude publiée dans la revue Nature. Des chercheurs de l’Université de l’Iowa, aux États-Unis, ont entrepris une vaste analyse du site et de ses environs en effectuant des datations isotopiques sur 52 zones différentes. Russell L. Les derniers Erectus Cette datation indique donc que ces fossiles sont les derniers représentants connus des Homo erectus sur Terre. Russell L.

L'évolution de l'homme - Dessin Reprenons une à une toutes les erreurs véhiculées par cette image. L'évolution du singe à l'homme Première anomalie, le dessin laisse entendre que l'ancêtre de l'homme moderne était un chimpanzé. Qui plus est, ce singe ressemble à un chimpanzé actuel. Ce qui reviendrait à dire que notre ancêtre est un singe qui existe encore aujourd'hui... on voit ici l'absurdité de la démonstration. Ce que nous savons Nous savons que nous avons un ancêtre commun avec les grands singes en général, et les grands singes africains en particulier. Pour François Marchal (UMR 6578 - Unité d'Anthropologie Bioculturelle - CNRS / Université de la Méditerranée / EFS) : "Evidemment que l'ancêtre de l'homme est un singe. Au cours de son évolution, l'homme se redresse pour marcher Deuxième anomalie, le schéma montre un singe (pratiquant le knuckle-walking) qui se redresse pour finir en bipède parfaitement humain. Ce que nous savons Il n'y a pas une seule bipédie mais plusieurs selon les animaux.

Bruniquel, la grotte qui bouleverse notre vision de Néandertal Depuis 2014, la grotte de Bruniquel, perdue dans les gorges de l’Aveyron, fait l’objet d’une nouvelle étude archéologique de la part d’une équipe pluridisciplinaire. L'objet de leur attention : une structure réalisée à base de stalagmites cassées et disposées en plusieurs cercles. Son étude est en train de révolutionner ce que l'on sait de Néandertal... Sophie Verheyden, Paléoclimatologue « Quand même, hein, on s’attendait pas à avoir des âges aussi anciens, hein ! » Dominique Genty, Paléoclimatologue « On n’avait aucune… aucune idée de cet âge si ancien… absolument aucune ! Jacques Jaubert, Archéologue « Ouais, c’est énorme…! En 1990 des spéléologues de Caussade déblayent l’entrée d’une petite cavité obstruée par l’argile. Une dernière étroiture est franchie, et au-delà ils découvrent une vaste galerie qui s’enfonce sous le Causse calcaire. Michel : « Ah, tu vois, cette salle… avec son écho… oh ho!! Ils mettent en place un balisage pour préserver les sols argileux. Dominique : « Comme ça !

Europe néolithique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Europe vers 5500 av. J.-C. L'Europe vers 5000 av. L'Europe néolithique correspond à la période de la fin de la Préhistoire européenne[1] durant laquelle l'agriculture et l'élevage se sont diffusés avec des groupes de colons ou ont été adoptés par les communautés vivant dans ces régions. Principales caractéristiques culturelles[modifier | modifier le code] Le développement du Néolithique : les différentes hypothèses[modifier | modifier le code] L’origine proche-orientale du Néolithique européen a été avancée dès 1925 par l’archéologue australien V. À partir des années 1960 et dans les années 1970 et 1980, de nombreux chercheurs remettent en cause l’idée d’une migration de population du sud-ouest de l’Asie pour expliquer le développement du Néolithique en Europe et suggèrent au contraire des inventions locales indépendantes de l’agriculture et de l’élevage dans plusieurs régions européennes. Les modèles actuels[modifier | modifier le code]

Néolithique Le Néolithique (parfois nommé « âge de la pierre polie »), qui succède au Mésolithique, est une période préhistorique marquée par de profondes mutations techniques et sociales, liées à l’adoption par les groupes humains d’un modèle de subsistance fondé sur l’agriculture et l’élevage, et impliquant le plus souvent une sédentarisation. Les principales innovations techniques sont la généralisation de l'outillage en pierre polie, la poterie, le tissage, ainsi que le développement de l'architecture. Selon les aires géographiques considérées, ces importantes mutations sont relativement rapides et certains auteurs ont pu parler de « révolution néolithique ». Apparition du concept et définition[modifier | modifier le code] L'adjectif « néolithique » (du grec νέος / néos, « nouveau », et λίθος / líthos, « pierre ») désigne littéralement l'« âge de la pierre nouvelle ». La « révolution néolithique »[modifier | modifier le code] Chronologie[modifier | modifier le code] Pour J. Selon Lazaridis et al.

