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Les 7 étapes d'un projet

Les 7 étapes d'un projet

La pédagogie par compétences au Québec : les enseignants sont les plus critiques, Alter Educ :Archives : La réforme de l’enseignement fondamental mise en place au Québec entre 2000 et 2002 vient d’être évaluée par l’Université Laval, sous la direction du professeur Marc-André Deniger. Ce rapport d’évaluation1, paru en octobre et commenté dans la presse québécoise en novembre, nous intéresse particulièrement au vu des similitudes fortes entre la réforme québécoise et celle qui a cours dans nos écoles fondamentales depuis 2000 également : organisation du cursus en cycles de deux ans, acquisition de compétences, suppression du redoublement, travail en équipes des enseignants, etc. Si le rapport montre un fort taux d’adhésion des enseignants à la réforme, il ne pointe pas moins de grandes difficultés d’application notamment en matière d’évaluation des compétences. Sabine Kahn, chercheuse à l’ULB qui travaille également sur le Québec, met cette évaluation en perspective en pointant les ressemblances avec notre situation et les éléments inhérents au contexte québécois. Mise en perspective

Association Française des Enseignants de Français Où en sommes- nous de l’approche par compétences ? Enquête sur la rumeur selon laquelle elle serait remise en question Origines de la notion de « compétence(s) » La notion de « compétence(s) » déséquilibre de nombreux enseignants. Le décret du 11 juillet 2006 rappelle ces filiations : « La définition du socle commun prend également appui sur la proposition de recommandation du Parlement européen et du Conseil de l’Union européenne en matière de « compétences clés pour l’éducation et l’apprentissage tout au long de la vie. Elle se réfère enfin aux évaluations internationales, notamment au Programme international pour le suivi des acquis des élèves (PISA), qui propose une mesure comparée des connaissances et des compétences nécessaires tout au long de la vie. » Mais ce n’est pas sa seule tâche. Faisons le point Dans ce contexte fortement anxiogène la tentation est grande de « rêver » que ni l’enseignement ni l’évaluation par compétences ne voient réellement le jour.

Le CDI tel qu’en lui-même enfin sa dignité le fige Brève histoire des Centres de Documentation et d’Information où l’on essaie de comprendre pourquoi ils ne furent jamais à la hauteur de ce qu’ils promettaient. À Agnès, Brigitte, Françoise, Jean-Pierre et Michel, cette contribution à un débat souvent entamé et jamais conclu. Affectueusement. Lorsqu’en 1958 l’ancêtre le plus direct du CDI (Centre de Documentation et d’Information) est créé au lycée Janson-de-Sailly l’objectif est de favoriser le contact entre l’élève et le document. Il s’agit de faire entrer dans les pratiques ce qui est préconisé par la circulaire ministérielle du 13/10/1952 : utiliser le document comme source de connaissance et non le présenter à la fin du cours magistral comme complément et illustration. Le CDI (à l’époque SDI, S pour service) s’inscrit à l’origine dans la promotion (modeste et raisonnable) des méthodes actives d’enseignement. Mais les fées qui se penchèrent sur le berceau du CDI n’assuraient pas le service après vente. Mise à jour – 17/02/2011

André Giordan - L'envie d'apprendre L’envie d’apprendre André Giordan “On a envie de foot, on a envie de rap (...) M’sieur !, on a pas envie d’apprendre”. Pour en savoir plus : André Giordan, Apprendre, Belin, 1998. Apprentissage par projet ou apprentissage du projet ? Cela fait quelques temps que les étudiants de 2ème année de BTS sont en projet et que je ne suis pas satisfait par la façon dont se déroule cette activité. En parcourant des documents repérés il y a un an à peu près (delicious m’a aidé à retrouver la date), je suis tombé sur cette grille d’analyse globale d’un projet qu’il est intéressant de compléter par la grille de vérification pour la planification d’un projet pour expliciter les différents critères. Je me permets de reprendre les grandes lignes de la première pour présenter le cadre général des projets qui sont planifiés dans notre BTS. 1 – Le projet est initié par un élément déclencheur qui pique l’intérêt et la curiosité (ex : question, situation problème) Pas du tout ! Nous fournissons aux étudiants un cahier des charges d’une quinzaine de pages qui décrit l’ensemble du projet (cadre, cahier des charges, planning prévisionnel, outils utilisés, répartition du travail, production attendue, …). Oui. Oui ! Très peu. Bilan des courses

