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The Venus Project

The Venus Project
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. The Venus Project, Inc (le Projet Venus) est une société à but lucratif américaine[1] qui promeut la vision de l'avenir de Jacque Fresco[2], un système où l'humanité vivrait en harmonie avec la nature grâce à la technologie et à une économie basée sur les ressources qui n'utiliserait pas de monnaie. Ce serait une société critique[3] à travers laquelle les méthodes et traits socratiques, la pensée critique[4] et la méthode scientifique sont promus comme méthodes de prise de décisions. Un site web et la diffusion de vidéos et d'une littérature dédiée visent à améliorer la société par une « Économie basée sur les ressources » et par le design de villes durables, une efficacité énergétique, une gestion des ressources naturelles et une automatisation. Histoire[modifier | modifier le code] Cette société fut créée par Jacque Fresco et Roxanne Meadows en 1994[6], et représente en 2013 la consécration de 75 années de recherches scientifiques[7].

The Venus Project ChgSociété(1) Hacking pour modèle (parce que de nombreux commentaires renvoient une forme d’impuissance, de pessimisme fort compréhensible face aux constats politiques et économiques développés ici-même, il est important d’amener aussi des aspects constructifs et positifs à toute cette histoire. Les crises sont facteurs de création, de liens et d’inventivité puisqu’elles forcent à compenser les difficultés inhérentes qu’elles génèrent. Il est possible de hacker la société, à son échelle individuelle, et avec un mouvement de ce type de plus en plus partagé par le plus grand nombre, de faire basculer un peu les choses, voir beaucoup.) Pour les plus jeunes, les moins de 25-30 ans, certains modes de fonctionnement sont quasiment inconnus. Par exemple, les trois ou quatre gugus qui entourent un capot ouvert de voiture avec tout un tas de clés, de tournevis et autres canettes de bière autour et qui passent plusieurs journées à réparer l’engin. Changer soi-même, avant de vouloir changer le monde C’est quoi le hacking ?

ChgSociété(2) Archipel des hackers (Si l’on a envie que la société change un tant soit peu, il est nécessaire de changer soi-même, s’observer et observer cette société différemment. Et il est absurde de le faire avec les lunettes du siècle dernier. C’est pourtant ce que font tous les politiques, avec une constance sans faille, comme une bonne partie de la population. Leurs constats vont de pair avec les solutions, basés sur le monde du XXème siècle et nous sommes au XXIème. Petite promenade dans l’approche du monde qui nous entoure, mais avec des lunettes plus en accord avec l’époque.) Le premier article de cette série apportait de façon généraliste des possibilités de modifier le fonctionnement quotidien de chacun en utilisant le modèle du hacking. Un peu de philosophie sociale La philosophie a pour objet de réfléchir sur l’existence humaine. Quelques exemples : on explique aux jeunes qu’ils doivent faire des études. L’éthique hacker : un moyen de vivre différemment Qu’est-ce que l’Archipel des Hackers ?

ChgSociété(3) Politique du code source ouvert (Le concept d’archipel des hackers doit être développé pour mieux comprendre comment une autre société pourrait émerger en suivant d’autres modèles que ceux qui nous écrasent actuellement. Si l’on prend la politique, peut-on essayer d’envisager comment les hackers se positionneraient à ce niveau là ? Petit tentative hypothétique d’une organisation politique avec des hackers comme composante majeur, et pourquoi pas, en acteurs de la politique.) Tout ce que vous allez lire peut-être modifié, contesté, amélioré, changé, transformé : l’hypothèse est par définition une réflexion temporaire. Imaginez que l’archipel des hackers soit devenu une organisation qui compte dans la société. Analyser, faire, échanger, proposer et laisser faire Par essence, en lien avec l’éthique hacker, une organisation de hackers ne peut être que décentralisée et sans autorité. Une fois ces quelques point établis, passons à l’action à proprement parler : que pourrait donc faire l’archipel des hackers concrètement ?

