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Banques éthiques, monnaies libres… et toi, tu fais quoi après la crise ?

Banques éthiques, monnaies libres… et toi, tu fais quoi après la crise ?
Pas besoin d'un plan de sauvetage à 140 milliards pour moraliser le capitalisme : monnaies libres, banques éthiques et autres outils existent pour donner un peu de sens à la finance. Doté de seulement deux banques éthiques, la France paie le prix d’une stratégie de concentration en géants mondiaux, pas très raccord avec les aspirations de moralisation du capitalisme. 5 millions d’euros de fonds propres, plus de 26 000 sociétaires / actionnaires… « D’un point de vue purement réglementaire, nous avons le droit d’être une banque de plein exercice », annonce Marc Favier, responsable du projet de développement et d’innovation de la banque éthique La Nef. Seulement voilà : la Banque de France ne veut pas. Partie de la loi de 1984, la concentration du secteur bancaire orchestré par la Banque de France a certes livré des mastodontes internationaux au secteur bancaire français, mais la prive aujourd’hui de tout réseau de banque éthique indépendant. La crise des grands condamne les petits

Peut-on vivre en France sans compte en banque ? Aucune loi n'oblige les citoyens français à posséder un compte en banque. Pourtant, ils ne sont que moins de 1% de la population à ne pas être « bancarisés », selon une enquête du Credoc datant de fin 2009. Un chiffre si faible que les chercheurs admettent qu'il est difficile de l'interpréter : « Le nombre de ménages en situation de pauvreté n'ayant pas de compte de dépôt est trop faible pour analyser les raisons de non-possession. On peut cependant relever que les motifs liés à l'absence de besoin, ou au choix de ne pas avoir de compte de dépôt, sont plus souvent mentionnés. » Christian Cyril Ver Hulst, professeur agrégé de gestion, décrit les profils concernés : « C'est le cas de plusieurs millions d'enfants et d'adolescents français, voire d'adultes notamment en situation irrégulière du point de vue du titre de séjour. Un « droit au compte » que la Banque de France doit faire respecter C'est pourquoi un « droit au compte » a été institué.

Pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font Jeudi 25 août 2011 4 25 /08 /Août /2011 22:35 Je vous rassure tout de suite, le blog ne se lance pas dans la théologie, simplement force est de constater que nos dirigeants correspondent parfaitement à la phrase supposée du prophète des chrétiens. La multiplication des plans de contrition montre que les dirigeants n'ont encore rien compris à la nature de la crise. Ils ne cessent de l'amplifier par comportement mimétique et leur casuistique libérale est incapable d'expliquer la nature de la crise que sa propre raison a engendré. Certes, il y a chez certaines de ces élites un cynisme certain, mais je doute honnêtement que ce soit le cas de la majorité des dirigeants français. Il est vrai que ces trente dernières années les accalmies relatives ont pu faire croire à certains que la crise des années 70 était finie. "La conjoncture économique plombe la lutte contre le chômage " Si vous ne voyez pas ce qui est drôle, alors je ne peux rien faire pour vous.

Quand le FMI fabrique la misère (documentaire, 46' 05) + dossier FMI Un témoignage implacable sur le rôle criminel du FMI ! Avant les années 80, le Ghana était considéré comme un pays en voie de développement prometteur. La crise économique que connaît le pays va amener une situation locale désastreuse au niveau des services de base. Le FMI et la Banque Mondiale proposent des prêts au pays, sous la condition dite d'ajustement structurel. Le pays est contraint de s'impliquer dans le libre échange, en orientant la production interne vers l'or et la cacao plutôt que vers les productions vivrières. L'incitation à la "récupération des coûts" va entraîner la privatisation des services publics de base de soins et d'adduction d'eau. L'incitation à la "récupération des coûts" va entraîner la privatisation des services publics de base de soins et d'adduction d'eau. Photo: Voir la vidéo en une seule partie: Le renforcement du FMI et de la Banque mondiale menace les peuples du Sud et du Nord inShare

Pourquoi les "indignés" ont raison LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Larrouturou, membre du conseil politique d'Europe-Ecologie (Le grand débat) En quelques semaines, le climat a changé. Début 2010, quand nous expliquions que la crise n'était pas finie et qu'une réplique plus grave encore était en préparation, nous étions à contre-courant du discours dominant : tout était sous contrôle ! Mais aujourd'hui, nul ne conteste la gravité de la situation : le président de l'Autorité des marchés financiers (AMF) affirme que nous risquons "un effondrement de l'ensemble du système économique mondial". Il faudrait être aveugle pour ne pas voir les dangers : la dette totale des Etats-Unis atteint 250 % du PIB. En Chine, la bulle immobilière a atteint deux fois la taille du maximum atteint par la bulle aux Etats-Unis avant la crise des subprimes. La prochaine crise risque d'être plus grave que celle de 2008 car les Etats n'ont plus la capacité de venir au secours du système financier s'il subit un choc violent.

