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Les trois grands profils d’utilisateurs sur Facebook

Les trois grands profils d’utilisateurs sur Facebook
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par David Larousserie On l’imaginait soucieux de parler de lui sur sa page Facebook, d’y poster ses photos, de partager à outrance des liens, d’augmenter le nombre de ses amis, de « liker » à tout va. Pourtant, la figure de l’internaute égocentré a vécu. Des sociologues et des informaticiens révèlent en effet que ce n’est vraiment pas l’usage dominant du réseau social aujourd’hui. Facebook sert plus à la conversation, en écrivant sur la page de ses amis, et à la veille passive, pour rester en contact avec son réseau, qu’à l’activité tous azimuts. Autre enseignement, les liens que partagent les cadres et les professions libérales sont fort différents que ceux que transmettent les ouvriers et les employés. Analyse de 12 700 pages Facebook Ces enseignements ne sont que les premières conclusions – provisoires – que viennent de révéler les membres du projet Algopol, lancé en décembre 2013. Lire aussi : Quand la recherche like Facebook Pour agrandir, cliquer ici

9 mauvaises habitudes en social media Si vous venez d’être embauché pour travailler dans le social media, bravo ! Vous l’avez fait : vous êtes entré dans le monde merveilleux du digital, dans la cour des grands, vous avez opté pour un métier d’avenir. Votre mission : valoriser l’image de marque de l’entreprise qui vous emploie, favoriser sa visibilité sur le web, booster le ROI et l’engagement. Reste à savoir comment vous allez faire ça… Bonne question, d’autant plus que les règles restent floues et que chacun fait un peu comme il le sent, beaucoup suivant les « règles de publication » qui fleurissent ici et là. Des règles qui figurent pourtant au rang de mauvaises habitudes et qu’il vaudrait mieux éviter pour ne pas risquer trop gros. Donc plutôt que de vous dire quoi faire, faisons le point sur ce que vous feriez mieux d’éviter. Utiliser des faux comptes C’est la mauvaise habitude numéro un. Rire de tout C’est la grande tendance des marques dernièrement. Se cacher derrière un avatar Raconter votre histoire Garder le silence

Aux Etats-Unis, Obama bafoue la liberté d’information La maison Obama a établi un nouveau record dans la restriction d’accès aux données administratives ! L’étude publiée le 18 mars par Associated Press, constate qu’au cours des six dernières années, le temps de traitement « dans les plus brefs délais » des requêtes acceptées est tombé à près de 12 %, contre 50 % auparavant. Le temps de réponse « moyen » s’étend de un jour à deux ans et demi. Dans un cas sur trois, l’administration fédérale reconnait elle-même que les censures ou restrictions d’accès appliquées étaient abusives, outrepassant le cadre légal en vigueur. 39 % des demandes partiellement ou totalement censurées Précisément, parmi les 714 231 demandes déposées en 2014 auprès d’une centaine d’agences fédérales, le gouvernement a répondu à 647 142 d’entre elles. Et en 215 584 autres occasions, les services administratifs ont répondu qu’ils ne retrouvaient pas les documents, ou ont refusé de faire des copies. Contrôler et restreindre l’accès à l’information Pour cacher quoi ?

Facebook : Mark Zuckerberg travaille 50 à 60 heures par semaine Comme à son habitude, Mark Zuckerberg s’est livré à son traditionnel jeu des questions/réponses le mardi 14 avril. Pendant une heure, les internautes peuvent poser leur question au créateur de Facebook, que ces dernières portent sur l’actualité du réseau social, ou alors sur un plan plus personnel. L’occasion d’en apprendre une peu plus sur le rythme de travail d’un des entrepreneurs les plus puissants du web. 50 à 60 heures par semaine au bureau L’un des internautes qui participaient à ce jeu de questions/réponses n’a pas hésité à demander combien de temps le PDG de Facebook passait à travailler par semaine. Il est vrai que la question peut sembler pertinente lorsque l’on connait un peu le personnage Mark Zuckerberg et son style plutôt en opposition avec son statut. Le créateur de Facebook n’a pas hésité à répondre « Si on compte le temps que je passe au bureau, je ne travaille pas plus de 50-60 heures par semaine ». Zuckerberg répond à Shakira et Richard Branson

Instagram prend le pouvoir Avec le printemps fleurissent les articles sur les bonnes pratiques (bon, ok, en réalité ils fleurissent toute l’année, mais là il semblerait qu’il y ait une petite période de relance sur le sujet). Où aller, pourquoi, comment , quelles sont les nouvelles tendances, sur quels réseaux faut-il miser..? Autant de questions qui soulèvent autant de réponse qu’il y a de poissons dans l’océan (l’avantage, c’est que le nombre tend à baisser ces derniers temps). Aujourd’hui, je ne vais pas vous faire une énième recommandation sur le pourquoi du comment choisir un réseau plutôt qu’un autre. Je l’ai déjà dit : la recette toute faite n’existe pas, il faut s’intéresser à ce qu’on représente, ce qu’on a en stock, ce qu’on est capable de produire et à quelle fréquence (si, si, je vous l’ai déjà expliqué, mais on y reviendra, pas de souci). Non, aujourd’hui je vais vous parler de ce qui se passe, « quantifiablement », sur les réseaux.

