background preloader

Les origines de la guerre froide

Les origines de la guerre froide
Related:  Chemin puissance Etats-Unis

Etats-Unis : Politique étrangère, histoire, politique extérieure des USA, relations internationales, Histoire de la politique étrangère américaine - Céline Pajon, Patrice Sawicki Dans la même lignée, en 1823, le Président Monroe (1817-1825) formula sa doctrine de « l’Amérique aux Américains » : Les Etats-Unis promettaient de ne pas s'engager dans les affaires européennes, alors qu'ils regardaient toute intervention des Etats européens sur le continent américain comme une agression. (cette clause était prévue pour protéger les états indépendants d’Amérique Latine des visées coloniales des états européens). Jefferson comme Monroe se firent ainsi les fondateurs et défenseurs de l’isolationnisme américain, véritable courant de pensée défendu jusqu’à aujourd’hui en matière de politique étrangère américaine Cette conception « d’exceptionnalisme » américain, qui représenterait le gouvernement le plus abouti et le plus parfait, justifiait l’idée d’une « destinée manifeste » des Etats-Unis, consistant à diffuser son système de valeurs et de gouvernement à travers le monde, afin de le faire progresser à son image.

Berlin - au coeur de la Guerre Froide Tout d’abord, quelques brefs rappels sur le Mur de Berlin… La construction du Mur de Berlin a débuté sous les yeux désespérés des Berlinois dans la nuit du 12 au 13 Août 1961 et ce, par la volonté des autorités d'Allemagne de l'Est qui voulaient ainsi empêcher les Allemands de l'Est de fuir en Allemagne de l'Ouest par Berlin.La construction du Mur par les actualités françaises : Ce Mur tombe le 9 Novembre 1989 sous les yeux cette fois-ci réjouis des Berlinois de l'Est et de l'Ouest, depuis trop longtemps séparés et c'est la population elle-même qui participe à son ouverture. Et la chute du Mur de Berlin entraîne la réunification des deux Allemagnes dès 1990. L'ouverture du Mur de Berlin : Rappels historiques : - la division de l'Allemagne Pour comprendre la construction du Mur, il faut remonter à la fin de la Seconde guerre mondiale. La capitale, Berlin subit la même division en quatre. Mise en place du pont aérien par l'aviation américaine pour ravitailler la population. Et Berlin?

Oncle Sam Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Oncle Sam (en anglais Uncle Sam) est un personnage emblématique, allégorie des États-Unis. Représentation de l'Oncle Sam par Thomas Nast (1877). Apparence et description en général[modifier | modifier le code] D'une manière conventionnelle, l'oncle Sam est représenté comme un grand homme blanc assez vieux, portant de longs cheveux blancs et une barbichette. Andrew Jackson, 7e président des États-Unis, a servi de modèle au personnage. Dans l'imagerie populaire, oncle Sam est coiffé d'un haut-de-forme aux couleurs de la bannière étoilée, porte un nœud papillon rouge, une queue-de-pie bleue (parfois étoilée) et un pantalon rayé rouge et blanc, le tout rappelant le drapeau des États-Unis. Origine[modifier | modifier le code] L'histoire initiale[modifier | modifier le code] Après la statue de la Liberté, à New York, oncle Sam est probablement la personnification la plus célèbre des États-Unis. Samuel Wilson[modifier | modifier le code]

Les USA sont-il encore une hyperpuissance ? Réponse - Amérique du Nord VINGT ANS après la « Fin de l’histoire » [1], quelles nouvelles de l’ « Hyperpuissance » ? A l’instar de la trilogie des Mousquetaires de Dumas, le Vingt ans après de l’Amérique post- guerre froide (ou post-moderne si l’on préfère) nous a gratifié d’aventures rebondissantes qui nous incitent à dresser un bilan improbable de ces deux dernières décennies. A l’heure où se profile une élection présidentielle importante, cet inventaire devrait nous aider à mieux comprendre si l’Amérique aura dans l’avenir la volonté de s’engager activement dans les affaires de ce monde ou si, au contraire, elle renoncera à assumer les responsabilités qui lui incombent en tant que première puissance mondiale. Les Etats-Unis et le paradoxe de la puissance Dans le domaine du sport, on dit souvent qu’il est plus difficile de défendre un titre que de l’acquérir. Le cas des Etats-Unis est très particulier. Dans les faits, le peuple américain s’est montré à toutes les époques profondément isolationniste. . . . .

