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La génération Y est elle impossible à former? (2)

La génération Y est elle impossible à former? (2)
La « Génération Y » est elle composée de « Digital natives » forcément passionnés de Technologies de l’Information et de la Communication (TIC)? L’usage de ces technologies serait il un moyen infaillible d’intéresser les « jeunes » salariés et de leur permettre d’apprendre? « Digital natives »? « Nos étudiants ont radicalement changé. Les étudiants d’aujourd’hui ne sont plus ceux que notre système d’éducation a été conçu pour enseigner » s’exclamait Marc Prensky dans son article « Dignital Natives, Digital Immigrants« , publié en 2001. Il oppose ces « Digital Natives » aux « Digital Migrants » qui n’ont pas grandi avec ces technologies et, mêmes lorsqu’ils s’y sont adaptés, ont gardé des habitudes du passé, comme (toujours selon Prensky): ne pas se tourner en 1er vers internet lorsque l’on cherche une information, lire une notice, imprimer ses e-mails ou un document avant de les lire… Les « Digital Natives » décrit par M. En fait, il me semble que M. Neuf ans après l’article de M. Related:  Le monde du travail

Conférences Les usages des TIC par les lycéens - déconnexion entre usages personnels et usages scolaires Cette recherche, qui adopte la perspective de la sociologie des usages, s'appuie à la fois sur une enquête par questionnaire et par entretiens pour sonder les usages numériques des lycéens de l'enseignement secondaire général en France. Deux objectifs sont visés : d’une part, grâce aux données empiriques obtenues, un état des lieux des usages numériques des jeunes est conduit. D’autre part, cette étude investigue de quelles façons les outils numériques sont utilisés pour le travail à la maison et pour l'apprentissage des langues étrangères. Les résultats mettent au jour une déconnexion entre usages des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) entre la sphère privée et la sphère scolaire. Date 2012-04-18, de 12h00 à 13h30 Lieu Université de Montréal Pavillon Marie-Victorin B-328 Conférencière/Conférencier Site professionnel :

3 millions d'emplois menacés, le côté obscur de la digitalisation Il était une fois la robolution… « Le remplacement de l’homme par la machine est peu à peu devenu une réalité ». C’est ce qu’affirme le cabinet Roland Berger Strategy Consultants dans un rapport choc intitulé « Les classes moyennes face à la transformation digitale ». Dans ce document, le cabinet affirme que 42% des métiers seront automatisables d’ici 20 ans. Et ce ne sont pas uniquement des métiers manuels. Et d’ici 2025, 3 millions d’emplois risquent d’être détruits en France par la digitalisation de l’économie. Rage envers la machine ? Le débat n’est pas nouveau : la robotisation de l’économie est-elle créatrice ou destructrice d’emplois ? De l’autre côté, on s’inquiète tout de même du remplacement des hommes par les machines, avec en filigrane une peur ancestrale de l’ennemi robotisé nourrie en partie par les films de science-fiction. Une nouvelle vague de l’automatisation Les métiers de services ne seront pas épargnés Travailler en coopération avec les robots

Programme de la journée - Génération Y et Formation Génération Y : Effet de mode ou véritable enjeu pour la formation ? Programme Journée d’Etude 9h00 : Accueil Première partie : La génération Y en questions 9h30 : Intervention de Christophe Bourgognon – Introduction : Génération Y : La génération du Millénaire 10h15 : Intervention de Benjamin Chaminade Décryptage de la Génération Y dans les organisations. 10h40 : Questions-réponses avec le public 11h : Pause 11h15 : Intervention de Myriam Levain et Julia Tissier & Questions-réponses avec le public Témoignages de cette Génération Y sur son rapport au travail. 11h45 : Présentation, achat, dédicace du livre « La Génération Y par elle-même : Quand les 18-30 ans se réinventent. » 12h00 : Pause déjeuner Deuxième partie : Regards croisés sur la Génération Y, apprentissage collaboratif et usage des technologies. 13h00 : Intervention de l’Equipe projet Pourquoi s’intéresser à la Génération Y ? 14h00 : Table ronde

Le choc des générations BB, X et Y : comment travailler ensemble ? En quoi les différentes générations vont-elles remodeler le marché du travail ? C’est à cette question que le cabinet de recrutement Hudson a voulu répondre avec son enquête sur les générations BB (les baby boomers nés entre 1946 et 1964), la génération X (1965-1979), la génération Y (1980-1994) et la génération Z (les jeunes mutants nés après 1995). Des générations qui on un rapport différent au travail. Voici leurs particularités et leurs façons de pensée. Les baby-boomers, des leaders-nés ? Entre ces quatre générations qui doivent travailler ensemble, il y a parfois un demi-siècle d’écart. Les Y ont une préférence pour l’abstraction A l’opposé de ces compétences opérationnelles, la génération Y « a une préférence beaucoup plus marquée pour la pensée conceptuelle » et semble moins tournée vers la stratégie que les Boomers. Quelle place pour la génération X ? Entre ces deux générations très différentes, les X ont toujours du mal à se frayer un passage.

