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Pythagore

Pythagore
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pythagore (Πυθαγόρας) Philosophe présocratique Antiquité Buste de Pythagore - Musées du Capitole - Rome Pythagore (en grec ancien Πυθαγόρας / Pythagóras) est un réformateur religieux et philosophe présocratique qui serait né aux environs de 580 av. Le néopythagorisme est néanmoins empreint d'une mystique des nombres, déjà présente dans la pensée de Pythagore. D'après un écho marquant d’Héraclide du Pont, Pythagore serait le premier penseur grec à s’être qualifié lui-même de « philosophe[4] ». « Par la même raison, sans doute, tous ceux qui se sont attachés depuis aux sciences contemplatives, ont été tenus pour Sages, et ont été nommés tels, jusques au temps de Pythagore, qui mit le premier en vogue le nom de philosophes. — Cicéron, Tusculanes, V, 3, § 8 Biographie de Pythagore Beaucoup de documents, tardifs, ont été publiés sur la vie de Pythagore[5],[6],[7],[8]. Naissance — Jamblique, Vie de Pythagore, § 7[7]. Adolescence et maturité Instruction

Sibylle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une sibylle est une « prophétesse », une femme qui fait œuvre de divination. Différences entre sibylle et pythie[modifier | modifier le code] La Pythie[1] a un statut institutionnel, elle est associée au sanctuaire de Delphes. La sibylle donne une divination occasionnelle, indépendante, nomade. La Pythie n'est que le porte-parole du dieu, elle répond aux questions qui lui sont adressées, alors que la sibylle parle à la première personne, revendique l'originalité de sa prophétie et le caractère indépendant de ses réponses. On représente la Pythie jeune (c'est, à l'origine, une jeune fille vierge), la sibylle mûre sinon vieille. La Pythie apparaît en Grèce après la première sibylle (Hérophile), les Sibylles, à l'origine servantes de la grande déesse Cybèle (Agdistis), sont venues de Pessinonte, en Asie Mineure au VIIIe siècle av. La sibylle dans l’Antiquité[modifier | modifier le code] Les douze sibylles[modifier | modifier le code]

Héraion de Samos L'Héraion de Samos est un grand sanctuaire ionien, au sud de l'île de Samos, à 6 km au sud-ouest de l'ancienne cité, sur un terrain marécageux, près de la mer. Le site du sanctuaire, avec son unique colonne debout, est inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco, avec le Pythagoréion voisin, depuis 1992. Culte et mythologie[modifier | modifier le code] Naissance d'Héra[modifier | modifier le code] Le mythe fondateur du culte d'Héra à Samos est celui de sa naissance. Lors des grandes réunions samiennes annuelles, appelées Toneia (« les liens »), la statue de culte de la déesse était rituellement associée à des branches de lygos. Description du sanctuaire[modifier | modifier le code] Les premiers établissements[modifier | modifier le code] Les plus anciennes traces de construction du sanctuaire remontent au VIIIe siècle av. Le temple de Rhœcos[modifier | modifier le code] Le temple de Polycrate[modifier | modifier le code] L'autel d'Héra[modifier | modifier le code]

Orphisme (religion) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Orphisme. L’orphisme était un courant religieux de la Grèce antique connu par un ensemble de textes et d'hymnes, ainsi que par quelques attestations archéologiques : outre Les Lamelles d'or[1], on en connaît certaines représentations ou descriptions au travers de gravures, tablettes ou autres vestiges retrouvées dans des tombes. Le mythe d'Orphée, d'origine obscure et très ancienne, dont l'épisode le plus célèbre est la descente aux Enfers du héros à la recherche de son épouse Eurydice, donna naissance à une théologie initiatique. C'est par la naissance qu'on est inséré dans les cadres de la religion civique grecque. C'est le mythe qui fait remonter l'orphisme à Orphée. Quoi qu'il en soit, Onomacrite se cache derrière Orphée pour délivrer son message. À l'époque suivante, nous connaissons l'orphisme à Athènes à travers la comédie d'Aristophane, les dialogues de Platon et le témoignage de Théophraste.

Heraion de Samos L'Héraion de Samos fut le premier des temples ioniques géants. Une des statues géantes (Kouros) du temple est conservée dans le Musée Archéologique. Une statue dite « Héra de Chéramyes » est exposée au Louvre. En 1992, il a été inscrit comme site du patrimoine mondial de l'UNESCO avec Pythagoreion situé à proximité. Il était situé à 6km au sud-ouest de l'ancienne cité de Samos . L'Heraion a traversé toute l'histoire artistique de la Grèce antique, avec d'importants remaniements et destructions. Celui-ci s'écroula près de dix ans après son édification, probablement à cause d'un tremblement de terre.

Grèce antique Cette civilisation de culture grecque prend forme durant les « siècles obscurs » (v. 1200-800 av. J.-C.), à partir des décombres de la civilisation mycénienne, et se développe en particulier durant l'époque archaïque (v. 800-480 av. J.-C.), et s'épanouit pleinement durant l'époque classique (480-323 av. J. À compter de l'époque archaïque et plus fortement durant l'époque classique, la Grèce voit le développement d'une civilisation novatrice par bien des aspects, qui se singularise par rapport aux plus anciennes civilisations antiques des pays orientaux, et entame une phase d'expansion maritime (la colonisation grecque). Les revers de ce dynamisme sont l'existence de nombreuses destructions créées par les guerres et des inégalités traversant les sociétés civiques, excluant les femmes des responsabilités politiques et reposant souvent sur l'existence d'une importante population ayant un statut d'esclave ou de dépendant. Contours et définitions[modifier | modifier le code]

