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Best of : 40 astuces, infos et conseils pour une éducation bienveillante

Best of : 40 astuces, infos et conseils pour une éducation bienveillante
Voici une synthèse des informations, astuces et conseils au service d’une éducation bienveillante. Bonne lecture et n’hésitez pas à apporter votre contribution. 1) Les paroles et les actes humiliants détruisent les neurones des enfants (source). 2) La bienveillance n’est pas du laxisme (source). 3) Les colères des tout-petits ne sont pas dirigées vers l’adulte. 4) Les vrais caprices nécessitent une certaine maturité (source). 5) Un enfant sujet à une tempête émotionnelle ne peut pas s’apaiser seul (source). 6) Les punitions sont inefficaces et nuisibles pour le développement de l’enfant(source). 7) Les enfants préfèrent les règles aux interdits (source). 8) L’affection et l’attention font maturer le cerveau de l’enfant dans sa globalité. 9) Les adultes durs et rigides rendent les enfants agressifs, anxieux, déprimés, susceptibles de succomber aux addictions plus tard. 10) Les compliments sont moins efficaces qu’une description sans juger (source). 15) Mieux vaut montrer que bavarder (source). Related:  psycho péda

Évaluer différemment les élèves : l’exemple danois Pas de notes avant 15 ans, pas de palmarès des établissements, des examens qui privilégient les projets ou les travaux inédits, l’utilisation généralisé des TIC dans l’évaluation : le Danemark présente une série de caractéristiques susceptible de faire réfléchir sur les relations entre l’apprentissage et les évaluations scolaires. Ce n’est certainement pas un modèle à recopier (les écoles était d’ailleurs ces derniers jours bloquées par un conflit entre les enseignants et les municipalités) mais il a le mérite d’aider à faire bouger les lignes et de considérer différemment des traits de notre système considérés comme naturels voire inhérents à toute situation scolaire. En France, toute réforme des modalités du Bac semble porter atteinte à la civilisation (universelle, cela va de soi), dévaluer les diplômes ou menacer l’équilibre des savoirs. Une école qui n’était pas obsédée par l’évaluation Les résultats restent confidentiels.

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Les circuits cérébraux : des capacités disponibles dès l’origine Les circuits cérébraux qui sous-tendent les apprentissages ne sont d’ailleurs pas si variés. L’apprentissage de la lecture active une région spécifique, mais il mobilise et active aussi d’autres zones. Différentes zones du cerveau La zone de la lecture recycle un « algorithme » préexistant, celui de la reconnaissance des visages : au scanner, on voit nettement la même zone s’activer. Mais ce recyclage n’est pas une simple réutilisation. Comment alors passe-t-on d’une lecture ânonnante à une lecture fluide ? 1. 2. 3. 4. Stanislas Dehaene

Taxonomie de Bloom La taxonomie de Bloom est un modèle de la pédagogie proposant une classification des niveaux d'acquisition des compétences[1]. Benjamin Bloom, bien qu'il n'en soit pas le seul créateur (34 universitaires américains participent aux conférences de 1949 à 1953), est souvent reconnu comme le « père » de cet outil[2],[3]. Description[modifier | modifier le code] Composition[modifier | modifier le code] Elle peut être résumée en six niveaux hiérarchiques[5]. Révision[modifier | modifier le code] Depuis sa formulation en 1956, les critiques de la taxonomie de Bloom ont généralement porté, non pas sur l'existence des six catégories, mais sur la réalité d'un lien hiérarchique séquentiel entre elles[7]. Certains considèrent les trois niveaux les plus bas (connaissance, compréhension, application) comme étant hiérarchiquement ordonnés, mais les trois niveaux supérieurs (analyse, évaluation et synthèse) comme égaux. Applications[modifier | modifier le code] Chaque niveau englobe les précédents.

LES TECHNIQUES PEDAGOGIQUES Enseigner plus explicitement : l'essentiel en quatre pages Ce que dit le prescrit Le référentiel de l'Éducation prioritaire (« enseigner plus explicitement les compétences que l’école requiert pour assurer la maitrise du socle commun »), comme les programmes 2015 des cycles 2, 3 et 4, avec de nombreuses occurrences du terme «explicite», s’accordent sur la nécessité « d’enseigner plus explicitement ». Nombre de modalités sont recommandées au fil des pages : expliciter des techniques, des pratiques, des attentes, des règles, des stratégies, des démarches, des savoir-faire, des implicites dans la compréhension des textes, des connaissances préalables aux apprentissages... Des cadres théoriques différents Depuis quelques années, le vocable « pédagogie explicite » est utilisé par plusieurs courants de recherche au risque de malentendus : Les savoirs scolaires ne sont pas une somme de connaissances à accumuler dans la tête des élèves. Expliciter : comment, pourquoi, quand ? En résumé Des outils pour la formation ? Lire la suite... Pour aller plus loin