Allocation universelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le revenu de base est un revenu versé par une communauté politique à tous ses membres, sur une base individuelle, sans conditions de ressources ni obligation de travail, selon la définition du Basic Income Earth Network (BIEN)[1]. Il reconnaît la participation de l'individu pour la société, indépendamment de la mesure de l'emploi. Cette proposition est aussi appelée : « revenu universel »[2], « revenu inconditionnel »[2], « revenu inconditionnel suffisant »[3], « revenu d'existence »[4], « revenu minimum d'existence »[5] « revenu social »[6], « revenu social garanti »[4], « allocation universelle »[4], « revenu de vie »[7], « revenu de citoyenneté »[8], « revenu citoyen »[9],[10], « dotation inconditionnelle d'autonomie »[11] ou « dividende universel »[4]. Le revenu de base a été expérimenté notamment au Canada, en Inde ou en Namibie. Montant[modifier | modifier le code] Financement[modifier | modifier le code]

Pourquoi faut-il que les Etats payent 600 fois plus que les banques ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Michel Rocard, ancien premier ministre, et Pierre Larrouturou, économiste Ce sont des chiffres incroyables. On savait déjà que, fin 2008, George Bush et Henry Paulson avaient mis sur la table 700 milliards de dollars (540 milliards d'euros) pour sauver les banques américaines. Après avoir épluché 20 000 pages de documents divers, Bloomberg montre que la Réserve fédérale a secrètement prêté aux banques en difficulté la somme de 1 200 milliards au taux incroyablement bas de 0,01 %. Au même moment, dans de nombreux pays, les peuples souffrent des plans d'austérité imposés par des gouvernements auxquels les marchés financiers n'acceptent plus de prêter quelques milliards à des taux d'intérêt inférieurs à 6, 7 ou 9 % ! Allons-nous attendre qu'il soit trop tard pour ouvrir les yeux ? Angela Merkel a raison de dire que rien ne doit encourager les gouvernements à continuer la fuite en avant. Rien n'empêche de mettre en place de tels financements dès janvier !

Main Page - Théorie Relative de la Monnaie Le flux, l'homme, la monnaie Thierry Crouzet a puissamment théorisé le flux en terme d’information, de production d’information, d’interdépendance, et en a tiré un essai « propulseur dans le flux« , qui n’est pas sans rapport avec ce que nous allons traiter ici. Qu’est-ce qu’un flux ? En physique un flux ou débit instantané est déterminé comme étant une dérivée quantitative de matière ou d’énergie traversant une section d’un volume donné. On peut donc définir une mesure de flux pour un cours d’eau comme une fontaine ou un fleuve, comme étant la quantité d’eau qui passe par seconde via une section perpendiculaire au courant, par exemple en m³/s. Il s’agit donc d’une quantité dynamique, qui est une dérivée par rapport au temps. Un autre type de flux est la Loi de désintégration radioactive. Ce qui dans ce cas est proportionnel au nombre total d’atomes présents dans le cube à ce moment là : dN/dt = -c*N Qu’en est-il des hommes ? Qu’en est-il alors de l’arrivée de nouveaux citoyens naissant « libres et égaux en droit » ?

BitCoin, un système monétaire P2P crypté Je viens de découvrir l’excellent projet Open Source BitCoin encore en béta-test, et qui est extrêmement prometteur. Il se rapproche au plus près de ce qu’on peut espérer de mieux comme système monétaire P2P. BitCoin se présente comme un logiciel multiplateforme qui une fois lancé se connecte aux autres logiciels connectés, et commence à générer des « blocs » cryptés assurant par leur nombre et leur dissémination dans le réseau, la sécurité du système. Crypté, P2P, Open Source, le rêve absolu… Par contre le système monétaire initialement retenu crée la monnaie de façon un peu curieuse, sur la base de ces noeuds, dans un modèle un peu bancal qui associe une sorte de Dividende « Machine » limité dans le temps (il décroît au fur et à mesure que la monnaie se crée) jusqu’à une quantité limite de 21 Millions de BitCoins. De plus le crédit mutuel limité favorise les tenants de monnaie qui l’accumulent. Pourtant la philosophie monétaire fondamentale des développeurs me semble excellente :

Grégarisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La science qui a pour objet l'étude des sociétés animales est la sociobiologie. Les niveaux d'organisation sociale[modifier | modifier le code] Dans la nature il existe plusieurs types de sociétés possédant des niveaux d'organisation variables. Le niveau le plus élevé est atteint par les organismes multicellulaires, véritables colonies de clones cellulaires, pouvant compter des trillions d'individus. Suivent les sociétés d'hyménoptères (fourmis, abeilles et guêpes) et les sociétés civilisés. 1) La localisation spatiale : les individus coexistent sur un territoire limité ou se déplacent ensemble mais forment toujours un groupe relativement compact. 2) La cohésion des membres : les relations spatiales entre les individus possèdent une certaine constance et suivent des règles déterminées. L'eusocialité qui est le niveau supérieur d'organisation est caractérisée par : Niveaux d'organisation familiale[modifier | modifier le code]

Santé sociale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Dans une définition large de la notion du social, on peut l'entendre comme étant l'expression de l'existence de relations entre les vivants. Certains animaux non-humains, tels que la plupart des mammifères par exemple, sont qualifiés d'espèces sociales. Il en va de même pour certains insectes. En Droit, le terme social peut avoir une signification ambigüe : Tantôt il désigne ce qui se rapporte aux relations du travail (ex : le droit social)Tantôt il désigne ce qui se rapporte aux relations entre associés d'une même société ( ex: le mandat social) Social en tant que concept sociologique[modifier | modifier le code] Les conceptualisations sociologiques de ce que représente le social sont apparues avec la nécessité de définir l'objet de recherche de la sociologie. Critique du terme[modifier | modifier le code] Le terme est parfois critiqué pour être un terme sans signification et qui ne sert qu'à empêcher toute réflexion. Portail de la sociologie

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