Marre d’être espionné sur Internet ? Qwant et DuckDuckGo surfent sur la vague anti-Google « Les internautes ont le choix. La concurrence est à un clic » faisait valoir le président exécutif de Google, Eric Schmidt, en octobre dernier. « Il existe de nombreux autres moteurs de recherche tels que Bing, Yahoo, Quora, DuckDuckGo et une nouvelle vague d'assistants à la recherche comme Siri d'Apple et Cortana de Microsoft » arguait la semaine dernière Amit Singhal, le directeur de Google Search, dans un billet de blog au lendemain de l'accusation formelle d'abus de position dominante par la Commission européenne. Avant de citer le français Qwant, dans lequel le groupe de presse allemand Axel Springer a investi en juin 2014. Pour autant, qui utilise un autre moteur que Google, devenu un verbe pour dire rechercher sur Internet (« googliser » ou « googler ») ? En France, sa part de marché est estimée entre 90% et 95%, comme dans la plupart des pays de l'Union européenne, sauf en République tchèque. (graphique Qwant) Or « Google sait tout sur vous ! « Bravo au nouveau Qwant !

Facebook : pas de bouton "j'aime pas" pour Zuckerberg ! À l’arrivée de Facebook, deux fonctionnalités nouvelles faisaient leur apparition. Le fameux « poke », dont on n’a jamais vraiment trouvé l’utilité jusqu’à maintenant, et le bouton « j’aime » devenu LA marque de fabrique du réseau social de Mark Zuckerberg ! Mais certains grognons pestent contre le fait qu’il faille à tout prix aimer ce que nos contacts publient sur le mur, et qu’à part un commentaire acerbe, il n’y ai pas de possibilité de « ne pas aimer » ce que l’on voit défiler sur notre fil d’actualité Facebook. C’est sans doute pour cela que tous les 6 mois, la rumeur de l’apparition d’un bouton « j’aime pas » ressort. Mais cette fois, c’est Mark Zuckerberg en personne qui annonce que cette fonctionnalité ne verra pas le jour sur Facebook. Mark Zuckerberg n’aime pas le bouton « j’aime pas » !

Les 5 nouveaux défis du community manager Cet article a été publié il y a 8 mois 2 jours, il est donc possible qu’il ne soit plus à jour. Les informations proposées sont donc peut-être expirées. À l’heure où la normalisation du métier de community manager est tellement conséquente qu’il vient de faire son entrée au dictionnaire, il convient de faire le point sur les défis qui attendent ce métier en constante évolution. 1. La lutte contre la contamination de la vie privée et la pression constante. Le community manager a pour définition l’obligation d’être réactif. Cette pression peut rapidement devenir anxiogène dans la mesure où il faut être constamment en état d’alerte et à l’affût de la moindre notification. De plus, les heures idéales pour poster des annonces sur les réseaux sociaux coïncident souvent avec les heures de fin de bureau. Le défi du community manager consistera donc à pouvoir compartimenter ses différentes vies. 2. 3. 4. Le problème du community manager, c’est qu’ils regardent abondamment ce que font les autres.

« Apple est foutu » : le chinois Xiaomi crée l’événement en Inde Des files d’attente interminables, une excitation fébrile, des phrases définitives d’ados comme « je peux mourir pour en avoir un »... Non, il ne s’agit pas du lancement d’un nouveau produit Apple, mais de son clone chinois, Xiaomi, qui a réussi jeudi un lancement fracassant en Inde. Xiaomi, fabricant de smartphones chinois, fondé en 2010 mais qui s’est déjà hissé au troisième rang mondial en raflant l’immense marché chinois, est en phase d’expansion internationale. L’Inde et son milliard d’habitants constituaient une étape de choix, préparée avec soin – et avec succès. Selon le Wall Street Journal, Xiaomi avait su créer l’événement : 10 000 personnes venues de toute l’Inde ont tenté d’avoir l’une des 1 600 places à New Delhi pour la « keynote » de Lei Jun, le jeune fondateur de Xiaomi, qui fait des présentations « à la Steve Jobs » devant des foules en délire. Ça marchait en Chine ; la preuve est faite que ça peut marcher ailleurs.

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