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Demain, community manager sera le poste le mieux payé de votre entreprise

Demain, community manager sera le poste le mieux payé de votre entreprise
Qu’est-ce qu’une communauté ? Marylène Delbourg-Delphis définit ainsi la notion de "tribu" : "un groupe de personnes connectées entre elles, connectées à un leader et connectées à une idée" (en préface de Tribus de Seth Godin). La communauté se caractérise à la fois par la qualité de ses connexions et par l’attachement à une personne et/ou une vision. Pourquoi vous devriez vous en préoccuper ? Parce que plus personne ne vous écoute Dans une époque saturée de messages et discours top-down (descendants), l’avis de ses "pairs" prend autant voire plus d’importance que les discours des marques ou des institutions. Parce que c’est le seul moyen de vous développer quand vous êtes petit Pour une start-up, construire une solide communauté fonctionne mieux et coûte moins cher que les techniques traditionnelles pour conquérir de nouveaux clients. Parce que vous améliorerez vos produits Parce que votre communauté vous le rendra bien Parce que c’est peut-être vous qui dépendrez de votre communauté Related:  Q5. Comment partage info contribue-t-il à intelligence collective?MANAGEMENT

Le kit de survie du veilleur dans la jungle des Internets Chaque jour, des millions d’internautes tweetent, likent, commentent, partagent, générant un flux continu considérable de conversations ! Trier et donner du sens à cette masse d’informations est un défi quotidien et, pour ce faire, nous avons nos bottes secrètes. Vous voulez vous aussi devenir un( e) pro de la veille ? Twazzup est un moteur de recherche qui permet le suivi en temps réel des flux thématiques Twitter. TweetDeck est l’un des principaux tableaux de bord Twitter sur le marché. Trends24.in permet de suivre heure par heure les tendances Twitter à travers le monde. On aime aussi EMM NewsBrief, un outil de veille développé par la Commission européenne, qui nous fournit une analyse précise des sujets tendances sur les médias traditionnels… mais aussi sur les réseaux sociaux ! Socialshare vous permet de suivre les articles les plus partagés sur Facebook, Twitter et LinkedIn. Vous cherchez un Google Trends pour réseaux sociaux ?

4 questions pour comprendre le possible rachat de Darty par la Fnac Coup de tonnerre dans la distribution. En 2012, la Fnac avait voulu imiter Darty en vendant des aspirateurs. Désormais, elle veut racheter son concurrent, afin de créer le « leader de la distribution de produits techniques, culturels et électroménagers en France ». Le conseil d’administration de Darty a reçu, lundi 28 septembre, une offre de rachat émanant du plus gros libraire de France. La Fnac offre 533 millions de livres (720 millions d’euros) pour reprendre Darty. « Le conseil d’administration [de Darty] a examiné cette proposition et a conclu qu’il devrait étudier de plus près les avantages d’un éventuel rapprochement avec Fnac. Selon la réglementation britannique, la Fnac a jusqu’au 28 octobre à 17 heures pour confirmer son projet d’offre publique d’échange (OPE). Vestige du groupe britannique Kingfisher, empire de la distribution qui s’est effiloché au cours du temps, Darty est coté à Londres. Quel est l’état de santé des deux groupes ? N’y a-t-il pas un risque concurrentiel ?

Nothing to Hide, le site qui analyse votre e-réputation Publié le jeudi 11 février 2016 à 16:30 par Coline PAISTEL . 53 % des employeurs utilisent les réseaux sociaux pour recruter. © Ouest-France Vous cherchez un emploi mais êtes-vous sûrs de bien maîtriser votre e-réputation ? Créé par le cabinet de recrutement français Mazars, le site Nothing to Hide va vite devenir indispensable. En 5 minutes et en vous connectant sur vos différents réseaux, Facebook, LinkedIn, Twitter ou encore Instagram, tous vos comptes sont passés au peigne fin. Mais ce n'est pas tout ! Entreprise libérée : manager sans imposer Ses pionniers l'appellent l' « entreprise libérée ». L'idée : revoir l'organisation pyramidale du travail pour insuffler du sens, de la motivation mais aussi de la productivité. Céline Chaudeau | 18 Mai 2015, 12h34 | MAJ : 18 Mai 2015, 12h36 Pas la peine de chercher son titre : sur sa carte de visite ne figurent que son nom, son numéro de téléphone et son e-mail. « Aujourd'hui, je n'ai plus de bureau, plus de titre ni d'assistante », sourit Alexandre Gérard. L'ancien PDG du groupe Chrono Flex n'a pas quitté l'entreprise pour autant. Mais aujourd'hui, il préfère juste se définir comme un « animateur ». « En 2009, quand nous avons été touchés par la crise de plein fouet, j'ai compris qu'on ne pouvait plus travailler comme avant, se souvient-il. Faut-il dépoussiérer le management ? L'holacratie, une nouvelle gouvernance « Ces points de vue participent de l'entreprise libérée que l'on peut appréhender de plusieurs façons, résume le consultant en organisation Bruno France-Lanord.

Montpellier : Tela Botanica crée les applis 2.0 pour les plantes Créée en 1999 à Montpellier et aujourd'hui forte d'un réseau de 22 000 membres de 89 pays, l'ONG Tela Botanica s'est donnée pour mission de développer des outils et événements autour de la botanique. L'une de ses activités est la création et l'animation d'une base de données informatique open source des différentes variétés de plantes, qui compte aujourd'hui près de 100 000 entrées. Une mine de connaissances que l'association met dès 2009 au profit d'applications numériques innovantes. Elle s'associe avec plusieurs partenaires financiers et scientifiques (Agropolis Fondation, Inra, Inria, Cirad, IRD) afin de développer l'application PlantNet. PlantNet fournit ainsi un outil inédit qui fait sensation lors de son lancement au Salon de l'Agriculture 2013. Deux millions d'utilisateurs Bien que se basant sur des technologies de pointe telles qu'un algorithme d'intelligence artificielle de l'Inra qui permet la reconnaissance des plantes, PlantNet n'est pas une application automatique.

