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Le Matin des magiciens

Le Matin des magiciens
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Matin des magiciens est un livre de Louis Pauwels et Jacques Bergier publié en 1960 et se présentant comme une « introduction au réalisme fantastique ». Présentation[modifier | modifier le code] Cet ouvrage de plus de 500 pages dans son édition originale se présente comme un récit, « parfois légende et parfois exact », consacré à « des domaines de la connaissance à peine explorés »[1] « aux frontières de la science et de la tradition ». Son contenu aborde des thèmes aussi divers que l'alchimie, les sociétés secrètes, les civilisations disparues, les récurrences insolites, les religions et les sciences occultes ou l'ésotérisme. Il repose sur des témoignages anciens (comme les manuscrits de la mer Morte), des recherches et des livres d'auteurs reconnus ou méconnus[2], des articles de revues spécialisées et des ouvrages de science-fiction[3] ou de littérature fantastique[4]. Le Matin des magiciens se compose de trois parties :

Nazism and occultism The origins of Nazism and its relation to the occult has been a part of popular culture since at least 1959. There are documentaries and books on the topic, including The Morning of the Magicians (1960) and The Spear of Destiny (1972). Historian Nicholas Goodrick-Clarke analyzed the topic in The Occult Roots of Nazism in which he argued cautiously for some real links between some ideals of Ariosophy and Nazi ideology. He also analyzed the problems of the numerous popular "occult historiography" books written on the topic. He sought to separate empiricism and sociology from the "Modern Mythology of Nazi Occultism" that exist in many books which "have represented the Nazi phenomenon as the product of arcane and demonic influence". Goodrick-Clarke, the Völkisch movement, and ariosophy[edit] Historian Nicholas Goodrick-Clarke's 1985 book The Occult Roots of Nazism discussed the possibility of links between the ideas of the Occult and those of Nazism. Claims of Nazi occultism[edit]

Jacques Bergier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Bergier. Jacques Bergier, né Yakov Mikhailovich Berger (Яков Михайлович Бергер) le à Odessa (Ukraine) et mort le à Paris d'une hémorragie cérébrale, est un ingénieur chimiste, alchimiste, espion, journaliste et écrivain de nationalité française et polonaise d'ascendance juive. Salué dans la francophonie pour la grande diversité de ses connaissances et ses nombreux ouvrages, il a largement contribué à la promotion, en France, de phénomènes ou de faits négligés par la science, notamment avec son livre Le Matin des magiciens, écrit en collaboration avec Louis Pauwels. Biographie[modifier | modifier le code] L'ingénieur chimiste[modifier | modifier le code] Le site de Peenemünde, base des fusées V1 et V2 Libération de Mauthausen Après des études secondaires au lycée Saint-Louis, il poursuit ses études à la Faculté des sciences de Paris et à l'École nationale supérieure de chimie de Paris.

Pierre Ayçoberry Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pierre Ayçoberry, né le , décédé le , est un historien français, professeur émérite à l'université Strasbourg II, après avoir été maître-assistant à l'université Paris-X Nanterre. Ouvrages[modifier | modifier le code] L'Unité allemande (1800-1871), Paris, PUF, coll. « Que sais-je ? », 1972 ; plusieurs rééditions dont 1982 (ISBN 2-13-037238-4) ; 1992, 127 p.La Question nazie, Les interprétations du national-socialisme, 1922-1975, Seuil, coll. « Points Histoire », 1979, 314 p. Liens externes[modifier | modifier le code] En 1996 intervention sur le négationnisme pour le Cercle d'étude de la déportation et de la shoah

George L. Mosse Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. George Mosse lors d'une invitation à l'Université de Cambridge (1991). Il a exercé une forte influence sur les historiens du fascisme et du nazisme dans le monde anglo-saxon mais aussi en Italie et, plus tard, en Allemagne[1] mais le monde universitaire francophone l'a largement ignoré de son vivant[2]. Biographie[modifier | modifier le code] En 1933, il fuit en Suisse avant de s'installer en Angleterre avec sa famille en raison de la montée du national-socialisme. Il étudia à la Bootham School puis il s'installa aux États-Unis en 1936. Il obtint un BS du Haverford College (Pennsylvanie) en 1941 et un PhD de Harvard en 1946. Un historien des mentalités et particulièrement du fascisme[modifier | modifier le code] Ses premiers travaux ont porté sur la Réforme et l'Angleterre du XVIe siècle. Historien des mentalités, il est en particulier à l'origine du concept de « brutalisation » appliqué aux sociétés qui sortent de la Guerre 1914-1918.

