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Les ?nergies de la mer

Les ?nergies de la mer

Energie de la mer Les mouvements de la mer sont une source inépuisable d'énergie :L'énergie maréemotrice. La houle (le mouvement des vagues), la marée et les courants marins pourraient fournir de l'électricité pour de nombreuses villes et villages des bords de mer. Éoliennes sous-marine Une seule turbine suffirait à alimenter une soixantaine de foyers. IT Power une entreprise britannique va bientôt commercialiser un prototype de turbine sous-marine afin d'utiliser l'énergie cinétique des marées sous forme d'électricité, elle installera bientôt un prototype dans la Manche. Comme celles des bras de mer ou des détroits, les marées de la Manche sont particulièrement puissantes : de 2 à 3 m/s. Les premiers tests montrent qu'en fonction de la force des marées les pales de la turbine effectueront de six à douze rotations par minute, fournissant une puissance de 300 à 600 kW qui pourra alimenter le réseau d'électricité national. Des turbines sous-marine de type “moulin à vent”. Énergie des vagues Énergie de la marée

Un futur site d'essai d'éoliennes flottantes au large de Groix ? L'objectif principal de cette rencontre était de faire en sorte que le développement des énergies marines se poursuive en Bretagne, en particulier via le projet de site d'essai d'éoliennes flottantes à Groix. Porté par une entreprise lorientaise, Winflo, ce projet d'éoliennes pourrait être une des solutions au problème d'approvisionnement énergétique rencontré par la Bretagne. Tous les acteurs institutionnels et industriels souhaitent que le site d'essai soit basé au large de l'île de Groix, situation idéale du fait de la profondeur des eaux, du régime des vents et des conditions de mer. De plus, il s'agit d'un des rares sites français à pouvoir accueillir ce type de matériel. Voir le communiqué de presse Lire notre dossier sur les énergies marines en Bretagne Partagez cette actualité :

Brest ouVert - L’énergie de la mer : un gisement potentiel gigantesque et renouvelable ! Un potentiel énergétique immense Le gisement d’ énergie lié à l’utilisation de la marée représente un potentiel énergétique théorique impressionnant, il est estimé à 10 000 Méga Watt sur le plan national. Comme toutes les énergies renouvelables, cette énergie est sans limite de consommation. Certains pensent même que la "houille bleue pourrait bientôt devenir la plus grande et la plus sûre des ressources d’ énergie de la planète". L’intérêt majeur d’utiliser courants, marnage (voir une petite vidéo sur l’utilisation des courants de marées) ou vagues, est qu’ils sont largement prévisibles car se répétant avec une constance calculable. Concernant l’énergie provenant des vagues, on sait qu’elle est concentrée entre les latitudes 40° et 60°. Le potentiel mondial est énorme entre 1,3 et 2 Terawatts (1 Terawatt est égal à 1 000 milliard de Watts). En Europe, la côte nord-ouest depuis le Portugal jusqu’en Ecosse possède un potentiel énergétique parmi les plus élevés du monde. L’Europe leader

Energies marines : le nouveau credo du DCNS > Vagues Le PDG du groupe d'armement naval DCNS, Patrick Boissier, considère dans une interview publiée hier par La Tribune, qu'il était prêt à se diversifier et à investir des sommes importantes dans les énergies marines renouvelables (EMR). "Nous considérons que les énergies marines renouvelables sont aujourd'hui dans la situation où était l'éolien il y a dix-quinze ans. À cette époque, ce sont essentiellement les Allemands qui ont misé sur ce secteur" a t'il affirmé, avant d'ajouter : "aujourd'hui l'éolien représente plus de 10 milliards d'euros par an en Europe et 60.000 emplois en Allemagne. Nous estimons que les énergies marines renouvelables deviendront dans dix ans une filière industrielle comme l'est l'éolien aujourd'hui. Nous voulons saisir cette opportunité. Et nous ferons en sorte que DCNS soit un acteur majeur dans ce domaine dans dix ans" . Le Groupe naval a créé fin 2009, un incubateur à Brest qui a pour objectif d'accroître les investissements de DCNS dans les EMR.

