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Management agile

Management agile
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Des informations de cet article ou section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans la bibliographie, sources ou liens externes (indiquez la date de pose grâce au paramètre date). Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références. Le management agile peut être vu comme une organisation de type holistique et humaniste basée essentiellement sur la motivation rationnelle des ressources humaines. Son émergence, au début des années 1990, a été portée par la vague des nouvelles technologies (NTIC). Ses valeurs et principes combinent des aspects sociologiques et technologiques à une approche industrielle[1]. Le management agile s'applique au niveau de l’organisation et les Méthodes Agiles, si elles s'en réfèrent, ne représentent qu'un secteur de l'application des diverses formes d'agilité managériale se référant du (Lean). Sociologie des valeurs agiles[modifier | modifier le code] Schéma d'une entreprise agile.

Comment créer de nouveaux modèles d’entreprise Qu’y a-t-il de commun entre la conception de voiture et la création d’une entreprise ? Pas grand-chose hélas, regrette Alexander Osterwalder, un consultant spécialisé dans les modèles d’affaires de l’innovation. Pourtant, la conception des automobiles est structurée par une série d’étapes qui seraient grandement profitables pour structurer la conception d’une entreprise, estime l’auteur de Business Models Generation à l’occasion de la conférence Lift11 qui se tenait à Genève. « Aujourd’hui, comment se passe le lancement d’une nouvelle entreprise ? Image : Alexander Osterwalder sur la scène de Lift, photographié par Ivo Näpflin. Il nous faut apprendre du design des automobiles, estime le consultant dans sa présentation. “Combien d’entre vous ont testé votre entreprise dans la vie réelle avant de la commencer ? Peut-on inventer un langage pour décrire et concevoir les modèles d’entreprise ? L’important est-il le résultat ?

Fini le télétravail, vive le coworking Un réalisateur grisonnant est absorbé par la lecture d'un scénario, tandis que deux tables plus loin, une artiste-peintre et un jeune créateur de start-up ont le nez plongé dans leurs ordinateurs portables. Dans ce café berlinois du très touristique quartier Mitte, le mot de passe pour se connecter à l’internet est scotché sur le comptoir, et des multiprises traînent sous les tables: les trois-quarts des clients boivent leur café face à un laptop, un iPad ou un bloc-notes. Le Sankt Oberholz est depuis son ouverture en 2005 le repaire favori des travailleurs indépendants qui fuient la solitude de leur appartement. «Autrefois, c'était le seul café où l'on pouvait apporter son ordinateur sans que tout le monde vous regarde bizarrement», explique Ansgar Oberholz, le patron. Pour être sûrs d'avoir une bonne place, certains clients sont déjà là le matin quelques minutes avant l'ouverture, à 8 heures. Structurer son quotidien D'autres préfèrent aller dans les coworking spaces. Annabelle Georgen

Et si les entreprises pr?taient leurs salari?s aux associations?? Un Stormtrooper Lego au milieu de clowns (kennymatic/Flickr). Baisse des subventions publiques, chute des dons de particuliers... les associations vivent des heures difficiles, tandis qu’on leur demande de plus en plus de se professionnaliser. Mais depuis quelques années, grâce au mécénat de compétences, elles trouvent dans les entreprises un renfort de poids pour rendre leurs structures plus performantes. L’idée Le mécénat de compétences repose sur le transfert gratuit de compétences de l’entreprise vers la structure soutenue, par le biais de salariés intervenant volontairement sur leur temps de travail. Depuis la loi Aillagon du 1er août 2003, l’entreprise peut déduire 60% du salaire et des charges sociales de l’employé en mission de mécénat de l’impôt sur les sociétés, dans la limite de 0,5% du chiffre d’affaires. Bénédicte Menanteau, déléguée générale d’Admical, association qui milite pour le développement du mécénat en France, explique : Comment la mettre en pratique ?

Comment j'ai gard? mon envie d'entreprendre... malgr? tout Pas résignés, nos riverains ont fait la leçon à l'amer patron dont « la France a tué l'envie d'entreprendre ». Plus de 166 000 visites et 470 réactions : « Comment la France a tué mon envie d'entreprendre » , le témoignage d' Alexandre Denjean , a provoqué un débat animé, parfois cruel pour notre témoin. Des dizaines de riverains ayant connu les mêmes difficultés mais n'ayant pas perdu, eux, cette « envie d'entreprendre » lui font la leçon : voici leurs « règles d'or » pour réussir. « Je suis un vétéran de la guerre contre l'administration. » Alexandre Denjean, web-designer de 34 ans, racontait les difficultés et, finalement, la mort de sa petite entreprise. Sans nier les galères, de nombreux lecteurs ayant eux aussi créé leur entreprise ont nuancé, ou vivement contesté ces critiques. Lolorasse , qui a été lui aussi « directeur de projets web », explique ainsi : Nejibus , lui, s'est replongé « vingt-cinq ans en arrière », à la création de son entreprise. Se préparer avant de se lancer

Comment la France a tué mon envie d'entreprendre J'ai actuellement 34 ans et je me considère comme un vétéran de la guerre contre l'administration. Je vais vous raconter les deux pires années de ma vie. Ayant appris à faire des sites internet en autodidacte, je décide en 2008 de créer une entreprise pour développer cette activité , car je souhaite aussi que les sites web de ma ville soient moins affreux. Un ami retraité de la fonction publique (impôts) m'indique que fiscalement, le plus intéressant pour moi est de créer ma micro-entreprise . L'image idyllique du statut d'auto-entrepreneur Durant l'année, tout se passe plutôt bien. Mes premières cotisations tombent et, sans aucun problème, je paye avec un fond de caisse au minimum mais suffisant pour tenir un an. En décembre, j'entends parler du statut d'auto-entrepreneur avec le portrait idyllique que nous en a tracé le gouvernement. Accumulation de charges Quelques mois plus tard, je reçois une lettre d'une caisse pour les professions libérales et artisanales.

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