Les 8 lois du temps et de l'efficacité au travail Loi de Murphy, de Carlson, de Douglas, de Pareto, d’Illich, de Parkinson, de Laborit et d’Hofstadter : voilà 8 lois du temps et de l’organisation du travail à connaitre absolument pour survivre dans le monde de l’entreprise et être plus efficace. Pendant tout l’été vous avez pu découvrir chaque semaine une de ces lois, voici le récapitulatif. 1. La Loi de Murphy L’inventeur : Edward Aloysius Murphy Jr., ingénieur aérospatial américain (1918-1990)Définition : « Tout ce qui peut mal tourner va mal tourner » (« Anything that can go wrong, will go wrong »)Autres noms : loi de l’emmerdement maximum (LEM), loi de la tartine beurrée, effet démo (avec sa variante sous-culturelle : l’effet Bonaldi), loi de Bouchard, loi du fatal error, loi de Finagle…Les choses à faire pour l’éviter : Rien si ce n’est prier au bon moment ou poser un jour de RTT quand ça tourne vraiment mal. En savoir plus sur la Loi de Murphy 2. En savoir plus sur la Loi de Parkinson 3. En savoir plus sur la Loi de Carlson 4. 5. 6.

Équilibre vie pro / vie perso : les 10 meilleures villes du monde Quand on décide de s’expatrier beaucoup de paramètres entrent en ligne de compte : coût de la vie, opportunités professionnelles, qualité de vie, loisirs, sécurité… Partir travailler à l’étranger n’entre pas uniquement dans un plan de carrière, c’est un projet de vie parfois partagé en famille. L’équilibre entre la sphère personnelle et professionnelle est donc très important. 64 villes passées au crible On connaît déjà les destinations préférées des expatriés, une nouvelle étude apporte un regard intéressant sur les villes où il fait bon vivre et travailler. Le top 10 des villes les plus vivables Voici donc le top 10 des villes les plus agréables pour y vivre et travailler. 1. Aucune ville française ne se place dans ce top 10, mais d’autres grandes mégalopoles réputées pour leur dynamisme économique sont aux portes de la short-list : New York pointe à la 17ème place, Tokyo est 18ème, Londres, dossard numéro 22.

Votre entreprise va-t-elle survivre à la crise ? Depuis la crise de 2008-2009, l’incertitude plane sur la santé de nombreuses entreprises. Et beaucoup de salariés s’inquiètent, à juste titre, pour leur emploi. Mais comment savoir si votre employeur est en difficulté ou si l’entreprise qui vous emploie risque de fermer ? Dans son « Petit traité d’impertinence constructive », paru aux Presses universitaires de Grenoble, elle a identifié neuf pratiques de management dites « nutritives » qui montrent que l’entreprise sait se réinventer, se remettre en question et écouter les remontées d’informations de ses managers.

Les robots au travail : faut-il en avoir peur ? Les robots sont partout : présents dans votre voiture, au coeur de votre téléphone, dans les ordinateurs… Il ne leur manque même plus la parole, puisqu’il est possible de dialoguer avec eux et leur poser des questions. La « robolution » est-elle une menace pour l’emploi, seront-nous remplacés ou même recrutés par des robots à l’avenir ? Il y a de quoi inquiéter même l’astrophysicien britannique Stephen Hawking qui a déclaré récemment que l’intelligence artificielle pourrait tout simplement « mettre fin à l’humanité ». En attendant, faut-il avoir peur de l’arrivée des robots et des algorithmes dans le monde du travail ? Pour le savoir nous avons posé la question à Jean-Baptiste Audrerie, psychologue organisationnel et directeur Marketing de SPB. Titulaire d’un MBA pour exécutifs de Paris Dauphine, il s’intéresse à l’avenir du recrutement, notamment sur son blog Futurs Talents. Sur quoi sont basés ces algorithmes et qu’est-ce que cela apporte au recrutement ? Forcément les humains !

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