Handicap et pédagogie « Site animé par le CRDP du Limousin L'Agence nationale des Usages des TICE - L’ordinateur en maternelle : 5 stratégies pour apprendre par Fanny Alvado * et Mônica Macedo-Rouet * L'usage de l'ordinateur en maternelle passe souvent par la découverte des logiciels et des jeux éducatifs. Quelles stratégies l'enseignant peut-il employer avec ses élèves pour leur permettre de mieux s'approprier ces outils ? De nombreux exemples qui aident à l’accompagnement des élèves par le professeur sont fournis sur le site Educnet (consulter le menu « voir aussi »). Une étude montre que la médiation faite par l’enseignant, entre l’élève et l’ordinateur, influence de manière décisive les apprentissages. Stratégies de médiation Pnina Klein et son équipe de l’Université de Bar Ilan (Israël) ont conduit une étude auprès de 150 élèves (79 garçons et 71 filles) entre 5 et 6 ans pour comparer l’efficacité de trois types d’accompagnement à l’usage des ordinateurs : Ces stratégies ont été mises en œuvre par les enseignants participant à l'étude, dans leur classe. L’étude s’est ensuite déroulée sur 17 semaines. Effets observés Recommandations

Notes et compétences, quelle équation ? C'est une question qui agite la salle des profs, à l'heure de la mise en oeuvre du socle commun. J'émets l'hypothèse de l'incompatibilité. La note sur 20 permet, à travers l'exemple de la dictée, de sanctionner les fautes. On peut rétorquer que dans les multiples évaluations notées, les points sont comptés en positif : on pointe les réussites des élèves par un point, qu'on pourra d'ailleurs décliner jusqu'au quart de point selon le degré d'approximation de la formulation de l'élève. Retirer un demi ou un quart de point sur une question permet de signifier à l'élève que sa réponse n'est pas parfaite, mais qu'elle comprend tout de même un élément de réponse positif. Si l'on se penche sur les moyennes (obtenues par de savants calculs coefficientés), ce "réel" est biaisé. Ces constantes s'expliquent par des mécanismes protecteurs de la part du professeur, obnubilés tant par la réussite des élèves, que par la moyenne que l'on présente en conseil de classe.

ENSEIGNEMENT • Une crise planétaire de l’éducation Partout dans le monde, au nom du progrès économique, les pays renoncent à cultiver chez les jeunes des compétences pourtant indispensables à la survie des démocraties. Mise en garde de la philosophe américaine Martha Nussbaum. Nous traversons actuellement une crise de grande ampleur et d’envergure internationale. Je ne parle pas de la crise économique mondiale qui a débuté en 2008 ; je parle d’une crise qui passe inaperçue mais qui risque à terme d’être beaucoup plus dommageable pour l’avenir de la démocratie, une crise planétaire de l’éducation. De profonds bouleversements sont en train de se produire dans ce que les sociétés démocratiques enseignent aux jeunes et nous n’en avons pas encore pris toute la mesure. Avides de réussite économique, les pays et leurs systèmes éducatifs renoncent imprudemment à des compétences pourtant indispensables à la survie des démocraties. De quels bouleversements s’agit-il ? Des cours magistraux sans participation active Martha C.

R?sum? - Conseil sup?rieur de l'?ducation Éducation et nouvelles technologiesPour une intégration réussie dans l'enseignement et l'apprentissage Rapport annuel 1999-2000sur l'état et les besoins de l'éducation Synthèse En même temps que le système éducatif québécois s’engage dans une transformation majeure de son organisation et de ses programmes d’études au primaire et au secondaire ainsi qu’au collégial, que les universités doivent répondre de leur mission de formation et de recherche, que l’éducation des adultes prend une importance accrue dans la perspective d’une formation tout au long de la vie, une révolution technologique sans précédent apporte des changements d’envergure dans les sociétés contemporaines et incite le monde de l’éducation à renouveler ses modes d’enseignement et ses outils d’apprentissage. Technologies nouvelles et éducation : un aperçu de l’état des lieux Le système éducatif ne peut s’exclure de cette (r)évolution technologique qui touche l’ensemble de la société. Apprendre autrement, enseigner différemment

Socle commun : un malentendu ou pire ? (Bon, je sais, c’est mal de ne pas poster de billet pendant si longtemps quand on a la prétention de tenir un blog. C’est pas de ma faute, c’est de la faute de Manfred et de Jessica.) A force de m’intéresser au sujet, j’en suis venue à la conclusion que l’on peut dire tout et n’importe quoi sur le Socle Commun des Connaissances et des Compétences", aussi appelé "S3C" pour les intimes. Le Socle Commun, c’est ça : Pour commencer, les sources. Décret de juillet 2006 : L’article 9 de la loi du 23 avril 2005 d’orientation et de programme pour l’avenir de l’École en arrête le principe en précisant que "la scolarité obligatoire doit au moins garantir à chaque élève les moyens nécessaires à l’acquisition d’un socle commun constitué d’un ensemble de connaissances et de compétences qu’il est indispensable de maîtriser pour accomplir avec succès sa scolarité, poursuivre sa formation, construire son avenir personnel et professionnel et réussir sa vie en société". Bon, j’arrête là, ça me déprime…

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