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Ivy Lee

Ivy Lee
Ivy Lee Ivy Ledbetter Lee (July 16, 1877 – November 9, 1934) is considered by some to be the founder of modern public relations. The term Public Relations is to be found for the first time in the preface of the 1897 Yearbook of Railway Literature. Early life and career[edit] The Parker and Lee firm lasted less than four years, but the junior partner, Lee, was to become one of the most influential pioneers in public relations. He evolved his philosophy in 1906 into the Declaration of Principles, the first articulation of the concept that public relations practitioners have a public responsibility that extends beyond obligations to the client. When Lee was hired full time by the Pennsylvania Railroad in 1912, he was considered to be the first public relations person placed in an executive-level position. In 1919, he founded a public relations counseling office, Ivy Lee & Associates. Through his sister Laura, Lee was an uncle to novelist William S. Effect on public relations[edit] Timothy L.

Propaganda / Lecture en ligne Vous avez ici gratuitement accès au contenu des livres publiés par Zones. Nous espérons que ces lybers vous donneront envie d’acheter nos livres, disponibles dans toutes les bonnes librairies. Car c’est la vente de livres qui permet de rémunérer l’auteur, l’éditeur et le libraire, et… de vous proposer de nouveaux lybers… et de nouveaux livres. Ouvrage initialement paru sous le titre Propaganda aux éditions H. Liveright, New York, en 1928 et réédité chez Ig publishing en 2004. © Edward Bernays, 1928. © Pour la traduction française, Zones / Éditions La Découverte, Paris, 2007. Par Normand Baillargeon « La propagande est à la démocratie ce que la violence est à un État totalitaire. » Noam Chomsky. Après avoir exposé les fondements, en particulier politiques et psychosociaux, de la pratique des relations publiques qu'il préconise (chapitres 1 à 4), Bernays entreprend de donner des exemples concrets de tâches qu'elles peuvent accomplir ou ont déjà accomplies. Edward L. Que faire, alors ? « 1.

Propaganda, d’Edward Bernays, ou comment manipuler l’opinion en démocratie le 15 décembre 2007 - 01h28, par MICHEL Oui, les medias mentent ! Nous le savons tous et eux le savent mieux que nous ! N’allons pas croire que cela est un hasard, c’est une stratégie : l’oligarchie pour maintenir sa suprématie et donc sa richesse a besoin d’une arme efficace contre la démocratie, cette arme est la désinformation des citoyens ou en des termes plus directs, le bourrage de crânes. Dénoncer cette stratégie malveillante est indispensable, cela est sûr, mais est-ce suffisant ? le 10 décembre 2007 - 11h17, par la sylvie de chatebier Son chauffeur travaillait jour et nuit, s’endormant sur la table de fatigue... le 4 décembre 2007 - 21h53, par verlene Formidable emission de propagande anti propagande... :-) Pour ceux qui veulent lire un peu Bernays, allez donc trainer par là-bas (si j’y suis) le 4 décembre 2007 - 13h59, par notod Excellente émission qui gagnerait à être écoutée par ceux qui sont partisans du "si c’était vrai cela se saurait !"

Edward Bernays Edward Bernays en 1917. Œuvres principales Il est considéré comme le père de la propagande politique et d'entreprise, ainsi que de l'industrie des relations publiques, qui ont fortement contribué à développer le consumérisme américain. Biographie[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Edward Bernays naît à Vienne en 1891. Il est à deux titres le neveu du psychanalyste Sigmund Freud[3],[4], neveu germain et neveu par alliance[5],[6] : son père, Ely Bernays (1860-1923), est le frère de Martha Bernays, l'épouse de Freud,sa mère, Anna Freud (1858-1955) est l'une des sœurs de Freud[7]. Il a publié en 1965 son autobiographie[8]. Son grand-oncle, le philologue Jacob Bernays, fut « le premier juif pratiquant à être nommé sur un poste proprement universitaire dans l'Allemagne du dix-neuvième siècle »[9]. Il a été marié à l'écrivaine et activiste féministe Doris E. Il est le grand-oncle paternel de Marc Randolph (né en 1958), le cofondateur et premier PDG de Netflix[10]. — E.

Ron Paul's Faithful Continue To Make Noise; Floor Fight Tuesday? : It's All Politics hide captionRon Paul supporters pose with posters on the floor of the RNC on Monday in Tampa. They put "Ron Paul" over the word "We" on a GOP sign that says "We Can Do Better." Liz Halloran/NPR Ron Paul supporters pose with posters on the floor of the RNC on Monday in Tampa. They put "Ron Paul" over the word "We" on a GOP sign that says "We Can Do Better." Oh, Isaac. With 24 hours of nothing officially happening at the GOP convention in Tampa because of Tropical Storm Isaac, Ron Paul supporters for the second time in as many days made themselves the center of attention at Mitt Romney's big nomination party. Sunday night close to 10,000 loyalists made a ruckus in the Sun Dome; on Monday, Paul's delegates were the ones gobbling up media attention - this time, on the floor of the Republican National Convention. Though there was no official business Monday, the convention was briefly gaveled open as a formality. And they were fully embracing their opportunities. "We are a big party," he said.

Timothy Noah: Why Do Rockefeller Republicans Always Run The Dirtiest Campaigns? A specter is haunting the GOP--the specter of Nelson Rockefeller. It's a curious paradox. The Republican party is more captive to its wingnuts than at any time since 1964. Yet three of the party's four most important figures right now--Mitt Romney, Newt Gingrich, and Mitch McConnell--began life as Rockefeller Republicans. Nelson Rockefeller, you will recall, was vice-president under Gerald Ford and governor of New York from 1959 to 1973. Romney is the son of George Romney, a liberal, Rockefeller-style Republican and Michigan governor who in 1968 posed a serious threat to Richard Nixon's quest for the Republican presidential nomination until Romney famously said that the reason he'd initially supported the war in Vietnam (by then he opposed it) was that he'd allowed American generals to "brainwash" him. Gingrich began his political career as a Rockefeller Republican, and even as he moved rightward he maintained enough moderate positions to draw suspicion from his fellow conservatives.

Brent Scowcroft Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Carrière militaire[modifier | modifier le code] Diplômé de Académie militaire de West Point, il fut pilote de l'USAAF lors de la Seconde Guerre mondiale. Dans sa carrière militaire, Scowcroft va occuper plusieurs fonctions au sein du Comité des chefs d’États-majors interarmes (Joint Chiefs of Staff), du quartier-général de l'US Air Force et au bureau du Secrétaire-Adjoint à la Défense pour les Affaires internationales de sécurité. Il termina sa carrière militaire au grade de Lieutenant General. Fonctions gouvernementales[modifier | modifier le code] En 1970, il entra pour la première fois dans le gouvernement américain à la demande du Président Richard Nixon comme conseiller militaire à la présidence. Il redevient conseiller à la Sécurité nationale sous la présidence de George H. Activités de conseil[modifier | modifier le code] Autres[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

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