Empathie, une passion qui tue «L’empathie? Je suis contre», clame Paul Bloom, psychologue canadien installé à l’université de Yale et auteur d’un livre au titre ahurissant: Against Empathy, justement, «Contre l’empathie». Définie comme la tendance à se mettre spontanément dans la peau d’autrui, l’empathie est célébrée quasi universellement comme étant l’un des traits les plus aimables de notre esprit. Selon le chercheur, elle fait en réalité plus de mal que de bien, car elle nous focalise sur les souffrances d’une personne particulière en nous laissant indifférents (ou même en nous rendant hostiles) à toutes les autres. Le Temps: Pourquoi avez-vous appelé votre livre «contre l’empathie» plutôt qu’«au-delà de l’empathie»? Paul Bloom: Parce qu’on se porterait mieux si on pouvait s’en débarrasser. – Dans le sous-titre, vous annoncez un «Plaidoyer pour la compassion rationnelle». – L’empathie consiste à ressentir ce que ressent l’autre. – Vous citez votre confrère Martin L. – Pourquoi sommes-nous donc dotés d’empathie?

Neurosciences : aider les élèves à comprendre Dans leur ouvrage Les neurosciences cognitives dans la classe, Jean-Luc Berthier et ses co-auteurs proposent des pistes pour aider les élèves à mieux comprendre. 1.Vérifier l’attention Jean-Luc Berthier et ses co-auteurs expliquent que parfois les élèves n’ont pas suffisamment fait attention à la consigne. Le premier réflexe à avoir est de vérifier avec les élèves s’ils ont toujours en tête la consigne et les ressources exploitables pour y répondre. Le cerveau a besoin d’un but clair et conscient de ce qu’il faut faire. Quand un élève est capable de répéter la consigne et le contenu des documents, alors l’attention n’est pas le problème à l’origine du manque de compréhension. 2.Vérifier la compréhension Jean-Luc Berthier et ses co-auteurs rappellent que la compréhension n’est pas un processus binaire et qu’il est inefficace de demander aux élèves : “As-tu compris ?” La meilleure question est alors : “Qu’as-tu compris ? 3. 4.Faire expliquer Crédit illustration freepik.com Related

Les trois phases du processus d'apprentissage Steve Bissonnette et Mario Richard Tiré du livre La pédagogie – Théories et pratiques de l’Antiquité à nos jours (Gaëtan Morin éditeur, Chenelière Éducation, 2e édition, 2005) : chapitre 15, “Le cognitivisme et ses implications pédagogiques”, p 317 à 329 Télécharger le document La phase d’acquisition La phase d'acquisition représente essentiellement le parcours qu'emprunte toute information depuis sa perception par la mémoire sensorielle jusqu'à sa compréhension, ou sa représentation en mémoire à court terme. Ainsi, comprendre la représentation de l'élève nous permet de saisir l'origine de plusieurs problèmes d'apprentissage vécus en salle de classe. De fait, les recherches en psychologie cognitive nous révèlent que les représentations ont un tel pouvoir explicatif spontané qu'elles deviennent durables et résistent très fortement au changement. Figure 1La démarche d’enseignement expliciteTirée du livre de Bissonnette & Richard (2001 p. 82) Comme le soulignent Gauthier et al

Introspection et action sur nos valeurs éthiques… – prepaclasse.fr Tout enseignant, tout formateur, tout responsable notamment d’un service qui concerne ou accueille le public doit un moment prendre le temps d’analyser sa propre pratique au regard des exigences éthiques. A l’école publique, la question est d’autant plus sensible qu’elle s’inscrit dans un contexte où par nature chacun (élève, parent, enseignant, partenaire…) doit pouvoir se sentir accueilli et respecté sans préjuger… Les principes s’y exercent avec rigueur mais sans rigidité, avec tolérance sans laxisme, dans un cadre commun où il s’agit pourtant de permettre de développer le projet de chacun sans l’enfermer ni le réduire à des présupposés… Chacun a sa place à l’école : il faut en être convaincu à l’intime. Notre école publique – ou sous contrat d’association – doit être une école inclusive et celle du respect d’autrui. Un certain nombre de conduites toxiques génèrent des troubles et mettent du petit bois au feu de la défiance. Un débat ouvert et certainement à poursuivre… WordPress:

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