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Non à la “curation” » Article » OWNI, Digital Journalism

Non à la “curation” » Article » OWNI, Digital Journalism
Néologisme du moment chez les prescripteurs du web, le terme "curation" n'est pas toujours très clair. Parce qu'il est trompeur sur ce qu'il désigne, Titiou Lecoq souhaite même le repousser au loin. Très loin. L’autre soir, je prenais l’apéro avec le binôme de l’Internet (elle et lui). Elle sortait d’une conférence sur la curation. Donc en anglais, le mot curator désigne les conservateurs de musée qui choisissent des tableaux pour organiser une exposition. Le syndrome du community manager? Evidemment, le combat est perdu d’avance. Comme vous n’aurez pas manqué de le noter, ami lecteur mon frère, au moins une fois par semaine, je fais un post avec des liens coolos que j’ai trouvés sur le web. L’avenir est sombre Pourtant, aller chercher des liens coolos sur l’interweb et les organiser, oui c’est du boulot. Preuve s’il en fallait que l’avenir est sombre : à peu près toutes les occurrences de curation vont de paire avec les mots “marketing” et “marques”.

Meta! Here’s how Storify looks telling the story of Storify At the TechCrunch Disrupt conference this week, one of the new tools to emerge — besides, that is, Lark, the new app that wakes you “silently, without a jarring alarm” — was Storify. Founded by Burt Herman (a former AP reporter and founder of the journotech meetup group Hacks/Hackers) and developer/entrepreneur Xavier Damman, the platform promises a new way to leverage the real-time power of social media for creating stories. It’s doubling down on the increasingly common assumption that the future of news will demand curation on the part of news producers. How does it work? Conclusion?

La curation, un usage au cœur d’une nouvelle révolution du web La Social Media Week parisienne débutait hier avec une conférence organisée par Pearltrees, Scoopit, ReadwritewebFr et la Région Ile de France et consacrée à la curation. L’enjeu : la curation est-elle l’avenir du web ? Un terme encore à définir Le phénomène de curation serait tellement nouveau qu’il n’aurait pas encore de définition bien établie, sans parler d’une tentative de traduction en français. Tous curateurs ? Si le terme est récent, le phénomène est ancien. Le panel 2 du débat avec E. Curator, mais pour quoi faire ? Le curator peut être journaliste web, documentaliste, archiviste du net, voire même blogueur ou, plus vraisemblablement, aucun d’entre eux : le curator est le plus souvent un expert sur un sujet qu’il maîtrise et/ou qui le passionne. Le curator, simple dépollueur ou sauveur du web ? La curation serait, finalement, une conséquence naturelle de l’évolution du web, de la qualité et de la quantité de contenus partagés chaque jour.

Vous avez dit « Curation » ? Par Frédérique Yvetot « Curation », « curateur », « curationner », « plateforme de curation »... depuis le début de l'année, ces termes sont à la mode. Voyons voir ce qu'est cette chose qui fait le buzz, paraît-il, sur Internet. Petite mise au point sur une pratique qui n'est pas nouvelle mais qui s'est considérablement développée ces derniers temps. « La veille est un métier, pas une compétence... » Quelle affirmation de Camille Alloing publiée sur CaddE-Réputation ! On le dit assez souvent, le Web est complexe, sans cesse en mouvement, foisonnant d'informations nouvelles ou actualisées. Sur CaddE-Réputation : La veille est un métier, pas une compétence « Le Curateur est-il un veilleur ? En conclusion, Camille Alloing considère le curateur comme un tiers facilitateur au service des internautes, en leur permettant d'accéder à des informations glanées sur le Web. Petit bémol... La solution ?

Curation, piège à cons ? | Buzz | Atchik-Services Pour comprendre ce qu’est la curation, il faut se reporter à un autre néologisme : l’infobésité (ou information overload), autrement dit la surabondance d’informations, cette accumulation considérable du volume de données disponibles en temps réel sur Internet. Ce « festin gratuit et délicieux », selon l’expression de Brian Solis, a tendance à devenir indigeste pour beaucoup d’internautes et de décideurs. Le PDG de Google rappelait récemment que l’humanité produit plus d’informations en deux jours que depuis le début de la civilisation à aujourd’hui. Chaque minute, 36 heures de vidéos sont postées sur Youtube, 3 000 photos sont envoyées sur Flickr, et 200 000 messages sont tweetés… Le paradoxe c’est qu’on n’est pas mieux informé pour autant car cette situation est source de confusion : trop d’infos tue l’info. C’est à ce besoin précis que répond ce nouveau concept de « curation ». Au fond, la qualité des contenus du web social est l’enjeu principal de la curation. Eric 6 Commentaires

