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Detroit, la prochaine ville fantôme des États-Unis?

Detroit, la prochaine ville fantôme des États-Unis?
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untitled untitled untitled untitled untitled La ville américaine de Detroit renaît après la faillite La ville de Detroit (Michigan), berceau de l'industrie automobile américaine, est devenue en juillet 2013, la plus grande ville américaine à se déclarer en faillite. Mais début 2014, la ville est déjà en train de se rétablir. Les habitants de la ville cherchent à se défaire de cette image de ville délabrée. Alors certains détruisent pour mieux reconstruire. De son côté, Dan Gilbert, un milliardaire natif de la ville qui a fait fortune dans la finance, est devenu l'ambassadeur de la relocalisation à Detroit.

untitled Fermeture de Gentilly-2 : s'inspirer de Boisbriand | Anne-Marie BischoffL'auteure travaille dans un organisme qui favorise la réinsertion sur le marché du travail. Elle réside à Drummondville. | Votre opinion Rappelons-nous l'histoire de l'usine GM de Boisbriand. Tant qu'il y avait un espoir de repartir la production d'automobiles Camaro, les citoyens et la communauté de Boisbriand se battaient pour maintenir l'usine en activité au nom des nombreux emplois bien rémunérés et de l'économie de la région. Lorsque le premier ministre Bernard Landry est revenu des États-Unis avec une fin de non-recevoir, le discours de la communauté de Boisbriand a changé. Son attitude fermée s'est transformée en une attitude d'ouverture: l'usine va fermer, qu'est-ce qu'on va faire? Finalement, on y a construit le Faubourg Boisbriand, complexe immobilier de 1700 logements qui rapporte 10 millions de dollars de taxes, soit quatre fois plus que l'ancienne usine GM. Aujourd'hui, Boisbriand n'a plus l'usine GM, mais elle ne s'en porte pas plus mal. J'invite les citoyens, les membres de la communauté et les membres du gouvernement à adopter une attitude ouverte et rationnelle face à la situation.

untitled En Indonésie, la guerre de la déforestation oppose Greenpeace et le papetier APP LE MONDE | • Mis à jour le | Par Bruno Philip Entre Greenpeace, l'ONG de défense de l'environnement et Asia Pulp and Paper (APP), le géant indonésien de la pâte à papier, c'est la guerre. Un conflit sans merci dans lequel l'âpreté des accusations fait face à l'obsession de se justifier. L'enjeu ? Pour le premier, alerter l'opinion internationale sur le sort des dernières forêts naturelles d'Indonésie. Les militants écologistes ont gagné une première bataille. APP a répliqué par une campagne de publicité dans la presse internationale d'une rare ampleur. "Regardez ! L'appareil perd de l'altitude et vole maintenant en rase-mottes pour atteindre une partie défrichée : "Voici ce que nous appelons la "zone tampon" et la "zone de transition...

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