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Cycle art [espace] public 2011

Cycle art [espace] public 2011
Artiviste, que fais-tu ? En quoi l'art en espace public est-il politique ? En 2010, les treize rencontres que nous avons organisées, et les propositions artistiques qui les accompagnaient, nous ont permis de valider une hypothèse : le caractère politique de l'art en espace public tient souvent moins aux contenus portés dans l'espace public par les artistes qu'aux dispositifs d'espace public qu'ils inventent, et notamment à leur capacité à susciter de nouveaux "partages du sensible", bousculant l'ordre des évidences et les configurations constitutives de notre monde commun. La 5ème saison du cycle art [espace] public sera l'occasion de poursuivre et de préciser cette analyse. Stéphanie Lemoine et Samira Ouardi, Artivisme. 1. Inscrivez-vous ! 2. Il n’y a pas de limite entre art et activisme mais des jonctions, des interstices. « UTOPISTE DEBOUT », « RÊVE GÉNÉRALE », « JE LUTTE DES CLASSES »... La guérilla pâtissière sévit. Revue de presse : Le Monde - Bonnes Nouvelles

La souveraineté par l’emmurement Recensé : Wendy Brown, Murs. Les murs de séparation et le déclin de la souveraineté étatique, Les Prairies Ordinaires, 2009. 206 p., 15 €. Les lecteurs de Wendy Brown, professeur de philosophie à Berkeley, retrouveront dans cet ouvrage ses réflexions développées précédemment sur les rapports entre néo-libéralisme et démocratie [1]. Crise de la souveraineté politique dans la globalisation L’auteur prend comme toile de fond les murs construits pour des raisons de sécurité nationale et qui strient la planète. Pour Brown, les murs seraient d’abord les signes de la fin de la fin de l’ordre international consacré par la paix de Westphalie. La construction actuelle des murs et autres barrières de sécurité, même si elle s’effectue dans des situations distinctes (le cas israélien ne pouvant être mis sur le même plan que le cas mexicain), est une hyperbole de l’impuissance des États à gouverner par le droit et la norme. Une mise en scène de la souveraineté ou de son déclin ?

humeurs musicales » Artivisme : Art de destruction massive « La créativité est par essence révolutionnaire. » En 1967, dans son Traité de savoir-vivre à l’usage des jeunes générations, le Belge Raoul Vaneigem résumait déjà parfaitement la conception ludique, hors cadre et transgressive que pouvait (et devait) revêtir la culture. Une philosophie aujourd’hui partagée et diffusée sous les traits divers de l’Artivisme. En 200 pages aussi riches en images qu’en références philosophiques et culturelles, Stéphanie Lemoine et Samira Ouardi dressent dans leur livre le portrait d’un mouvement qui ne se désigne pas comme tel mais qui semble pourtant bien présent et palpable. Les auteures contextualisent ainsi des pratiques individuelles ou collective en leur donnant une portée politique, au sens noble du terme. Nous avons décidé de leur donner carte blanche sur Sourdoreille, sous forme de trois « leçons d’artivisme ». La première aura lieu dès mardi. Tout d’abord, qu’est-ce que l’artivisme ? Et la musique dans tout ça ? - Musique et artivisme

La jeunesse française au bord de la révolte ? Frustrée et désabusée par une société vieillissante, la jeunesse française exprime à l’occasion de l’opération « Génération quoi ? » un mal-être et un sentiment de révolte qui va croissant. À l’automne dernier, France Télévision lançait un long questionnaire en ligne intitulé « Génération quoi ? ». Dédié aux jeunes de 18 à 34 ans, son objectif était de brosser le portrait d’une génération insuffisamment écoutée. La jeunesse dépeint une génération « perdue » Interrogés sur la manière dont ils décriraient leurs générations, les jeunes utilisent les mots-clés « sacrifiée », « perdue », « désabusée », « désenchantée » ou « galère ». Les jeunes n’ont plus confiance dans la politique Alors qu’ils vivent pour la première fois sous la gauche au pouvoir, les 18-25 ans font « l’expérience de la désillusion politique » et déclarent à 46% ne plus du tout avoir confiance dans les politiciens tout en estimant à 50% qu’ils sont « tous corrompus ». Un sentiment de révolte qui s’affirme Source : Le Monde

artivisme L’artivisme est l’art d’artistes militants. Il est parfois l’art sans artiste mais avec des militants. Art engagé et engageant, il cherche à mobiliser le spectateur, à le sortir de son inertie supposée, à lui faire prendre position. C’est l’art insurrectionnel des zapatistes, l’art communautaire des muralistes, l’art résistant et rageur des féministes queers, l’art festif des collectifs décidés à réenchanter la vie, c’est l’art utopiste des hackers du Net (hacktivistes d’une guerilla teckno-politique), c’est la résistance esthétique à la publicité, à la privatisation de l’espace public… Dans cette galaxie, on trouve JR, Zevs, les Yes Men, les Guerilla Girls, Critical art ensemble, Reclaim the streets, Steven Cohen, Reverend Billy, etc. Sur près de 200 pages largement illustrées, Artivisme dresse un état des lieux des pratiques contemporaines d’art radical. Le site : www.artivisme.tv

Nasa-funded study: industrial civilisation headed for 'irreversible collapse'? | Nafeez Ahmed | Environment A new study partly-sponsored by Nasa's Goddard Space Flight Center has highlighted the prospect that global industrial civilisation could collapse in coming decades due to unsustainable resource exploitation and increasingly unequal wealth distribution. Noting that warnings of 'collapse' are often seen to be fringe or controversial, the study attempts to make sense of compelling historical data showing that "the process of rise-and-collapse is actually a recurrent cycle found throughout history." Cases of severe civilisational disruption due to "precipitous collapse - often lasting centuries - have been quite common." The independent research project is based on a new cross-disciplinary 'Human And Nature DYnamical' (HANDY) model, led by applied mathematician Safa Motesharrei of the US National Science Foundation-supported National Socio-Environmental Synthesis Center, in association with a team of natural and social scientists.

ARTIVISME | Art, action politique, résistance culturelle Un million d'alternatives: un autre monde existe déjà! «There is no alternative». Si Margareth Thatcher touchait des royalties à chaque fois que ces quatre mots étaient prononcés, elle serait probablement multimilliardaire. En effet, depuis plus de trente ans, les têtes de gondoles de l'intelligentsia libérale n'ont eu de cesse de nous expliquer qu'il n'y avait point de salut en dehors du marché, de la concurrence mondialisée, de la baisse du «coût du travail» et des dépenses de l’État. «There is no alternative». publicité Avec son livre Un million de révolutions tranquilles, la journaliste Bénédicte Mannier déconstruit ce dogme et envoie dans les cordes la Dame de fer et ses disciples. En parcourant ce livre, on apprend qu'en Inde, les habitants de la région désertique du Rajasthan ont réussi à réhydrater les sols en creusant eux-mêmes des puits, assurant ainsi leur autosuffisance alimentaire et leur permettant de dégager des revenus. Coopératives, autarcie énergétique: un autre monde existe déjà Utopies concrètes Un ouvrage de combat

Défense d'Afficher ! | Collectif de graphistes et autres artivistes en Midi-Pyrénées Le meilleur des mondes Nos « maladies mentales toujours plus fréquentes » peuvent trouver leur expression dans les symptômes des névroses, très voyants et des plus pénibles. Mais, « gardons-nous », écrit le Dr Fromm (ndla : Erich Fromm, philosophe et psychiatre, auteur de nombreux essais sociaux et grand pourfendeur du capitalisme, mais aussi du stalinisme, et ce dès la fin des années 1930), « de définir l'hygiène mentale comme la prévention des symptômes. Ces derniers ne sont pas nos ennemis, mais nos amis ; là où ils sont, il y a conflit et un conflit indique toujours que les forces de vie qui luttent pour l'harmonisation et le bonheur résistent encore ». Une citation d'Huxley qui résume, à elle seule, le mode de pensée de ceux qui, aujourd'hui, se sont laissé persuadé que le monde dans lequel nous vivons tendrait vers un idéal humaniste que nous toucherions enfin du doigt. Les ressorts montrés par Huxley dans son livre sont à comparer à la réalité. « Le monde est stable à présent.