» La « curation », un nouveau métier du Web? Très bientôt, le contenu accessible sur Internet doublera toutes les 72 heures. Trouver une information pertinente deviendra une tâche encore plus ardue! En réponse à cette préoccupation, une pratique est en vogue depuis plusieurs mois sur le Web: la curation. On mise désormais sur l’édition et la diffusion plutôt que sur la création de contenu. En quoi consiste la curation? Qu’est-ce que la curation? Le terme anglais curator se traduit par conservateur dans le domaine de l’art. Source: prezi.com L’organisateur de contenu recherche l’information sur les réseaux sociaux ou dans les médias traditionnels, la sélectionne, la classe pour ensuite la partager à l’interne (site de l’entreprise, bulletin électronique) ou à l’externe (médias sociaux, blogue). Tout le monde fait de l’organisation de contenu sans le savoir, que ce soit en publiant un lien sur Facebook ou Twitter et en y intégrant un commentaire ou encore en émettant un avis sur TripAdvisor. Outils d’édition de contenu manuels Montage

Cascaad - Connect your interests La curation en long, en large et (souvent) en travers Ça fait un petit moment que je lis des articles sur la "curation" (issue du mot anglais et non du sens français comme le faisait remarquer Titiou Lecoq dans son billet).Le sujet déchaîne les passions numériques. On se demande si le curator est un veilleur, si c'est un "bullsh** marketing" ou si le curator va résoudre les problèmes d'infobésité. Le mot agace et les débats autour de cette fonction ressemblent souvent à de longues logorrhées ou à des panégyriques sans vraiment s'intéresser aux outils. Prenons donc de la distance et de la hauteur pour parler de ces petites inventions bien pratiques qui, faute de changer la face du web, rendent service à des utilisateurs avertis. Pour ceux qui auraient la fainéantise de cliquer sur le premier lien (ci-dessus), sachez qu'on parle de curator pour désigner une personne qui sélectionne et compile des contenus pour, en général, les rassembler en un seul et même endroit. Tumblr et Pearltrees des outils de curation avant l'heure

Vous reprendrez bien un peu de curation à la sauce juridique Le billet que j’ai publié la semaine dernière : « Propulsion, Curation, Partage… et le droit dans tout ça ? » a suscité un certain nombre de réactions, commentaires, échanges, qui me donnent envie de prolonger la réflexion, en creusant plusieurs points sur lesquels on a attiré mon attention. Décidément, vous allez voir que la curation est un sujet d’une grande richesse juridique, mais d’une grande complexité également… Pour assaisonner un peu vos pratiques de curation, je vous recommande la sauce juridique ! L’épineuse question du droit applicable Dans mon billet, je pars du principe que le droit français est applicable aux pratiques de curation et de propulsion de contenus sur Internet. Or dans un commentaire sur Twitter, Clarinette02 soulève de manière fort pertinente la question de la loi applicable, attendu que ces pratiques se déroulent en ligne et impliquent par définition la circulation des contenus, d’une manière parfois difficilement rattachable à un pays donné : To LINK.

La douleur du curateur Paper.Li a fait le buzz, Qwiki vient doucement par invitation. Pearltrees est un must des geek. Le leader et l'inventeur est sans doute scoop-it. Des plateformes et services différents qui partagent un même principe : composer une ligné éditoriale à partir de contenus produits ailleurs : vidéos, post, images, documents que les producteurs éditent sur de multiples plateformes et qu'on associe dans un même espace. Une sorte de Djing textuel : mixer des textes et des documents qu'on a pas écrit, pas photographier, pas dessiner, pas mis en scène, pour composer un journal neuf, une édition originale, un collage. Incidemment ces outils créent un rôle nouveau dans les métiers du marketing digital : Le curateur. C'est bien de drame de l'information. Mais pas de Dj sans technologies, sans table de mixage, sans automate qui ajuste les rythmes et les clés, permettant d'assembler ce qui ne partage rien, et donne l'illusion d'un tout, d'une création.

La curation, vous n’y échapperez pas en 2011 Merci de votre visite chez Adverbe. Pour suivre notre actualité, vous pouvez vous abonner à notre flux RSS, à notre compte Twitter ou à notre newsletter. Vous pouvez également laisser une trace de votre passage, un encouragement, une critique dans un commentaire. La curation et le curator pourraient bien être à les termes de l’année, comme le community management l’a été en 2010 ou la e-réputation en 2009. Nous en sommes encore aux balbutiements, à la recherche d’une traduction française euphonique plus adaptée que le sens anglophone de « conservateur » (dans l’acception de protecteur) et trahi par le faux ami juridique « curateur ». Un digital curator est un aiguilleur qui analyse, trie et distribue l’information du Web en fonction des destinataires. Rien de neuf sous le soleil donc, le curator ne fait qu’appliquer le fameux cycle du renseignement : collecte de l’information, analyse et diffusion. Valeur ajoutée de la curation : tri et éditorialisation Le curator peut-il être un robot ?

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