Les 7 points qui différencient une entreprise libérée d’une organisation classique Chroniques d’experts Organisation Le 28/05/2015 Temps de lecture : 8 minutes Identifier les sept points communs des entreprises libérées permet de comprendre, en creux, ce qui peut dysfonctionner dans les organisations traditionnelles. Quel que soit le domaine ou le secteur d’activité dans lequel elles évoluent, les entreprises libérées ont des points communs. 1. La souffrance au travail a un coût : le coût du stress a été évalué à 3,8 % du PIB par des études européennes, soit entre 3 et 3,5 millions de journées de travail perdues. 2. Incarner une vision et la faire partager à ses collaborateurs : si cela était courant dans les entreprises familiales et paternalistes de la période préindustrielle, les dirigeants d’aujourd’hui sont tout aussi volatiles que les investisseurs. 3. Pour maintenir la cohésion au sein d’un collectif de travail, il ne suffit pas d’afficher des valeurs telles qu’on peut le voir dans les chartes d’entreprise. 4. 5. C’est le leitmotiv de toutes les entreprises. 6. 7.

"Tague un pote qui": derrière les partages Facebook, un juteux business "Tague une personne tatoué [sic] et elle devra te faire un gateau au chocolat", "Tague une personne née en octobre et elle devra te faire un gâteau", "Tague quelqu'un qui est accro à son téléphone et il (elle) devra te faire un gâteau au chocolat". Si vous avez un compte Facebook, ce type de publications ne vous sont probablement pas étrangères. Ces derniers mois, elles ont envahi le réseau social. A tel point que certains fils d'actualité ne contiennent plus qu'elles. Le principe est assez simple: une photo, ou une courte vidéo, est publiée avec une légende. De (très) rares bénévoles Pour comprendre cela, il faut se pencher sur l'origine de ces contenus. On trouve ensuite des médias, comme Voici, Be Magazine, RMC, la chaîne étudiante MCE, ou encore Buzzfeed, des marques désireuses d'agrandir leur communauté, ou des pages thématiques, par exemple dédiées à la musculation ou à la cuisine. Les médias et marques boostent leur notoriété Dix millions d'internautes touchés en un post

L’entreprise libérée : une bonne ou mauvaise nouvelle ? Les pratiques de management favorisant l'innovation via la diffusion d'une culture de l'autonomie et de la prise d'initiatives se multiplient. La libération d'entreprise constitue l'une d'elles. Depuis la parution d’un ouvrage choc d’Isaac Getz « Freedom & cie » et un documentaire « L’entreprise libérée » diffusé sur le Web, on observe un petit raz-de-marée auprès de certains dirigeants et entrepreneurs remettant ainsi au gout du jour les idées plus anciennes de quelques grands noms du management tels que McGregor et Herzberg sur la motivation au travail. Au diable le contrôle donc, libérons nos salariés pour plus d’innovation, de bien-être et de performance ! Tous les secteurs sont concernés. Si le concept d’entreprise libérée est loin d’être récent (voire notamment l'ouvrage de T. Transformation radicale, cette redéfinition des rôles n’est pas toujours bien vécue. La vraie question, une fois avoir répondu au « pourquoi ?

Travail collaboratif [Qu'est-ce que le travail collaboratif?] Le travail collaboratif désigne la coopération entre les membres d'une équipe afin d'atteindre un but commun. Coopérer repose principalement sur une valeur, celle du partage. Coopérer, c'est partager avec les autres (partenaires, clients, fournisseurs, collaborateurs, prescripteurs.. des valeurs pour créer des liens et la confiance,un projet pour atteindre des objectifs communs,des connaissances pour améliorer les décisions,des ressources pour consolider les engagements,des outils pour coordonner les activités. Le travail collaboratif repose également sur des comportements, notament vouloir et savoir coopérer. Vouloir coopérer, c'est être motivé pour entrer en relation avec l'autre, et partager avec lui une partie de son pouvoir et de son savoir.Savoir coopérer, c'est comprendre la psychologie de l'autre et maîtriser les compétences relationnelles qui permettent de construire une relation humaine de qualité. O. F.AIDOUNI : une définition plus académique

La diversité en entreprise, levier de performance ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Elodie Chermann Et si la diversité était un facteur de réussite pour les entreprises ? Au-delà des discours d’affichage, l’idée semble bel et bien faire son chemin. Le symposium « Management, diversité, égalité des chances et cohésion sociale - Comparaisons internationales », organisé, jeudi 1er et vendredi 2 octobre, à Paris par la Fondation Dauphine en présence d’une trentaine de chercheurs et de responsables opérationnels du monde entier vise précisément à mettre en lumière les avancées enregistrées en matière de gestion des différences dans le milieu professionnel. Le contexte politique porteur Le contexte politique a été particulièrement porteur au Danemark, où la gestion des différences a été associée à la nécessaire intégration des immigrés. Lire aussi : Ces travailleurs handicapés qui forcent les portes de l’emploi Lire aussi : En entreprise, les cercles du pouvoir se féminisent Souci d’image ou réelle conviction ? Fortes discriminations persistantes

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