- Comment les Anglo-Américains comprennent la mondialisation et voient le monde ? L’ANALYSE part du principe qu’observer et évoquer le monde et la mondialisation ne peut se passer d’une représentation de l’anglosphère comme l’indique l’entrée du même mot qui figure dans le Dictionnaire critique de la mondialisation [1]. L’anglosphère fait référence au monde anglophone et désigne ainsi les pays dont l’histoire, la culture et l’organisation sociale ont été fortement marquées par la colonisation britannique. Les contours de ce monde anglophone peuvent certes varier d’un auteur à un autre mais ils incluent généralement les Etats-Unis. Aussi il ne s’agit pas ici de traiter la manière dont les récits sur l’anglosphère parlent du monde mais plus précisément comment les Anglo-Américains appréhendent la mondialisation et de ce fait le monde. La mondialisation est comprise comme un processus multidimensionnel concernant différents aspects de la vie des individus et des institutions. Cynthia Ghorra-Gobin, droits réservés Copyright Octobre 2014- Ghorra-Gobin/Diploweb.com Plus . .

Géopolitique. Un monde en quête de puissance - Amérique du Nord LA FIN de la guerre froide en 1991 a marqué le passage d’un monde bipolaire à un monde unipolaire. Débarrassé de ses oppositions idéologiques et territoriales à la faveur de l’effondrement de l’Union soviétique, le monde d’après la guerre froide s’est retrouvé face à l’existence d’une seule puissance : les États-Unis d’Amérique. De 1991 à 2008, cette puissance s’est constituée en gendarme du monde, au pire en intervenant militairement à l’extérieur et au mieux en influençant, par ses attraits culturels et économiques, les différents acteurs. La réunion de ces deux méthodes (hard et soft power) a créé chez le citoyen américain une conscience de puissance [1] d’une part et une reconnaissance de puissance chez l’observateur étranger d’autre part. Mais depuis 2008, le recours privilégié du Président américain Barack Obama au soft power et à l’usage des drônes et forces spéciales a fait disparaitre tant cette conscience de puissance que cette reconnaissance de puissance. Hebert-Marc Gustave

Quelle géopolitique des Etats-Unis après deux mandats d'Obama (...) - Amérique du Nord Pierre Verluise (P.V.) : Quel bilan faites-vous des deux mandats de B. Obama en matière de politique étrangère ? Restera-t-il comme le président des drones ? Quid de la puissance des Etats-Unis à l’automne 2016 comparativement à la situation en 2008 ? A l’actif, il y a évidemment le retour de 190 000 hommes d’Irak et d’Afghanistan (sur 200 000 au plus fort des conflits) ; l’absence d’une nouvelle attaque terroriste de grande ampleur sur le territoire américain ; l’accord sur le nucléaire iranien ; la signature du Trans Pacific Partnership et d’une manière générale l’approfondissement des relations économiques et militaires avec l’Inde et l’Asie du Sud-Est ; la normalisation avec Cuba et, plus largement, le réchauffement des relations avec l’Amérique latine ; une capacité à interroger la pertinence de certaines alliances historiques (Arabie Saoudite, Pakistan, Israël) etc. Plus globalement, il y a une réelle compression du rôle des États-Unis dans le monde. P. A. P. A. Plus . Encore plus

Vidéo géopolitique. Les Etats-Unis dans le monde, d'Obama à (...) - Vidéo Ces deux spécialistes répondent de manière très claire aux questions suivantes : . Quelles sont les idées fausses sur "Les Etats-Unis dans le monde ?" . Quels sont les trois fondamentaux des Etats-Unis dans le monde ? . . . . Cette vidéo peut aisément être diffusée en classe ou en amphi pour illustrer un cours sur les Etats-Unis ou amorcer un débat. Découvrez plus de vidéos géopolitiques sur la chaine youtube.com Diploweb Cette vidéo a été réalisée à l’occasion d’une conférence géopolitique du Diploweb en partenariat avec Grenoble Ecole de Management, le 11 janvier 2017. Si vous vivez en région parisienne, assistez aux conférences géopolitiques du Diploweb