Art subversif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'artiste subversif est censé prendre un rôle révolutionnaire notamment par le détournement de la représentativité admise consensuellement, que ce soit au niveau académique ou institutionnel. L'art subversif est souvent exposé dans des lieux publics, car ceux ci facilitent l'anonymat et l'exposition à un large public sans autorisation. L'art urbain en particulier utilise ces moyens. Exemples d'artistes ayant réalisé de l'art subversif[modifier | modifier le code] Dans le domaine de l'art urbain : Banksy, Shepard Fairey. Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Subversion Liens externes[modifier | modifier le code] Portail de l’histoire de l’art

Patrick Boucheron: pourquoi le Moyen Age nous parle politique - Page 1 Patrick Boucheron était l'invité de Joseph Confavreux pour parler de son dernier livre, Conjurer la peur, Sienne 1338 – Essai sur la force politique des images, à l'occasion de notre émission « En direct de Mediapart ». Voici la vidéo de cet entretien : Dans un livre publié l'an dernier, L'Entretemps, Patrick Boucheron poursuivait sa réflexion sur l’histoire, entamée avec un précédent ouvrage, Faire profession d’historien, et plus particulièrement sur la « world history », conçue comme une critique de l’européocentrisme et de son récit historique canonique. « Au moment où les archives de l’humanité deviennent virtuellement disponibles, et révèlent aisément la profuse diversité des passés du monde, écrit l’historien, il faut de la ténacité, et même un certain cran idéologique, pour refuser d’aller y voir. » Il préférerait que s’écrive « une histoire corsaire.

Le retour d’un cinéma de lutte - Documentaires Cette année, les États généraux du documentaire consacraient un séminaire à l’« amateur », mis sur le devant de la scène par le développement des technologies de la communication, avec Internet à l’avant-poste. Dans différents champs d’expression, dont la vidéo, cet « amateur » (une terminologie particulièrement impropre et délicate à manier) occupe désormais une place de choix sur la scène médiatique, validée principalement par son audience. Par la singularité de sa démarche, il favorise aussi l’éclosion de nouveaux gestes, de nouvelles formes, à l’écart des voies déjà ouvertes. Ce réel offre à tous, amateurs ou non, un champ d’observation, d’analyse et d’interprétation infini, qui semble inspirer un nombre croissant de réalisateurs. De la Birmanie… Parmi les films de révolte, Burma VJ est un curieux objet réalisé par Anders Østergaard dans le sillage de la révolte des moines bouddhistes en Birmanie, fin 2007. … à la place Tahrir En passant par le Larzac À l’antipode des micro-trottoirs

Les évitements visibles du « Parlement des invisibles » Comment pourrait-on trouver à objecter à un projet si profondément humaniste et bien-intentionné que le « Parlement des invisibles » de Pierre Rosanvallon, sinon sous l’effet de cette négativité pathologique, peut-être même compliquée d’une méchanceté fondamentale, qui trouve à redire par principe et indépendamment des circonstances. Rendre visibles les invisibles, leur offrir un « parlement », voilà bien une démonstration d’empathie sociale et d’irénisme politique qui garantit à son auteur une unanimité reconnaissante, en plus des bénéfices de « celui qui fait », forcément à son avantage dans la comparaison avec « ceux-là qui disent ». Tout semble donc s’opposer à ce qu’on redise. Et pourtant il le faut. Nul doute qu’en apparence le rosanvallonisme ne cesse de se déplacer. Saint-Simon, époque bénie du néolibéralisme sans complexe Remettre en question, il n’en était vraiment pas question aux débuts. La République des Idées ou le triomphe « expert » de la gauche pleurnicheuse

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