Comment les contenus générés par les utilisateurs menacent-ils le capitalisme La lecture de la semaine prolonge le texte d’il y a 15 jours, qui tentait de comprendre pourquoi Facebook était valorisé à 100 milliards de dollars. On se souvient que la réponse était que la valeur : c’est nous, les utilisateurs ! Le texte d’aujourd’hui est un entretien donné à Al-Jazeera par Michel Bauwens (Wikipédia, @mbauwens), le fondateur de la Peer-to-peer Fundation, qui cherche à analyser les effets à long terme de contenus générés par les utilisateurs sur le capitalisme. « Ce qui est important, explique Bauwens, c’est que Facebook n’est pas un phénomène isolé, mais participe à une tendance plus lourde de notre société : une croissance exponentielle de la valeur d’usage produite par le public. Il est important de comprendre que c’est là un énorme problème pour un système capitaliste, mais aussi pour le travail tel que nous le concevons traditionnellement. Image : Typography Power par Charis Tsevis. D’où une série de questions qu’il pose : Xavier de la Porte

www.droit-aliments-terre.eu/pages/menu1/programme_lascaux.html Le projet de recherche en droit agroalimentaire « Lascaux » a été sélectionné par le Conseil européen de la recherche en août 2008, à la suite d’un appel international à propositions auquel François Collart Dutilleul, Professeur à l’Université de Nantes et membre de l’Institut universitaire de France, a répondu. Cet appel à propositions (Grant Agreement for Advanced Investigator Grant - Sciences sociales, 2008) relève du programme européen « IDEES », au sein du 7e Programme–Cadre (Convention ERC n° 230400). Un contrat a été conclu le 21 janvier 2009 entre la Commission européenne et l’Université de Nantes, structure d’accueil du Programme. Lascaux est financé par la Commission européenne à hauteur de 1 940 000 €. Il a une durée de 5 ans (2009-2014). Il est placé sous la direction scientifique de François Collart Dutilleul. The Lascaux program (2009-2014) is linked to the 7th Framework Programme of the European Research Council ("IDEAS").

La légende noire du monde électronique Roger Chartier, Collège de France, 10 janvier 2013, cliché DL Entretien avec Roger Chartier, professeur au Collège de France Première partie : La légende noire du monde électronique La période contemporaine ressemble à bien des égards au 18e siècle. Séquence 1 : Analogie 18e/21e du fait des flux d’information écrite Dominique Lacroix : Les flux d’information et de communication écrites n’ont jamais été aussi abondants et accessibles. Roger Chartier La surabondance et la perte, deux angoisses de longue durée La première remarque est qu’on retrouve une crainte de longue durée. Récemment une collègue américaine, Ann Blair, a écrit un livre qui s’appelle Too much to know, Trop de choses à savoir, et qui porte sur le temps de la Renaissance, 16e-17e siècles. Il y a ces deux éléments, qui me paraissent très liés l’un à l’autre. Nouveauté : l’information détachée de son support Mise en question de la notion d’œuvre, et même de fragment Cela représente une rupture essentielle. L’amitié et l’identité

Vers des Lumières numériques ? Entretien avec Roger Chartier, professeur au Collège de France Cet entretien avec l'historien Roger Chartier, spécialiste de l'écrit aux 16e-18e siècles, réalisé en compagnie de Thierry Gaudin, prospectiviste, alimente une réflexion sur le thème des Lumières numériques, menée par la Société européenne de l'Internet. L'expérience est insolite. Proche du dialogue impossible : les questionneurs sont tournés vers l'avenir, qu'ils souhaitent prévoir et même influencer. L'interviewé, par sa qualité d'historien, aborde avec grande modestie le registre du futur. Et pourtant, les réponses de Roger Chartier, sans concession mais sans dérobade non plus, livrent de précieux axes de réflexion. Roger Chartier, Collège de France, 10 janvier 2013, cliché DL Séquence 4 : les éduqués au chômage Voyez-vous aujourd'hui une catégorie sociale qui pourrait exercer un rôle comparable ? Roger Chartier Des structures comparables… … pas nécessairement les mêmes conséquences Roger Chartier : Oui, c’est possible.

il faut toujours se méfier des organisations sociales imaginées par un architecte... by ulysse.en.quete Dec 11

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