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Viens dans mon tiers-lieu, j’organise un hackaton en open source

Viens dans mon tiers-lieu, j’organise un hackaton en open source
Temps de lecture: 15 min Michel Bauwens, président de la fondation Peer to Peer (P2P), était à Paris en mars pour présenter son nouveau livre, Sauvez le monde, vers une économie post-capitaliste avec le peer-to-peer (éd. Les liens qui libèrent) prolongeant notamment la réflexion de Jeremy Rifkin sur l’impact du numérique sur l’organisation économique, qui remettrait les «communs», ces biens qui appartiennent à tout le monde, au cœur de la création de valeur et inciterait à repenser en profondeur l'économie capitaliste reposant sur une maîtrise totale de la chaîne de production et une protection des innovations par la propriété intellectuelle. Dans la préface de Sauver le monde, Jean Lievens écrit: Sauf à être vous-mêmes un maker de l'économie collaborative bossant en peer-to-peer dans un fablab, vous n'avez probablement rien compris au passage précédent. Ma remarque de beauf: Les fablabs, beaucoup de bruit pour des ateliers de bricolage? Déjà, de quoi parle-t-on? Related:  BibliothèquesTutos

Tiers-lieufablab, hackerspace, medialab, living lab Quand on travaille comme moi depuis des années pour le développement économique, il est parfois difficile de faire la différence entre une mode passagère et une véritable révolution. Les fablabs, hackerspaces, livinglabs, biohacklabs et même museumlabs fleurissent sur tous les territoires et semblent remettre en cause profondément la façon dont les projets émergent et dont les gens travaillent ensemble. De façon apparemment contradictoire, l’autonomie et le travail collaboratif sont mis en avant dans chacune de ces initiatives. Mais qu’en est-il vraiment de cette « révolution » ? La solution est-elle, comme on me l’a dit récemment de « fermer tous les pôles, incubateurs autres accélérateurs et d’ouvrir des espaces ouverts où les citoyens créent librement et obtiennent à la mesure de leur implication » ? Le Tiers-Lieu Wikipedia nous rappelle l’origine du terme : le tiers-lieu, ou la troisième place, ou est un terme traduit de l’anglais The Third Place. Le FabLab Le Living Lab

Tiers-lieu: enquête sur un objet encore bien flou (1/2) C’est un entre-deux Avant de dire ce qu’est un tiers-lieu, commençons par dire ce qu’il n’est pas. La même définition par la négative est à l’œuvre dans les expressions tiers-monde et tiers-état : l’objet se définit par rapport à un système en place (blocs géopolitiques, clergé vs noblesse) dans lequel il s’inscrit en creux. Cet entre-deux désigne, comme l’explique Antoine Burret, auteur de Tiers-lieux. C’est un bouillon de culture La foule de faux amis s’étoffe lorsque l’on scrute le champ culturel avec de nombreux avatars qui font leur la logique du ni/ni (ou plutôt du mi/mi) : ateliers, résidences, squats d’artistes, friches culturelles, lieux intermédiaires et « nouveaux territoires de l’art » (dans le rapport Lextrait du ministère de la Culture en 2001). Ils font résonner un certain imaginaire, celui de la marge, et sont à compter parmi la frange la plus médiatique des tiers-lieux, aux côtés de leurs cousins tech fablabs, makerspaces et autres hackerspaces. C’est une durée

J'ai écrit ce blog entre 2005 et 2018, de nombreux billets peuvent vous intéresser. Désormais je m'occupe de Design des politiques publiques. Retrouvez-moi sur mon nouveau blog ! Symbioses Citoyennes [Ce billet propose une mise à jour de la Carte Médiabitus publiée en septembre 2011. Le web est foisonnant. D’aucun n’ont que le mot curation à la bouche. La médiation ne constitue pas qu’une transmission, c’est aussi un lieu où se rencontrent le collectif et l’individuel, les diverses institutions et leur publics, s’appuyant sur des imaginaires collectifs : en ce sens elle révèle le rapport d’un individu à sa culture. Sans employer le mot curation, j’ai donc souhaité donner un nom à cette méthode. Choisir un angle depuis un milieu, se faire médiateur, gagner de la confiance pour recommander, c’est donc être dans une disposition d’esprit spécifique, qu’il faut acquérir et pratiquer, c’est ce à quoi je me propose de vous aider avec : Médiabitus : devenir médiateur numérique au quotidien. 1.

