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Churchill à Fulton

Churchill à Fulton
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1989-2019 : les 30 ans de la chute du mur de Berlin Erigé en août 1961, le mur de Berlin a séparé physiquement la ville en Berlin-Est et Berlin-Ouest pendant plus de vingt-huit ans. Il constitue le symbole le plus marquant d'une Europe divisée par le rideau de fer. L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev et la détermination des Allemands de l'Est qui ont organisé de grandes manifestations, ont provoqué le 9 novembre 1989 la chute du mur de Berlin, suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification allemande (voir article sur Wikipedia). Le jour où le monde s'est défait sous nos yeux (AFP) : Une carte du mur de Berlin en 1963 avec le tracé du mur et ses barbelés (à télécharger sur le site MapPorn) Le site Berlin Wall Map propose une carte interactive avec les secteurs d'occupation et les points de passage. Le tracé du mur sur Google Map (site officiel de la ville de Berlin).

Pacte de Varsovie Le pacte de Varsovie est une ancienne alliance militaire groupant les pays d'Europe de l'Est avec l'URSS dans un vaste ensemble économique, politique et militaire. Il est conclu le 14 mai 1955 entre la plupart des pays communistes du bloc soviétique par un traité d’amitié, de coopération et d’assistance mutuelle. Nikita Khrouchtchev, qui en fut l'artisan, l'avait conçu dans le cadre de la guerre froide comme un contrepoids à l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (OTAN) qui avait vu le jour en avril 1949. L'alliance issue du pacte de Varsovie est dissoute en juillet 1991. Traité d'amitié, de coopération et d'assistance mutuelle[modifier | modifier le code] Connu sous le nom de pacte de Varsovie, le Traité d'amitié, de coopération et d'assistance mutuelle se compose d'un préambule et de onze articles. Le traité de Varsovie se proclame ouvert à tous les États, « indépendamment de leur régime social et politique ». Le traité est établi pour une durée de vingt ans.

La guerre de Corée, 1950-1953 Le 2 septembre 1945, la capitulation du Japon ne redonne pas à la Corée son entière indépendance. Sur place, les règlements de comptes entre résistants et collaborateurs des Japonais dégénèrent en guerre civile. La guerre froide en gestation territorialise le conflit. Lors de la conférence de Potsdam (juillet-août 1945), une ligne de démarcation entre troupes d’occupation soviétiques et américaines est fixée au niveau du 38e parallèle. Le 8 août 1945, l’URSS entre en guerre contre le Japon. Les troupes soviétiques convergent rapidement vers la Mandchourie, puis pénètrent en Corée. Les Américains débarquent eux au sud le 8 septembre. Les espoirs d’un gouvernement unique pour l’ensemble de la péninsule s’amenuisent rapidement. C’est dans cette ambiance tendue que deux républiques coréennes indépendantes, à l’idéologie opposée, sont reconnues en 1948 : la république de Corée (Sud), le 15 août et la République populaire et démocratique de Corée (Nord), le 9 septembre. Cliquer pour agrandir

Mouvement des non-alignés Le mouvement des non-alignés (ou plus rarement mouvement des pays non alignés)[1] est une organisation internationale regroupant 120 États en 2012[2], qui se définissent comme n'étant alignés ni avec ni contre aucune grande puissance mondiale (17 États et 9 organisations internationales y ont en plus le statut d'observateur). En effet, ce mouvement né durant la guerre froide visait à regrouper les États qui ne se considéraient comme alignés ni sur le bloc de l'Est ni sur le bloc de l'Ouest. Le mouvement des non-alignés comprend plusieurs membres assez importants à l'échelle mondiale, comme l'Indonésie, l'Inde, l'Afrique du Sud, l'Iran, ainsi qu'autrefois la Yougoslavie. Origines[modifier | modifier le code] Le terme de « non-alignement » a été inventé par le Premier ministre indien Nehru lors d'un discours en 1954 à Colombo. Évolution[modifier | modifier le code] Le monde en 1980, polarisé entre les deux superpuissances. États membres[modifier | modifier le code]

Chute des régimes communistes en Europe Cet article parle en détail de la fin des régimes communistes dans sept démocraties populaires d'Europe centrale et de l'Est : Albanie, Allemagne de l'Est (RDA), Bulgarie, Hongrie, Pologne, Tchécoslovaquie et Roumanie. Les dernières années de l'Union soviétique jusqu'à sa disparition fin 1991 sont évoquées dans cet article en tant qu'élément de contexte fondamental à la compréhension des évènements dans ses États satellites, mais sont traitées en détail dans l'article relatif à la dislocation de l'URSS. De même, la dislocation de la Yougoslavie, qui fonctionnait de façon autonome hors du bloc de l'Est, et les guerres qui la ravagèrent durant les années 1990 ne sont pas traitées dans cet article. Chute des régimes communistes en Europe La marge d'autonomie des démocraties populaires est limitée. La chute des régimes communistes en Europe est suivie fin 1991 par la dislocation de l'URSS. Contexte et origines de la chute[modifier | modifier le code] Ce contexte change radicalement fin 1988.

Séoul arrête de diffuser ses messages à la frontière avant le sommet intercoréen La Corée du Sud cherche à « apaiser les tensions militaires et créer un climat de paix » avant le sommet intercoréen, qui aura lieu vendredi. Nouveau geste de conciliation avant le sommet intercoréen de vendredi. L’armée sud-coréenne a fait taire, lundi 23 avril, les haut-parleurs géants qui diffusent à grand renfort de décibels des messages aux soldats nord-coréens déployés à la frontière. L’objectif : « apaiser les tensions militaires et créer un climat de paix (…) avant le sommet intercoréen 2018 », a dit le ministère sud-coréen de la défense dans un communiqué. Lire aussi : La Corée du Nord suspend ses programmes nucléaire et balistique Le Sud diffuse depuis longtemps un mélange d’informations, de musique et de messages de propagande appelant les soldats nord-coréens à faire défection, au moyen de gigantesques haut-parleurs installés le long de la frontière intercoréenne ultra fortifiée. Techniquement toujours en guerre

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