Anthroposophie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'anthroposophie est un courant de pensée et de spiritualité créé au début du XXe siècle par Rudolf Steiner. Selon lui il s'agit d'une « science de l'esprit », une tentative d'étudier, d'éprouver et de décrire des phénomènes spirituels avec la même précision et clarté avec lesquelles la science étudie et décrit le monde physique. Cette démarche n'est toutefois pas reconnue comme une science, elle se fonde sur les premiers travaux philosophiques de Rudolf Steiner, dont les premiers ouvrages (Une théorie de la connaissance chez Goethe, Vérité et science, La philosophie de la liberté) sont consacrés à l'élaboration de son concept, qu'il rattache en particulier à Goethe, mais aussi à toute la tradition idéaliste allemande. Les principes de l'anthroposophie ont été appliqués dans divers domaines, comme dans les écoles Steiner, l'agriculture biodynamique, la médecine anthroposophique. Étymologie[modifier | modifier le code] 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Théosophie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Emblème de la société théosophique. Les cinq symboles visibles dans le sceau sont l'Étoile de David, l'Ânkh, la Sauvastika, l'Ouroboros et, au-dessus du sceau, le signe Aum. Autour du sceau sont écrits les mots : « Il n'y a pas de religion supérieure à la Vérité ». Le terme théosophie fait référence à un système philosophique ésotérique à travers lequel l'être humain tente de connaître « le Divin » et les mystères de la Vérité. La « théosophie antique » est à distinguer de la « théosophie moderne » ou « théosophisme »[1] se référant à la Société théosophique. Théosophie antique[modifier | modifier le code] La théosophie (theosophia — en grec : theos, divin et sophia, sagesse) a été fondée par des auteurs de l'Antiquité. Pour Porphyre, le theosophos est « un être idéal unissant en lui-même la qualité d'un philosophe, d'un artiste et d'un prêtre du plus haut niveau »[2]. Théosophie moderne / Théosophisme[modifier | modifier le code]

Rose-Croix Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Temple de la Rose-Croix, gravure du Speculum Sophicum Rhodostauroticum (Miroir de la sagesse des Rose-Croix) de Teophilus Schweighardt Constantiens (pseudonyme de Daniel Mögling), 1618. La Rose-Croix est un ordre hermétiste chrétien légendaire dont les premières mentions remontent au début du XVIIe siècle en Allemagne. Quoi qu'il en soit, à partir du XVIIIe siècle et jusqu'à aujourd'hui, de nombreux mouvements se sont réclamés de l'ordre de la Rose-Croix, ou se sont référés à la « tradition rosicrucienne » ou à l'« héritage de Christian Rose-Croix ». Comme archétype de société secrète, immémoriale et toute-puissante, les rose-croix apparaissent dans la littérature ésotérisante[1], souvent comme successeurs des chevaliers du Graal et des Templiers. Les mouvements rosicruciens sont mentionnés de nombreuses fois dans les rapports de commission parlementaire sur les sectes en France[2],[3]. Introduction[modifier | modifier le code]

Franc-maçonnerie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot franc-maçonnerie désigne un ensemble de phénomènes historiques et sociaux très divers formant un espace de sociabilité[1] qui recrute ses membres par cooptation[2] et pratique des rites initiatiques faisant référence à un secret maçonnique et à l'art de bâtir. Difficilement traçable historiquement, elle semble apparaître en 1598 en Écosse[3] (Statuts Schaw), puis en Angleterre au XVIIe siècle. Elle prodigue un enseignement ésotérique progressif à l'aide de symboles et de rituels. Elle s'est structurée au fil des siècles autour d'un grand nombre de rites et de traditions, ce qui a entraîné la création d'une multitude d'obédiences, qui ne se reconnaissent pas toutes entre elles. Une discipline de réflexion porte sur la franc-maçonnerie : la maçonnologie. Jardins du George Washington Masonic National Memorial Tentatives de définitions[modifier | modifier le code] Les loges maçonniques existaient bien avant les obédiences[13].