Chine et "désaméricanisation" économie mondiale La crise budgétaire américaine inquiète les pays émergents, et parmi eux la Chine, comme en témoigne un commentaire cinglant de l'agence d'information officielle Chine nouvelle. La crise budgétaire américaine inquiète les pays émergents, et parmi eux la Chine, comme en témoigne un commentaire cinglant de l'agence d'information officielle Chine nouvelle. "Alors que les hommes politiques américains" échouent à "trouver un accord viable pour refaire fonctionner normalement les institutions politiques dont ils sont si fiers, c'est peut-être le bon moment pour une planète abasourdie de commencer à envisager la construction d'un monde désaméricanisé", écrit le média d'Etat. "Les jours inquiétants où les destinées d'autres pays se trouvent dans les mains d'une nation hypocrite doivent prendre fin, et un nouvel ordre mondial doit être mis en place, où toutes les nations (...) verront leurs intérêts respectés et protégés sur un pied d'égalité", poursuit l'agence.

Dissertation guidée : L'Empire américain, mythe ou réalité ? - Major-Prépa Analyse des termes du sujet C’est toujours par là qu’il faut commencer : l’analyse des termes du sujets doit amener, et donc justifier, à la fois votre problématique et tout votre développement. Il s’agit donc d’expliquer tous les termes du sujet, en les liant entre eux. Il est ici très clair que le sujet interroge la réalité de l’idée selon laquelle il y a un Empire américain. L’Empire se caractérise par une tension entre l’incorporation d’un nombre toujours croissant de populations tout en maintenant une différenciation entre elles ; certaines étant traitées comme alliées, d’autres comme clientes, d’autres comme tributaires. Le mythe de l’Empire américain repose sur les images qui circulent et sur les Etats-Unis. La tournure du sujet nous invite donc à réfléchir d’une part à interroger la réalité de l’Empire américain, mais également à interroger le décalage éventuel entre les mythes qui circulent et qu’il répand à son sujet, entre théorie et réalité impériale. La problématique

L’ère des conflits asymétriques Pour le juriste Yves Jeanclos, si la fin de la guerre froide a pu faire croire à une paix perpétuelle, il faut désormais admettre que de nouveaux types de conflits émergent aujourd’hui. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Yves Jeanclos (Docteur d'Etat en droit de Paris-II , agrégé de droit) En 1989, contrairement aux espérances populaires, la chute du mur de Berlin entraîne le monde dans une nouvelle insécurité. Que le monde était pacifique et radieux sous la menace de la guerre nucléaire contrôlée et retenue par les deux adversaires-partenaires au XXe siècle ! Les attentats terroristes du 11 septembre 2001 mettent fin à l’unipolarité insolente des Etats- Unis. Un nouveau mode de relations internationales dominées par l’effroi, la peur et la douleur s’en trouve instauré. Le soulèvement de plusieurs Etats arabes à partir de 2011 sonne le glas de régimes politiques contestés. Certains pays dits frères en religion mais concurrents en politique lui apportent même assistance. Guerre asymétrique

"Mars ou Vénus"? Les Etats-Unis et la défense de l'Europe Nous voilà prévenus, et avec quelle virulence ! Le président Donald Trump, à peine entré en fonction, confirme, parmi un flot de propos débridés, les sentiments d’hostilité à l’Union européenne qu’il a exprimés durant sa campagne. Il salue le Brexit comme, je cite, une « chose géniale ». Il accable l’Union de son mépris. L’Union est en gros, dit-il, un simple instrument pour l’Allemagne et c’est pourquoi la Grande-Bretagne a eu bien raison d’en sortir. Et il pronostique que d’autres pays quitteront bientôt l’Europe de Bruxelles. Je me félicite que mon invité soit, ce matin, Justin Vaïsse qui dirige le Centre d’analyse de prévision et de stratégie au Quai d’Orsay. Programmation sonore Allocution de François Mitterrand devant le Congrès des USA, à Washington, le 22 mars 1984 Discours de Donald Trump diffusé sur France 24, le 16 janvier 2017. Clemenceau remercie le peuple américain de son aide, 1922. Musique Strië – «Hallilaul » De Gaulle sur le retrait de la France de l’Otan, le 10 août 1967.

Related: