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#Curation Quand les internautes organiseront eux mêmes le web #Web10ftv

#Curation Quand les internautes organiseront eux mêmes le web #Web10ftv
La curation pour guérir de l’infobésité et gérer sa réputation. Interview de Patrice Lamothe, Pearltrees, au LeWeb pour « Les visages de la réussite » Curation – BuzzWord 2011 – est (ma définition) un trèfle à trois coeurs : veille, documentation et communication/marketing. C’est l’art de se positionner comme une valeur ajoutée dans une expertise en partageant une veille qualitative dûment épurée sur la base d’un centre d’intérêt (passion) clairement identifié. Pour une marque c’est un moyen d’être identifiée comme pro-active et acteur de référence en partageant des sources pertinentes orchestrées. Pearltrees et Paper.li un service de curation ? Le 7 février 2011, la 1ère conférence sur la curation smwcuration réunissait Pearltrees, Scoop.it, Storify, Paper.li,…des services dits de curation. Sur ce blog, j’utilise Pealtrees depuis 2009 pour vous présenter les dossiers ressources et les newsletters sous forme de carte heuristique. « Créez le monde de vos intérêts » Pearltrees

Social curation finds an audience: Pearltrees reaches 10M pageviews With its slick visual interface for bookmarking content, Pearltrees is unique enough that I’ve been both impressed and slightly skeptical that a mass audience will actually use it. But it looks like the site has found plenty of users. The French startup just announced that it crossed two big milestones in March: It has more than 100,000 users curating links, and it received more than 10 million pageviews. When you share links on Pearltrees, they show up as little circles called Pearls. Pearltrees launched in December 2009, and it recently enhanced the social aspect with a new teams feature that lets groups of people create Pearltrees collaboratively. Pearltrees has raised 3.8 million euros in funding.

Curation Merci de votre visite chez Adverbe. Pour suivre notre actualité, vous pouvez vous abonner à notre flux RSS, à notre compte Twitter ou à notre newsletter. Vous pouvez également laisser une trace de votre passage, un encouragement, une critique dans un commentaire. La curation et le curator pourraient bien être à les termes de l’année, comme le community management l’a été en 2010 ou la e-réputation en 2009. Nous en sommes encore aux balbutiements, à la recherche d’une traduction française euphonique plus adaptée que le sens anglophone de « conservateur » (dans l’acception de protecteur) et trahi par le faux ami juridique « curateur ». Un digital curator est un aiguilleur qui analyse, trie et distribue l’information du Web en fonction des destinataires. Rien de neuf sous le soleil donc, le curator ne fait qu’appliquer le fameux cycle du renseignement : collecte de l’information, analyse et diffusion. Valeur ajoutée de la curation : tri et éditorialisation Le curator peut-il être un robot ?

Google + devrait s’enamourer des Pearltrees-like ou l’avenir du shopping drag and drop Citoyens ! Les commentaires vont bon train concernant Google + . Pour ma part, pas d’énormes révolutions de mes propres usages, pour la simple et bonne raison que l’étape 1 de la propagation de Google + repose sur une notion désormais hyperstatique : le carnets d’adresse. A la différence près que si les MySpace ou autres Facebook ont pu recruter sans avoir à justifier de services additionnels révolutionnaires (“log and see”), Google + arrive après une phase de maturation des réseaux sociaux vers le grand public, et de façon internationale. Difficile pour l’utilisateur de simplement faire confiance à Google pour un service additionnel. Il manque cette dimension dynamique dans l’acquisition des publics ; on pourrait presque parier que les prochains grands succès des médias sociaux n’auront pas lieu seulement via une contamination d’adresses emails mais par de véritables “missions” ou “call to actions” demandés aux utilisateurs prospects.

Tous éditeurs ? Les promesses incertaines de la « curation » Les acteurs du monde numérique aiment les « buzzwords ». Ils consomment un nouveau concept tous les six mois. Cet inusable cycle de la hype et de sa ringardisation met en lumière un thème avant, impitoyablement, de rebondir vers une autre thématique intégrant plus ou moins ce qui a su résister de la précédente. La nouvelle mode déjà démodée s’appelle curation. Empruntée au monde de l’art contemporain, la figure du « conservateur » devenu « commissaire d’exposition » puis « curateur » (curator) est donc désormais appelée à qualifier le fait que les internautes font des choix, éditent des liens, les ordonnent et les diffusent. Faire des internautes des « curateurs », c’est d’abord tirer les conséquences de deux transformations importantes des pratiques du web : le développement de la recherche « sociale » (en opposition à la recherche lexicale ou sémantique) et l’accroissement de la critique du pouvoir des gate-keepers sur l’agenda de l’information.

ObjectifMars chez Pearltrees Pearltrees Brings Your Interest Graph' to the iPad One of the more buzzword-y buzzwords in Silicon Valley right now is the "interest graph," which is supposed to connect people and the topics that they're interested in. Lots of startups promise to tap into the interest graph, but Pearltrees CEO Patrice Lamothe says a new app from his startup is "maybe the first time you actually see an interest graph." The new feature, which Lamothe variously describes as "visual discovery" (his pitch to the tech press) and "related interests" (what it's actually called in the app), is included in the just-launched iPad application from the previously Web-only company. That kind of self-deprecation from a startup CEO is a little strange, except that the Pearltrees iPad app is pretty impressive. Over time, all of that activity (Pearltrees claims to have 200,000 users who have created more than 10 million bookmarks, called "pearls") has created a vast amount of data on how different topics are related.

Pearltrees makes Web curation a joy with its 'magical' new iPad app Not many tech CEOs would have the guts to describe their products as “magical” and as delivering “pure happiness”, but that’s exactly how Pearltrees‘ Patrice Lamothe describes the startup’s iPad app released today. You know what? He may just be right. Pearltrees is a service that takes a visual approach to Web curation. Launched late last year with its browser-based version, it allows you to create networks of ‘pearls’ on screen. Each pearl is a link to a piece of content and you can connect them together in whatever way you choose into a ‘pearltree’. Everything’s public on Pearltrees, so searching for ‘iPhone’, for example, will bring up all the iPhone-relates pearltrees created by 200,000 users the service has amassed so far. Now the iPad app brings a whole new dimension to both curation and content discovery. That’s where the discovery element of the app comes in. Scroll your finger slowly to uncover closely related pearls, or scroll quickly to see a wider variety of related content.

Pearltrees: Slick Social Bookmarking and Curation Tool Now on iPad WHAT: A web-based and iPad application to organize and curate your social life online. Users collect, or bookmark, web pages, tweets, Google+ posts and more, and arrange them in pearls or pearltrees. A pearl holds anything interesting you find on the web with a URL. A pearltree is a collection of webpages that functions like a folder. On the iPad, you simply organize your pearls by touching and dragging. Users can write editorials that explain the pearltree's purpose to effectively attract visitors. LAUNCHER: Patrice Lamothe, founder and CEO. WHY: Everyone consumes content online, but there's no easy way to curate all your content across several websites and social networks. BACKSTORY: Pearltrees first launched as website, but when the iPad came out, Patrice realized that the tablet is a "natural and a perfect fit." BUSINESS MODEL: Freemium. "Users want to share publicly, but also would like to have the ability to create feeds of people using private pearl trees."

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