Seagen, la première grosse éolienne marine commerciale Par GreenUnivers le 18 juillet 2008 Le groupe britannique Marine Current Turbines vient de démarrer la production commerciale de cette éolienne sous-marine géante, ou “hydrolienne”, baptisée Seagen, installée à Strangford Lough, au large des côtes d’Irlande du Nord et désormais raccordée au réseau électrique. Seagen est la plus grosse du genre, battant la turbine prototype de 300 KW qui tourne depuis 2003 en Norvège à Hammerfest, codétenue par le géant norvégien StatoiHydro, et dont d’autres exemplaires devraient être installés au Royaume-Uni en 2009. (Ce classement exclut bien sûr l’usine marémotrice de la Rance qui joue hors catégorie avec 240 MW installés). Actuellement en phase-de test, Seagen ne produit que 150 KW, mais à pleine puissance elle fournira 1,2 MW, assez pour alimenter un millier de logements. Une série d’autres projets d’énergie marine sont envisagés un peu partout, certains déjà en phase de test. Copyright © 2014 GreenUnivers.com.

Energies marines : la France souhaite développer une filière industrielle Sources inépuisables et décarbonées, les énergies marines renouvelables (EMR), à l'image de l'éolien en mer, représentent une solution pour répondre à la demande énergétique croissante. Selon une étude réalisée par le cabinet Ernst &Young, la capacité installée des EMR dans le monde est, en excluant les aérogénérateurs, d'environ 519 MW en 2011, mais pourrait atteindre les 748 GW en 2050. Avant la commercialisation de dispositifs hydroliens ou houlomoteurs, procédés loin d'être matures pour le moment, de nombreux freins technologiques et réglementaires doivent être encore levés. La France, avec son savoir-faire industriel et son potentiel naturel important, "dispose d'atouts considérables pour se positionner sur ce marché d'avenir". A ce titre, les EMR ont été identifiées par le Commissariat général au développement durable (CGDD) comme une des 18 filières industrielles stratégiques de la croissance verte.

Seagen : les hydroliennes ça marche ! Depuis le jeudi 17 juillet, pour la première fois dans le monde, un dispositif hydrolien fonctionne à une échelle commerciale pour alimenter le réseau électrique britannique. En mai dernier, l'hydrolienne SeaGen a été installée par la société Marine Current Turbines (MCT) à Strangford Lough, en Irlande du Nord, pour être testée durant 12 semaines avant d'alimenter le réseau. Produisant actuellement une puissance de 150 kW, les ingénieurs comptent atteindre 300 kW d'ici la fin de l'été. A pleine puissance, la SeaGen devrait pouvoir produire 1,2 mégawatt, de quoi alimenter environ mille maisons. D'après Marine Current Turbines, 1,2 mégawatt « c'est quatre fois plus que n'importe quel autre projet d'hyrdolienne construit jusqu'ici ». Dès que la SeaGen tournera à plein régime, Marine Current Turbines planifie de construire d'ici 2011 une ferme hydrolienne au large de la côte d'Anglesey, au nord-ouest du Pays de Galles, d'une capacité de 10,5 mégawatt. Comment ça marche ? Combien ça coûte ?

L'énergie hydrolienne : un immense potentiel pour notre pays Le Centre des énergies renouvelables Britannique vient d’autoriser la société OpenHydro à fournir au réseau national de l’électricité produite avec des hydroliennes. Dans la course pour réaliser l’objectif européen des 20 % d’énergies renouvelables, la Grande-Bretagne, s’intéresse de près à l’énergie hydrolienne. Le pays de Galles, l’Irlande et l’Écosse offrent en effet les meilleurs sites d’Europe pour exploiter la force des courants marins, une ressource propre, inépuisable, et prévisible. Début avril 2008, Seagen, la première ferme hydrolienne à vocation commerciale, d’une capacité de 1,2 MW, était installée dans le détroit de Strangford, en Irlande du Nord. Elle devrait entrer en service durant l’été. De son côté, Open Hydro teste ses hydroliennes depuis 2006 sur le site de Fall of Warness, en Écosse. Mais ce potentiel ne prend en compte que l’énergie hydrolienne récupérable au large de nos côtes.

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