The Makings of a Makerspace: Three Examples In late October, 2013, I visited several makerspaces in the bay area crammed into one day, and blogged about my discoveries here. Then, in summer 2014, I visited two more makerspaces and blogged about those here. Most recently, the fabulous Jaymes Dec hosted me at Marymount in NYC, Kat Sauter hosted me at Ann Richards STARS in Austin (whom I also visited back in 2013 before their makerspace!) (This great post by the Tarrant Institute for Innovative Education at the University of Vermont also has some great ideas and examples for flexible physical learning environments.) Overall Organization Marymount’s “makerspace” was actually significantly distributed throughout the school, with elements in the high school, middle school, and primary spaces. Ann Richards and ECC both have clearly designated makerspaces, with Ann Richards’ more clearly matching much of the layout I’ve seen at other schools and ECC’s much closer to a traditional machine shop with some awesome new elements (3D printing).

Univers maker Pour être dans le coup, plus question de participer au concours Lépine, il faut avoir son stand à la Maker Faire Paris. Pour sa deuxième édition en mai 2015, ce rassemblement des makers a attiré 35 000 visiteurs, contre 8 000 l’an passé. La preuve que le concept, formalisé aux Etats-Unis au début des années 2000, séduit de plus en plus. Même si, "historiquement, l’humanité a toujours été maker", soutient Bertier Luyt, l’organisateur de l’évènement. "Il y a des makers qui envoient des robots dans l’espace et d’autres qui font de l’origami", détaille le passionné. "Il y a ceux dont c’est le métier, et puis ceux qui sont makers comme le Mr Jourdain de Molière faisait de la prose : tout naturellement, sans même le savoir." Il n’y a pas de terme équivalent en français, mais pour faire simple, les makers sont des bidouilleurs. Respecter une éthique Les makers oeuvrent pour le bien, avec par exemple ce projet d’éclairage bioluminescent et sans électricité. Rejoindre un Fab Lab

C'EST QUOI UN TIERS-LIEU ? « Un Tiers-Lieu ne se définit pas par ce qu’il est mais par ce qu’on en fait.» Le sociologue américain Ray Oldenburg a introduit cette notion formidable en 1989 : il désigne un environnement social différent de celui de l’espace privé, le domicile et le travail. Ce concept se situe à la croisée de la nouvelle consommation, du crowdfunding, des Fab Lab, et de la consommation collaborative. On vous invite, le temps d’une soirée, à découvrir l’histoire, les enjeux, les objectifs et les problématiques de 4 tiers-lieux français très différents : - le Darwin, Friche urbaine bordelaise rénovée en écosystème écolo. - le NUMA à Paris regroupe une grande diversité d’activités synergiques : co-working, accélération de start’up, structuration de communautés, programmes de transformation numérique et d’Open Innovation. - Et bien sûr la REcyclerie !

C’est sur et par les réseaux sociaux que ce billet « boîte à outils » a germé. D’un mot posté, début septembre, par Michel Briand au groupe Facebook Bibliothèque créative est née l’envie de creuser l’expérience de la médiathèque de Languidic (Morbihan) avec la start-up rennaise Steeple. Steeple, c’est quoi ? Steeple est un réseau social créé par deux étudiants de l’ESC Rennes : Jean-Baptiste de Bel-Air et Nicolas Malœuvre (une fois sorti de l’INSA). La particularité de Steeple tient à son modèle économique et son positionnement au sein de l’économie collaborative. L’expérience de la médiathèque de Languidic LIB a partagé avec Annie Le Guern-Porchet, directrice de la médiathèque de Languidic, son retour d’expérience tout chaud et enthousiasmant, suite au déploiement de Steeple en septembre 2015, au sein de sa structure. L’ouverture du compte Médiathèque de Languidic sur Steeple remonte à bientôt trois mois. Les RERS Le SEL L’économie collaborative WordPress: J'aime chargement…

Make a Robotic Balloon Muscle - Make: Step #1: Blow Up Two Balloons PrevNext Use the hand pump to inflate two balloons, leaving about 4 to 5 inches (10 to 12 cm) uniflated at the end. This is known as the tip of the balloon. Remove the pump and let out a little air (known in the business as burping the balloon). This bit of slack makes it easier to twist the balloon without popping it. Helpful hint: Before inflating a balloon, stretch it lengthwise a few times. Step #2: Connect the Balloons Take one of the balloons and pinch it gently about 3 inches (8 cm) from the knot. Do the same to the other balloon, then connect the two balloons by twisting them together where they are already twisted. Step #3: Make a Hinge in Each Balloon To make a hinge in the first balloon, bend it in half. Twist it around three times, spinning it like a dial. The hinge should look like a knee sticking out in front. Step #4: Tie the Tips of the Balloons Together and Insert the Tubing Tie the tips of the balloons together using the uninflated extra rubber.

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