Pythagoreion et Heraion de Samos Pythagoreion and Heraion of Samos Many civilizations have inhabited this small Aegean island, near Asia Minor, since the 3rd millennium B.C. The remains of Pythagoreion, an ancient fortified port with Greek and Roman monuments and a spectacular tunnel-aqueduct, as well as the Heraion, temple of the Samian Hera, can still be seen. Pythagoreion et Heraion de Samos Dans cette petite île de la mer Égée proche de l'Asie Mineure, plusieurs civilisations se sont succédé depuis le IIIe millénaire avant l'ère chrétienne. بيتاغوريون وهيرايون دي ساموس تعاقبت حضارات كثيرة منذ الألف الثالث قبل الحقبة المسيحية في هذه الجزيرة الصغيرة من بحر إيجة، وبقيت بصورة خاصة آثار بيتاغوريون المدينة المرفئية القديمة المحصّنة بنصبها اليونانية والرومانية، وقناة النفق الرائعة ، وهيرايون معبد الإلهة هيرا من ساموس. source: UNESCO/ERI 萨莫斯岛的毕达哥利翁及赫拉神殿 公元前3000年,这个靠近小亚细亚的爱琴海小岛上就有了文明。 Пифагорея и храм Геры на острове Самос Pitagoreion y Hereo de Samos サモス島のピュタゴリオンとヘラ神殿 source: NFUAJ Pythagorion en Heraion van Samos Source : unesco.nl

Diogène Laërce Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Diogène. Diogène Laërce (en grec Διογένης Λαέρτιος / Diogenês Laertios) (ou Diogenes Laertius ou Diogène de Laërte[1]) est un poète, un doxographe et un biographe grec né à Laërtès, en Cilicie, au début du IIIe siècle après J.-C. On ne sait que peu de choses sur Diogène Laërce. Biographie[modifier | modifier le code] Les origines de Diogène Laërce sont mal connues : son nom signifie-t-il qu'il est né à Laërtès, une colonie grecque de Cilicie dont parle Strabon (XIV, 5, 3) (Diogène de Laërtès, sachant que des chroniqueurs médiévaux l'écrivaient aussi Diogène de Laërtes), ou bien que son père se nommait Laërce (Diogène fils de Laërce) ? Doctrine[modifier | modifier le code] Diogène Laërce est en fait un doxographe : il a retranscrit les doctrines et les vies des philosophes considérés comme les plus importants à son époque. Œuvre[modifier | modifier le code] Publications anciennes[modifier | modifier le code]

Tunnel d'Eupalinos Le tunnel d'Eupalinos ou aqueduc d'Eupalinos (en grec : Ευπαλίνιον όρυγμα / Efpalínion órygma) est un aqueduc souterrain du VIe siècle av. J.-C., situé dans l'île de Samos, en Grèce. Selon les connaissances actuelles, c'est après le tunnel d'Ézéchias, la deuxième tentative réussie de forage d'un tunnel par les deux extrémités (en grec, αμφίστομον / amfístomon signifiant « ayant deux ouvertures »), et la première à faire appel à des plans méthodiques[1]. Avec ses 1 036 m de long, l'aqueduc souterrain d'Eupalinos de Mégare apparaît aujourd'hui comme l'un des chefs-d'œuvre antiques du génie civil, au même titre que le tunnel d'Ézéchias à Jérusalem. Histoire[modifier | modifier le code] L'île de Samos était gouvernée, au VIe siècle av. Sous les ordres de l'ingénieur Eupalinos de Mégare, deux équipes de travail creusèrent un aqueduc souterrain sous le mont Kastro afin d'alimenter en eau douce l'ancienne capitale de Samos (aujourd'hui Pythagorion). Description[modifier | modifier le code]

Grèce République hellénique (el) Ελληνική Δημοκρατία (el) Ellinikí Dimokratía La Grèce, en forme longue la République hellénique, (en grec : Ελλάδα / Elláda ou officiellement Ελληνική Δημοκρατία / Ellinikí Dimokratía, en grec ancien et en katharévousa Ἑλλάς / Hellás) est un pays d’Europe du Sud et membre de l'Union européenne (UE), situé dans l'extrême Sud des Balkans. La Grèce, d'une superficie de 131 957 km2 pour un peu moins de onze millions d'habitants, partage des frontières terrestres avec l’Albanie, la Macédoine du Nord, la Bulgarie et la Turquie et partage des frontières maritimes avec l'Albanie, l'Italie, la Libye, l'Égypte et la Turquie (cette dernière est la source du contentieux gréco-turc en mer Égée). La Grèce est membre de l’OTAN depuis 1952[N 2], de l’UE depuis 1981 et de la zone euro depuis 2001. L'histoire de la région qui constitue son territoire actuel. Géographie[modifier | modifier le code] La Grèce vue par satellite. Relief[modifier | modifier le code] Église de Grèce Radios

« La révolte de 1849-1850 dans la Principauté de Samos : Un aspect déviant du mouvement national grec », in M. Efthymiou (sous la direction de), La société grecque sous la domination ottomane. Economie, identité, structure sociale et conflits, Paris – Ath sujet historique — dans le cas qui nous occupe,le «peuple» ou la«communauté» de Samos—en groupes sociaux différents et analy-ser l’interaction entre ces groupes, au sein du système de pouvoirétabli, sont des conditions nécessaires pour la compréhension inter-prétative de la résultante de l’action sociale. Àcet égard, aprèsavoir brièvement présenté les événements, nous définirons lesacteurs principaux de l’insurrection, à savoir les différents groupessociaux de la société samienne de l’époque. Cette définition tiendracompte à la fois de critères objectifs et subjectifs — ou, plutôt,intersubjectifs. . NikolaosV. 2.Malheureusement, les actes de cette assemblée générale ont été égarés, ainsique ceux des assemblées de 1846 et de 1848. Sur Samos

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