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www.piluledulendemain.com | Information sur la contraception d'urgence Les différentes méthodes contraceptives La pilule La pilule ou contraception orale se présente sous forme de comprimés qui associent généralement deux hormones : des œstrogènes et de la progestérone. Elle est alors appelée "pilule combinée". Classification des contraceptifs oraux selon la génération du progestatif (PDF - 94.9 ko) D’autres pilules ne sont constituées que d’une hormone, la progestérone. La pilule agit à différents niveaux : elle bloque l’ovulation, amincit la paroi interne de l’utérus (endomètre), modifie la consistance de la glaire cervicale (sécrétée par le col de l’utérus, elle s’épaissit et empêche le passage des spermatozoïdes). La pilule est très efficace si elle est prise très régulièrement. En pratique : La pilule est conditionnée en plaquettes contenant des comprimés correspondant à un cycle de traitement. Le plus souvent les plaquettes comprennent 21 comprimés : il faut prendre un comprimé chaque jour pendant 3 semaines, de préférence à la même heure. En cas d’oubli de prise d’une pilule progestative

Le Planning et la contraception Entre contrainte et liberté Pour des générations de femmes et de couples, l’accès à une contraception fiable a signifié liberté, plaisir et autonomie. Pourtant, malgré un accès facilité, la contraception peut être vécue comme une contrainte à laquelle il est difficile de se plier. La contraception est encore trop souvent réduite à une approche médicalisée et normative laissant peu de place à une réelle liberté. This content is hosted by an external site By displaying it you accept the possible cookies from this site Manage your cookies Que défend Le Planning ? Toute personne a droit à une information globale qui lui permet de s’approprier la démarche contraceptive et de choisir la méthode qui lui convient le mieux en fonction de sa situation personnelle, sociale et relationnelle pour vivre une sexualité épanouie. Si l’appropriation de la contraception passe par l’information, force est de constater un réel déficit en direction du grand public. Je soutiens le Planning

Nouvelles contraceptions masculines : qu’en pensent les hommes ? | Sexpress Spermatozoon race – flickr/Dimit®i Les hommes sont-ils séduits par un mode de contraception qui leur soit propre ? Certains s’y intéressent : c’est un homme qui m’a envoyé le lien vers les tests de la méthode Risug en regrettant qu’elle ne soit pas déjà en usage ou au moins en cours de développement en Europe. Et qui m’a donné envie de m’intéresser aux nouvelles contraceptions masculines. D’aucuns diront « on a déjà le préservatif ». Etre père malgré soi, c’est un vrai risque ! Si 40% des femmes françaises connaîtront un avortement dans leur vie, il se trouve aussi qu’un certain nombre d’hommes devienent pères malgré eux. Une partie de ces pères involontaires en sont finalement très contents. Une autre partie de ces pères sont traumatisés. Les hommes ont peur de la pilule… comme les femmes ! Lorsqu’ils sont interrogés sur une nouvelle contraception masculine, les hommes trouvent l’idée rassurante, voire fantastique. Des hommes intéressés, surtout chez les plus jeunes

Contraception masculine : de nouvelles techniques, dans l’indifférence générale | Sexpress Une photo du dernier labo qui a fait des recherches sur la contraception masculine? (« Lab » – flickr/howzey) Lorsque le ministère de la santé parle de contraception, il s’adresse exclusivement aux femmes. Pourtant, dans la relation sexuelle, l’homme aussi peut agir afin d’éviter la conception. Outre les préservatifs et la vasectomie (qui reste très difficile à obtenir en France), d’autres techniques sont en cours de développement. Une nouvelle technique réversible Une nouvelle méthode verra peut-être prochainement le jour : le Risug. Il s’agirait d’injecter dans le canal déférent un gel qui rend les spermatozoïdes infécondants lors de leur passage. « Cette technique est soutenue par le Population Council (une ONG qui travaille sur les techniques de contraception) qui a été l’un des seuls acteurs innovants dans le domaine contraceptif : stérilet, implants, et actuellement des essais pour un anneau contraceptif qui diffuserait également des antirétroviraux). Des médecins ultra-conservateurs