Artur Dinter Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dinter. Artur Dinter Artur Dinter (Mulhouse, 1876 ̶ Offenburg, Bade, 1948) était un écrivain, philosophe et homme politique allemand. Biographie[modifier | modifier le code] Artur Dinter naquit à Mulhouse (Alsace) d’un père inspecteur des douanes et de son épouse Berta Hoffmann, tous deux originaires de Silésie, et reçut le baptême catholique. Son doctorat obtenu, Dinter fut nommé directeur des jardins botaniques à Strasbourg. Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code] Dinter participa aux combats de la Première Guerre mondiale en tant que lieutenant de réserve d’un régiment d’infanterie alsacien et fut bientôt promu au grade de capitaine de réserve et décoré de la croix de fer de deuxième classe. Carrière littéraire[modifier | modifier le code] Völkische Bewegung et NSDAP[modifier | modifier le code] Après la guerre, la pensée de Dinter se fit de plus en plus radicale et raciste.

REPRESSION CONTRE LA CONCURRENCE Poème wotaniste Hermann Rauschning Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hermann Rauschning en 1933. Hermann Rauschning (né à Thorn (aujourd'hui Toruń, en Pologne) le 7 août 1887 - mort à Portland, Oregon, le 8 février 1982) est un essayiste et homme politique allemand, membre du Parti national-socialiste des travailleurs allemands. Président du Sénat de Dantzig, il démissionne en 1935, et doit fuir l'Allemagne. Biographie[modifier | modifier le code] Descendant d'une famille de propriétaires terriens de Prusse-Orientale, appartenant à l'aristocratie militaire des Junkers, il intègre le corps des Cadets prussiens. Mais quand le parti nazi exige de lui qu'il mette en œuvre la Gleichschaltung, fasse arrêter les prêtres catholiques s'opposant au régime, applique la législation discriminatoire à l'égard des Juifs et supprime les autres partis politiques, il refuse, et démissionne du parti. Il fuit d'abord en 1936 en Suisse, émigre en France en 1938 et part l'année suivante au Royaume-Uni. Hitler m'a dit, Paris, éd.

Joachim Fest Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joachim Fest Œuvres principales Les Derniers Jours d'Hitler (2002) Spécialiste du Troisième Reich, il publie en 1973 une biographie d'Adolf Hitler intitulée le Führer traduite en plus de vingt langues[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Joachim Fest est issu d'une famille de la bourgeoisie catholique et conservatrice allemande qui ne s'est pas compromise avec le régime des nazis. En décembre 1944, à l'âge de 18 ans, il s'engage dans l'armée allemande pour éviter d'être incorporé dans les Waffen SS. Joachim Fest étudie le droit, l'histoire et la littérature allemande. Membre du directoire du journal conservateur Frankfurter Allgemeine Zeitung, figure du milieu intellectuel allemand, il s'opposait souvent à la gauche allemande qu'il jugeait moralisatrice refusant la diabolisation comme outil de culpabilisation. Réception littéraire[modifier | modifier le code] Œuvres traduites en français[modifier | modifier le code] Hitler.

Occultisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’occultisme désigne l'ensemble des courants de pensées décrivant la nature et l'origine suprasensible de l'homme et de l'univers. Par exemple, l'astrologie parle des influences astrales, le néo-occultisme traite avec Papus des « facultés occultes de l'Homme » et des « forces invisibles de la Nature[1] ». Le terme « occultisme » désigne plus généralement, en philosophie, le corps de doctrines et de pratiques liées aux occultistes, par exemple la radiesthésie, les tables tournantes, les cartomanciennes. L'expression « sciences occultes » remonterait au titre d'un livre d'Eusèbe de Salverte, en 1829 (Des sciences occultes)[2]. Tentative de Définition[modifier | modifier le code] Étymologiquement, le mot « occultisme » vient du latin occultus (« caché, secret »)[5], il se rapporte à la « connaissance de ce qui est caché ». Qualités et vertus occultes[modifier | modifier le code] L'auteur le plus lu, pendant des siècles, a été Pline l'Ancien.

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