Une étude réécrit le scénario du peuplement de l'Europe Crédits : Natalia Shishlina Deux études menées indépendamment jettent une nouvelle lumière sur le scénario du peuplement de l'Europe. Ces deux travaux, publiés dans Nature, s'appuient sur l'analyse de fragments d'ADN ancien. Au cours du dernier siècle, les paléoanthropologues se sont appuyés sur la découverte d'ossements et d'outils anciens pour reconstruire le scénario du peuplement de l'Europe. Et c'est précisément grâce à de patientes analyses menées sur des fragments d'ADN ancien, prélevé sur des ossements humains, que deux équipes de chercheurs, l'une danoise et l'autre américaine, sont parvenus conjointement à produire le scénario du peuplement de l'Europe le plus précis et le plus complet jamais proposé à ce jour. --> Vous aimez la science ? Quels sont les résultats de ces deux équipes de chercheurs ? La première migration concerne les célèbres chasseurs-cueilleurs, arrivés en Europe il y a 45.000 ans environ.

Un métissage tardif entre sapiens et néandertal en Europe La mandibule de la grotte roumaine Pestera cu Oase, qui a livré le génome de OASE 1. L'auteur Francois Savatier est journaliste à Pour la Science. Du même auteur À lire aussi Pour en savoir plus Qiaomei Fu, et al., An early modern human from Romania with a recent Neanderthal ancestor, Nature, en ligne le 22 juin 2015. Des gènes néandertaliens inégalement répartis, Pourlascience.fr, 2014. Un néandertalien métis, Pourlascience.fr, 2013. L'ADN de l'homme d'Ust' Ishim date le métissage Néandertal-Sapiens, Pourlascience.fr, 2012. Ceci aussi peut vous intéresser Il y a entre 45 000 et 30 000 ans, Homo sapiens se répand en Europe, tandis que la lignée néandertalienne, présente depuis 300 000 ans, disparaît. L'individu en question, OASE 1, n'est connu que par une mandibule découverte dans la grotte roumaine de Pestera cu Oase. Le séquençage de l'ADN d'OASE 1 apporte plus de précisions sur cette question du métissage entre les hommes modernes et les néandertaliens. Comment interpréter ces constatations ?

Hominini Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Systématique[modifier | modifier le code] Les chimpanzés et les bonobos, génétiquement très proches des Homo sapiens, bien que sensiblement différents par leur morphologie, font partie de cette tribu. Phylogénie des genres actuels d'hominidés d'après Shoshani et al., (1996)[2] et Springer et al., 2012[3]: La tribu Hominini s'est différenciée de celle des gorilles il y a plus de 10 Ma, et les Hominines des Panines il y a plus de 7 Ma. Liste des espèces[modifier | modifier le code] Une représentation spatio-temporelle de la répartition des premiers humains Phylogénie hypothétique[modifier | modifier le code] Établir la phylogénie des différents fossiles d'hominiens reste un travail spéculatif, car les fossiles sont fragmentaires et sans matériel génétique exploitable dans la plupart des cas. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ (en) J. Bibliographie[modifier | modifier le code] Jared Diamond, Le troisième chimpanzé.

Jean-Jacques Hublin - L'émergence du genre Homo (Collège de France, 14/10/2014) Dans les années 1970, le développement de la phylogénique moléculaire a abouti à un profond remaniement de la classification des Primates, notamment celle de la super-famille des Hominoïdes dans laquelle s'enracine le genre Homo. Notre espèce est la seule survivante d'un buisson de formes qui représentent le taxon frère des chimpanzés actuels ; gorilles, orangs-outans et gibbons formant des lignées dont la parenté est plus éloignée. Depuis la séparation entre la lignée humaine et celle des chimpanzés, il y a au moins 7 millions d'années, le rameau des hominines a produit une grande variété de formes. Si Homo habilis a été la première espèce attribuée à notre genre, depuis sa découverte, plusieurs autres formes d'Homo primitifs ont été reconnues en Afrique de l'Est et du Sud.

Sophie Archambault de Beaune - De la beauté du geste technique en préhistoire (2013) RemerciementsJe remercie Pierre Lemonnier et Thierry Bonnot pour leur lecture attentive et leurs suggestions, qui m’ont permis d’améliorer une première version de ce texte. « L’homme a toujours eu l’amour du beau. Même aux temps primitifs, où les besoins de la vie matérielle absorbaient tous ses moments, il cherchait à rendre ses armes et ses outils symétriques et à leur donner une forme élégante. » Édouard Piette (1889 : 159) « Dès qu’apparaît la plastique, on voit surgir des notions d’équilibre, donc des notions de rythme ; et dès qu’apparaît la rythmique, l’art apparaît. 1 Je me permets de renvoyer ici à Beaune 1999 (1995) et 2013 (2007). 2 Sahlins 1972. 3 Le Paléolithique supérieur s’étend d’environ 40 000 à 12 000 ans avant le présent. 1L’image de l’homme de la préhistoire est ambivalente. fig. 1 Biface triangulaire provenant de l’atelier de débitage du Paléolithique moyen de Saint-Amand-les-Eaux (Nord), 2007. Archéologue responsable d’opération : Philippe Feray. © Madeleine Leclair.

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