La contraception reste une affaire de femmes : en attendant la parité, je fais grève Cérazette (crédit photo : Gaëlle-Marie Zimmermann) La contraception, c'est tout de même un truc génial, qui a permis à la femelle moderne de s’affranchir (en théorie du moins) de l’obligation de procréer. Un enfant si on veut, quand on veut, ça fait rêver. Les hommes, peu impliqués dans la démarche contraceptive Gros bémol cependant : la contraception reste une affaire de femmes. Économiquement, les débouchés commerciaux d’une contraception masculine sont encore incertains. Médicalement, on en est là aussi : c’est le corps des femmes qui porte seul le poids (oui, la chance aussi, on ne revient pas dessus) de la contraception. Et c’est là que le bât blesse : parfois, le corps ne peut pas. Un parcours contraceptif classique Prenons l’exemple concret d’un témoignage recueilli dans la plus totale discrétion : notre témoin (appelons-là Gaëlle-Marie Z pour préserver son anonymat) est une femme de 38 ans, mère de deux enfants, bref une personne absolument délicieuse. Sous la pilule, la révolte

La pilule n'a plus la cote auprès des Françaises Elle avait été privilégiée par des générations de femmes. Mais dans un paysage contraceptif français réputé figé, la pilule, dont le rôle était central, ne connaît plus le même succès. Une étude menée par l'Institut national d'études démographiques et l'Inserm, remise à la ministre de la santé Marisol Touraine mardi 13 mai, montre que la controverse autour des pilules de 3e et 4e générations a accentué le basculement vers une plus grande diversité de pratiques. « Cette controverse a accéléré des tendances préexistantes sur le choix du moyen de contraception, liées notamment à l'impact de la crise économique », résume la sociologue Nathalie Bajos, l'une des auteurs de « La crise de la pilule en France : vers un nouveau modèle contraceptif ». Ce n'est pas rien. La pilule semble être surtout délaissée par les moins de 30 ans, de moins en moins sensibles au symbole de libération qu'elle a représenté pour les générations précédentes. Lire également : 3G, la pilule mirage

La contraception, une responsabilité féminine? J'ai lu avec grand intérêt cette semaine cette entrée de blogue du journal Le Monde dans laquelle est relayé le plaidoyer de la journaliste américaine Jessica Valenti pour la gratuité des serviettes et tampons menstruels dans les pays sous développés. Les arguments exposés sont limpides : Ces produits sont inaccessibles à la majeure partie des femmes dans ces pays. L'Unicef estime que 10% des jeunes filles africaines ne se rendent pas à l'école pendant leurs règles. Bref, tout cela tombe sous le sens et on ne peut qu'être d'accord avec ça. Et en Occident? L'article soulève par ailleurs le fait que les femmes sont menstruées pendant trente ans (parfois plus) et qu'en Occident, le prix estimé par boîte de serviettes ou tampons est de 3$ (parfois plus). Pas la mère à boire me dites-vous? De plus - et il s'agit d'un non-sens total -, au Québec, ces produits sont taxés sur les deux paliers (TPS/TVQ), car considérés comme «non essentiels». Et la contraception alors? Et les coûts? Pourquoi?

Contraception, pilule du lendemain... avec #PayeTonUterus, les femmes racontent sur Twitter leurs galères avec le corps médical SANTE - Parler sexualité et contraception avec son médecin n'est pas toujours simple. A lire les témoignages de femmes autour du hashtag #PayeTonUterus, lancé sur Twitter par une utilisatrice ce mercredi 19 novembre, on se rend compte que la consultation relève trop souvent de la galère. Parmi les sujets les plus discutés du jour, le tag, qui soulève de nombreux problèmes rencontrés par les internautes, rassemble les récits de leurs expériences négatives chez le gynécologue, le médecin ou encore le pharmacien. Demande de pilule qui passe mal, réflexions sexistes, homophobes, mal informées, fat shaming, situations embarrassantes, leurs anecdotes en disent long sur les galères auxquelles elles sont confrontées avec le corps médical. Aucun sujet n'est épargné, mais celui qui revient souvent, c'est la contraception. Pour rappel, la pilule de 3e génération peut amplifier les risques d'embolie pulmonaire, et doit être prescrite avec précaution. Close Capture Twitter

Ce site explique très bien les différents types de contraception, à quoi elles servent et comment les utiliser. by hguillaume May 23

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